Chronique
ENDEVERAFTER - KISS OR KILL / Powerage 2008
Cette jeune formation Américaine débarque en Europe avec leur techniquement deuxième album (le premier n’a jamais été commercialisé) qui plus est date de 2007, pour nous présenter leur hard rock décapant qui leur a permis de tourner entre autre avec Poison et Kiss.
Notre premier titre « I wanna be your man » sent le pur hard américain à la Motley Crue. Energique et enjoué on se prend au jeu de cette musique communicative. Rien de bien transcendant, mais un bon single pour les ondes Us. « Baby, baby, baby » poursuit dans une veine identique. J’avoue volontiers être très amateur de ce genre mais là, le groupe manque d’un petit plus pour accrocher véritablement. Peut-être un côté trop cliché.
« Gotta get out » se veut plus soft, presque rock californien et pour ma part tombe à l’eau. Le refrain quant à lui est plus sympathique et sauve ce titre. Un peu de « Poison » qui semble bien métal au premier abord. Plus couillu que l’ensemble du début, on a affaire à du gros. Mais je trouve toujours que ça manque d’un quelque chose de plus spontané, tout semble trop lisse.
« Next best thing » est la première ballade typiquement Américaine. Un moment bien, mais sans non plus changer la face du monde. Limite pop rock, pour être vraiment sérieux. Avec « Tip of my tongue » on retrouve le hard Californien avec un gros fond de Motley Crue. Toujours dans la moyenne, mais toujours rien de tripant. « Road to destruction » continue. Son début sinistre, militaire, sa petite lead guitare, sa montée en puissance font croire à du très, très bon et heureusement ça en est. Le meilleur titre de l’album !!
« All night » pourrait nous faire croire à du Thin Lizzy, voir du Danko Jones dernière génération, mais finalement ça ressemble bien plus à du Fall Out Boy : Bien dommage !!
surtout que « Slave » semble bien parti pour continuer la même impression. Et bien oui, la suite logique du rock Californien ! Navrant !
Ah déjà le riff de « From the ashes of sin » nous fait rêver à du bon gros hard rock, et bien oui, une fois n’est pas coutume le groupe fait quelque chose de bien. On fini par « Long way home », une ballade acoustique un peu Cow Boys, qui n’apporte pas grand chose, mais finalement passe plutôt bien. Plus country que rock, mais bon…
Conclusion : un album qui ne casse pas des briques. Trop formaté Us, voir radio Us, il ne laissera pas un souvenir impérissable. Juste sympa.
Notre premier titre « I wanna be your man » sent le pur hard américain à la Motley Crue. Energique et enjoué on se prend au jeu de cette musique communicative. Rien de bien transcendant, mais un bon single pour les ondes Us. « Baby, baby, baby » poursuit dans une veine identique. J’avoue volontiers être très amateur de ce genre mais là, le groupe manque d’un petit plus pour accrocher véritablement. Peut-être un côté trop cliché.
« Gotta get out » se veut plus soft, presque rock californien et pour ma part tombe à l’eau. Le refrain quant à lui est plus sympathique et sauve ce titre. Un peu de « Poison » qui semble bien métal au premier abord. Plus couillu que l’ensemble du début, on a affaire à du gros. Mais je trouve toujours que ça manque d’un quelque chose de plus spontané, tout semble trop lisse.
« Next best thing » est la première ballade typiquement Américaine. Un moment bien, mais sans non plus changer la face du monde. Limite pop rock, pour être vraiment sérieux. Avec « Tip of my tongue » on retrouve le hard Californien avec un gros fond de Motley Crue. Toujours dans la moyenne, mais toujours rien de tripant. « Road to destruction » continue. Son début sinistre, militaire, sa petite lead guitare, sa montée en puissance font croire à du très, très bon et heureusement ça en est. Le meilleur titre de l’album !!
« All night » pourrait nous faire croire à du Thin Lizzy, voir du Danko Jones dernière génération, mais finalement ça ressemble bien plus à du Fall Out Boy : Bien dommage !!
surtout que « Slave » semble bien parti pour continuer la même impression. Et bien oui, la suite logique du rock Californien ! Navrant !
Ah déjà le riff de « From the ashes of sin » nous fait rêver à du bon gros hard rock, et bien oui, une fois n’est pas coutume le groupe fait quelque chose de bien. On fini par « Long way home », une ballade acoustique un peu Cow Boys, qui n’apporte pas grand chose, mais finalement passe plutôt bien. Plus country que rock, mais bon…
Conclusion : un album qui ne casse pas des briques. Trop formaté Us, voir radio Us, il ne laissera pas un souvenir impérissable. Juste sympa.
Critique : Guillaume
Note : 6/10
Vues : 5734 fois