Chronique
STREET LEGAL - BITE THE BULLET / Frontiers Records 2009
Il y a des jours chez Frontiers Records où ils ont de très bonnes idées, comme par exemple relancer ce groupe Norvégien qui avait sortit son tout premier album il y a de cela déjà 9 ans et qui depuis plus rien. Aujourd’hui on rattrape le temps perdu et délectons nous de ce ‘Bite The Bullet’, au gros potentiel.
Ne perdons pas de temps car dès « Loading up » on sent le sourire vous monter aux lèvres, avec ce très bon Hard rock remuant et enjoué. Certes rien de transcendant pour du Frontiers mais une musique communicative forte agréable, avec un refrain mémorisable efficace.
« Somebody there like me » se veut plus mélodique mais pas dénué de talent. Encré dans un esprit 80’ ce groupe propose de très bonnes idées, qui font du bien par là ou ça passe. Encore un refrain fort plaisant que voilà.
Par contre avec « Inconditional love » on semble réentendre le grand Thin Lizzy. Un titre qui pulse grave et surtout nous remémore des instants malheureusement disparus. C’est fou cette ressemblance comme si Phil Lynott était revenu d’entre les mort pour écrire et chanter cette chanson. Du hard rock décapant nous arrive avec « Warriors Of Genghis Khan » pris entre Thin Lizzy et John Sykes et qui donne une sacrée pêche. Décidément quel album simple, efficace et varié.
Place à la première ballade « Shadow in my heart » qui n’est pas sans rappeler celle de Whitesnake des 80’. Malgré cette comparaison, nous avons droit à un très bon moment doux, qui il est vrai, semble déjà entendu (toujours cette impression d’entendre Phil Lynott). Ah la, la des ballades comme ça on en fait plus. La title track prend place dans une forme de hard tonitruant, qui ne laisse pas indifférent. « Bite the bullet » c’est le feu assuré en live !!
Allez un petit « Starship trooper » qui envoie des pieds avec toujours ce soupçon de Thin Lizzy des 80’ qui résonne quelque part. Et bien même si le groupe a attendu 9 longues années pour refaire parler de lui, il ne l’a pas fait dans le demi mesure avec pour l’instant vraiment que du bon.
On ne lâche rien avec « Trapped » qui commence sur un riff étrangement copié sur un de Jorn, mais la suite plus mélodique et Irlandaise arrête là la comparaison avec leur compatriote. Toujours aussi délectable et agréable, cet album s’écoute sans une once d’ennuie. Une intro mystique nous accueille pour « The battle of Kringen », qui sent les combats épiques, puis dans un riff à la Gary Moore (Over the hill and far away) nous donne droit à un instrumental épique et celtique fort sympathique. Encore une chose qu’on ne fait plus aujourd’hui.
Pour continuer le groupe nous propose une petite reprise avec le dansant « Maniac » de Flashdance. Comme on avait déjà pu le vérifier avec Firewind cette chanson se prête magnifiquement au jeu, et comme pour Firewind apporte un plus indéniable. Quelle banane d’enfer !!
On termine cette excellente surprise par un « Silent Tears » de toute beauté. Un mid tempo mélodique et épique qui clôture plus que convenablement cet opus. Entre passage docile en acoustique limite ballade, et refrain plus musclé, Street Legal, nous sert encore autre chose avec toujours autant de qualité et de brio.
Conclusion : et bien quelle belle découverte que voici. Un groupe qui pratique un très, très bon hard rock, communicatif, qui vous donnera le sourire et un brin de bonne nostalgie à chaque écoute. Bravo.
Ne perdons pas de temps car dès « Loading up » on sent le sourire vous monter aux lèvres, avec ce très bon Hard rock remuant et enjoué. Certes rien de transcendant pour du Frontiers mais une musique communicative forte agréable, avec un refrain mémorisable efficace.
« Somebody there like me » se veut plus mélodique mais pas dénué de talent. Encré dans un esprit 80’ ce groupe propose de très bonnes idées, qui font du bien par là ou ça passe. Encore un refrain fort plaisant que voilà.
Par contre avec « Inconditional love » on semble réentendre le grand Thin Lizzy. Un titre qui pulse grave et surtout nous remémore des instants malheureusement disparus. C’est fou cette ressemblance comme si Phil Lynott était revenu d’entre les mort pour écrire et chanter cette chanson. Du hard rock décapant nous arrive avec « Warriors Of Genghis Khan » pris entre Thin Lizzy et John Sykes et qui donne une sacrée pêche. Décidément quel album simple, efficace et varié.
Place à la première ballade « Shadow in my heart » qui n’est pas sans rappeler celle de Whitesnake des 80’. Malgré cette comparaison, nous avons droit à un très bon moment doux, qui il est vrai, semble déjà entendu (toujours cette impression d’entendre Phil Lynott). Ah la, la des ballades comme ça on en fait plus. La title track prend place dans une forme de hard tonitruant, qui ne laisse pas indifférent. « Bite the bullet » c’est le feu assuré en live !!
Allez un petit « Starship trooper » qui envoie des pieds avec toujours ce soupçon de Thin Lizzy des 80’ qui résonne quelque part. Et bien même si le groupe a attendu 9 longues années pour refaire parler de lui, il ne l’a pas fait dans le demi mesure avec pour l’instant vraiment que du bon.
On ne lâche rien avec « Trapped » qui commence sur un riff étrangement copié sur un de Jorn, mais la suite plus mélodique et Irlandaise arrête là la comparaison avec leur compatriote. Toujours aussi délectable et agréable, cet album s’écoute sans une once d’ennuie. Une intro mystique nous accueille pour « The battle of Kringen », qui sent les combats épiques, puis dans un riff à la Gary Moore (Over the hill and far away) nous donne droit à un instrumental épique et celtique fort sympathique. Encore une chose qu’on ne fait plus aujourd’hui.
Pour continuer le groupe nous propose une petite reprise avec le dansant « Maniac » de Flashdance. Comme on avait déjà pu le vérifier avec Firewind cette chanson se prête magnifiquement au jeu, et comme pour Firewind apporte un plus indéniable. Quelle banane d’enfer !!
On termine cette excellente surprise par un « Silent Tears » de toute beauté. Un mid tempo mélodique et épique qui clôture plus que convenablement cet opus. Entre passage docile en acoustique limite ballade, et refrain plus musclé, Street Legal, nous sert encore autre chose avec toujours autant de qualité et de brio.
Conclusion : et bien quelle belle découverte que voici. Un groupe qui pratique un très, très bon hard rock, communicatif, qui vous donnera le sourire et un brin de bonne nostalgie à chaque écoute. Bravo.
Critique : Guillaume
Note : 8.5/10
Site du groupe : Site officiel de Street Legal
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