Chronique
MENA BRINNO - WICKED POLLY / Dark Balance Records 2009
Malgré les apparences, Mena Brinno ne nous propose pas ici son premier essai. En effet le combo Floridien arrive doucement avec son deuxième album (en trois ans d’activités). Pour ceux qui ne connaissaient pas le groupe avant (comme moi), il s’agit groupe de heavy gothic metal à chanteuse lyrique. Encore vous me direz. Et bien oui et non. Vous allez comprendre.
Au lancement de l’album dans ma chaîne hi-fi on est immédiatement séduit par le son au niveau de la production. Tout passe bien, ce n’est pas brouillon dans l’ensemble (les cymbales chatouilles un peu les oreilles).
Le premier morceau « Banks of the Ohio » se rapproche d’un Magica. Musique rapide et mélodique, appuyée par une envolée lyrique bien haute. C’est pas mal et met l’eau à la bouche. Pour « Entrapment », l’évolution continue dans la bon sens mis à part les passages où Katy pousse ses ‘Oh oh oh oh’ à foison, ce qui devient presque barbant. A côté de ça, la chanson passe mais ne fait pas d’éclats.
Le titre éponyme « Wicked Polly » se lance sur des airs festifs et celtes, flutes en avant. Un peu de calme pour entre dans un univers musical plus posé et plus proche du gothique avec des aspects plus sombres. « Secret of War » continue sur la lancée avec une flûte qui par la suite se voit accompagné de la double. Ca va durer un bon moment et c’est horrible. On dirait que le ca a bogué tellement il y en a (trop). Toujours cette ambiance prog celte festive sur « Labyrinth ». Le groupe se perd lui-même dans sa musique qui commence à tourner en rond. Seul le chant varie un peu.
Retour à un côté un peu plus heavy niveau musical pour « Katie Cruel » mais pour peu de temps. Le domaine gothique prog remet ça pour repartir dans une boucle musicale connue. Un peu de calme pour « Nightsounds ». On pourrait imaginer être sur un carrousel dans un manoir hanté. Cela permet de donner un nouvel aspect musical à l’album, et ça ne fait pas de mal. Retour à la musique standard du groupe sur « Court me » : base musicale posée – solo guitare – break batterie. Le dernier morceau de l’album « Wildwood flower » se voit être presque catapulté avant de revenir dans un univers proche de Blackmore’s Night, mais la magie en moins.
Conclusion : un album dont une écoute entière est assez difficile de part la côté répétitif de la musique. Niveau chant, les côtés un peu criards et haut perchés passent à petite dose, mais au bout d’un moment… vous me comprenez. A écouter, mais chanson par chanson, et pas d’un trait.
Au lancement de l’album dans ma chaîne hi-fi on est immédiatement séduit par le son au niveau de la production. Tout passe bien, ce n’est pas brouillon dans l’ensemble (les cymbales chatouilles un peu les oreilles).
Le premier morceau « Banks of the Ohio » se rapproche d’un Magica. Musique rapide et mélodique, appuyée par une envolée lyrique bien haute. C’est pas mal et met l’eau à la bouche. Pour « Entrapment », l’évolution continue dans la bon sens mis à part les passages où Katy pousse ses ‘Oh oh oh oh’ à foison, ce qui devient presque barbant. A côté de ça, la chanson passe mais ne fait pas d’éclats.
Le titre éponyme « Wicked Polly » se lance sur des airs festifs et celtes, flutes en avant. Un peu de calme pour entre dans un univers musical plus posé et plus proche du gothique avec des aspects plus sombres. « Secret of War » continue sur la lancée avec une flûte qui par la suite se voit accompagné de la double. Ca va durer un bon moment et c’est horrible. On dirait que le ca a bogué tellement il y en a (trop). Toujours cette ambiance prog celte festive sur « Labyrinth ». Le groupe se perd lui-même dans sa musique qui commence à tourner en rond. Seul le chant varie un peu.
Retour à un côté un peu plus heavy niveau musical pour « Katie Cruel » mais pour peu de temps. Le domaine gothique prog remet ça pour repartir dans une boucle musicale connue. Un peu de calme pour « Nightsounds ». On pourrait imaginer être sur un carrousel dans un manoir hanté. Cela permet de donner un nouvel aspect musical à l’album, et ça ne fait pas de mal. Retour à la musique standard du groupe sur « Court me » : base musicale posée – solo guitare – break batterie. Le dernier morceau de l’album « Wildwood flower » se voit être presque catapulté avant de revenir dans un univers proche de Blackmore’s Night, mais la magie en moins.
Conclusion : un album dont une écoute entière est assez difficile de part la côté répétitif de la musique. Niveau chant, les côtés un peu criards et haut perchés passent à petite dose, mais au bout d’un moment… vous me comprenez. A écouter, mais chanson par chanson, et pas d’un trait.
Critique : Lionel
Note : 4/10
Site du groupe : Site officiel de Mena Brinno
Vues : 5731 fois