Chronique
THE PARLOR MOB - AND YOU WERE A CROW / Roadrunner Records 2009
J’avais découvert deux ans auparavant le groupe irlandais de rock blues THE ANSWER (qui maintenant n’est plus a présenté) et qui m’avais bien fait tripper avec ses inspirations rock façon années 70. Et bien voilà que cette fois-ci ce sont des américains qui me remettent l’eau à la bouche avec leur album « And you were crow ». Les influences ? Pas compliqué: Led Zeppelin, The Black Crowes et White Stripes.
La pochette reflète parfaitement le titre de l’album, mais niveau attirance ce n’est pas ça. C’est donc avec un peu d’appréhension que je me suis lancé dans l’écoute de cette rondelle. A ce jour, je n’ai plus d’hésitation quand il s’agit ‘écouter ce disque.
En effet, même si le groupe s’inspire ouvertement des grands groupes de rock des années 70, ils gardent un côté expérimental et bien personnel pour les chansons. Cela se ressent aisément. Bon, la voix juvénile du chanteur y est aussi pour quelque chose. Une voix claire, douce et jeune. Par contre niveau performances, il n’y a rien à redire. Si ce sont les mêmes performances vocales en concert, cela risque de bien le faire.
Ensuite, le son, un peu roots, mais on sent quand même la grosse production américaine au niveau de la puissance et de la qualité sonore.
Les riffs guitares sont diablement efficaces et nous font voler de titre en titre. On n’a pas du tout le temps de se poser, et l’ensemble passe agréablement comme si nous étions en quelque sorte hypnotisés. Tous les morceaux ne se ressemblent pas, les petites pauses avec des chansons plus posées de temps en temps font mouche.
Au milieu de tous ces titres rock endiablés se trouve aussi un morceau de plus de huit minutes qui débute de façon Soul, et donc posée pour partir au fur et à mesure que l’on avance dans le temps dans un morceau de rock mélodique et prenant, alternant avec ces passages presque Soul. La magie opère avec facilité et douceur.
Track liste : Hard times / Dead wrong / Everything you’re breathing for / The kids / When I was an orphan / Angry young girl / Carnival of crows / Real hard headed / Tide of tears / My favorite heart to break / Bullet / Can’t keep no good boy down
Conclusion : un superbe album qui dès sa première écoute passe à une vitesse phénoménale tellement c’est bon. Les amateurs de bon Rock s’y retrouveront obligatoirement. C’est promis !
La pochette reflète parfaitement le titre de l’album, mais niveau attirance ce n’est pas ça. C’est donc avec un peu d’appréhension que je me suis lancé dans l’écoute de cette rondelle. A ce jour, je n’ai plus d’hésitation quand il s’agit ‘écouter ce disque.
En effet, même si le groupe s’inspire ouvertement des grands groupes de rock des années 70, ils gardent un côté expérimental et bien personnel pour les chansons. Cela se ressent aisément. Bon, la voix juvénile du chanteur y est aussi pour quelque chose. Une voix claire, douce et jeune. Par contre niveau performances, il n’y a rien à redire. Si ce sont les mêmes performances vocales en concert, cela risque de bien le faire.
Ensuite, le son, un peu roots, mais on sent quand même la grosse production américaine au niveau de la puissance et de la qualité sonore.
Les riffs guitares sont diablement efficaces et nous font voler de titre en titre. On n’a pas du tout le temps de se poser, et l’ensemble passe agréablement comme si nous étions en quelque sorte hypnotisés. Tous les morceaux ne se ressemblent pas, les petites pauses avec des chansons plus posées de temps en temps font mouche.
Au milieu de tous ces titres rock endiablés se trouve aussi un morceau de plus de huit minutes qui débute de façon Soul, et donc posée pour partir au fur et à mesure que l’on avance dans le temps dans un morceau de rock mélodique et prenant, alternant avec ces passages presque Soul. La magie opère avec facilité et douceur.
Track liste : Hard times / Dead wrong / Everything you’re breathing for / The kids / When I was an orphan / Angry young girl / Carnival of crows / Real hard headed / Tide of tears / My favorite heart to break / Bullet / Can’t keep no good boy down
Conclusion : un superbe album qui dès sa première écoute passe à une vitesse phénoménale tellement c’est bon. Les amateurs de bon Rock s’y retrouveront obligatoirement. C’est promis !
Critique : Lionel
Note : 8.5/10
Site du groupe : Myspace de The Parlor Mob
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