Chronique
THRESHOLD - SUBSURFACE / INSIDE OUT 2004
Moins d’un an après la sortie de leur excellent live Thershold est de retour avec un nouvel opus « subsurface »
Aucun changement de line up depuis (ce qui est rare) donc pas de gros changements en vue.« mission profile » débute les hostilités le son est d’enfer il y a une patate monstre là dedans.Mac est dans une grande forme, il distille c’est parole d’une voix superbe et maîtrisée, les parties mélodiques font mouche et cohabite parfaitement avec les parties plus métal.Un excellent début qui laisse entrevoir le meilleur pour la suite.
« Ground contrôle » poursuit on sent réellement le groupe en pleine possession de ses moyens en oscillant parfaitement entre des passages résolument heavy métal, des passages prog et des passages ultra mélodiques, toujours plein d’énergie le morceau est construit avec pas mal de synthé et de piano sur des gros riff de gratte, bien développés pendant les 7:13 de la chanson. Le solo de guitare très mélodieux tout comme la voix accentue les contrastes.« opium » continue dans un univers angélique piano voix puis le riff heavy rentre en jeu l’ambiance change mais le joli refrain nous remet au pays des merveilles une petite perle dans ce coffre à bijou. Le hard « stop dead » est le morceau le plus accessible rappelant par moment les groupes de rock prog des 80’ tout en restant dans la plus pure tradition. Attention gros matos « the art of reason » est la perle rare de l’album 10 minutes de prog intensif avec de superbes parties musicales, des solos de tueur, des breaks de folie enfin une merveille qui te clou sur place quel travail accompli par le groupe.
Bon c’est pas encore fini que peut il nous arriver maintenant « pressure » une entrée bien tonitruante guitare heavy en avant, le titre le plus heavy de l’album qui dévoile un autre visage tout en restant très mélodique, le refrain aérien est bien pensé il rend un coté docile à ce titre résolument heavy. Petit piano pour commencer « flags and footprints » la ballade de l’album.La voix de Mac est plus chaleureuse, un bon titre qui recèle quelques parties couillus tout en conservant ce petit truc qui te fait fondre. Un peu de calme dans ce monde de prog.
Aller on reprend nos esprits « static » balance bien un titre plus hard dans l’esprit avec une nouvelle fois le petit plus qui t’accroche de suite, un petit break piano acoustique puis on relance la machine : bien plaisant.Pour conclure le magnifique « destruction of words » qui te prend aux tripes une pièce magistrale d’une musicalité irréprochable le titre de l’album, avec cette monté d’intensité et ce refrain qui fini en apothéose ce titre énorme.
Conclusion un excellent opus de la part de nos anglais qui nous ont sorti une petite perle de prog mélodique dans la continuité du live et de l’opus précédent. Un travail sincère et méticuleux qui place Threshold parmi l’élite.
Aucun changement de line up depuis (ce qui est rare) donc pas de gros changements en vue.« mission profile » débute les hostilités le son est d’enfer il y a une patate monstre là dedans.Mac est dans une grande forme, il distille c’est parole d’une voix superbe et maîtrisée, les parties mélodiques font mouche et cohabite parfaitement avec les parties plus métal.Un excellent début qui laisse entrevoir le meilleur pour la suite.
« Ground contrôle » poursuit on sent réellement le groupe en pleine possession de ses moyens en oscillant parfaitement entre des passages résolument heavy métal, des passages prog et des passages ultra mélodiques, toujours plein d’énergie le morceau est construit avec pas mal de synthé et de piano sur des gros riff de gratte, bien développés pendant les 7:13 de la chanson. Le solo de guitare très mélodieux tout comme la voix accentue les contrastes.« opium » continue dans un univers angélique piano voix puis le riff heavy rentre en jeu l’ambiance change mais le joli refrain nous remet au pays des merveilles une petite perle dans ce coffre à bijou. Le hard « stop dead » est le morceau le plus accessible rappelant par moment les groupes de rock prog des 80’ tout en restant dans la plus pure tradition. Attention gros matos « the art of reason » est la perle rare de l’album 10 minutes de prog intensif avec de superbes parties musicales, des solos de tueur, des breaks de folie enfin une merveille qui te clou sur place quel travail accompli par le groupe.
Bon c’est pas encore fini que peut il nous arriver maintenant « pressure » une entrée bien tonitruante guitare heavy en avant, le titre le plus heavy de l’album qui dévoile un autre visage tout en restant très mélodique, le refrain aérien est bien pensé il rend un coté docile à ce titre résolument heavy. Petit piano pour commencer « flags and footprints » la ballade de l’album.La voix de Mac est plus chaleureuse, un bon titre qui recèle quelques parties couillus tout en conservant ce petit truc qui te fait fondre. Un peu de calme dans ce monde de prog.
Aller on reprend nos esprits « static » balance bien un titre plus hard dans l’esprit avec une nouvelle fois le petit plus qui t’accroche de suite, un petit break piano acoustique puis on relance la machine : bien plaisant.Pour conclure le magnifique « destruction of words » qui te prend aux tripes une pièce magistrale d’une musicalité irréprochable le titre de l’album, avec cette monté d’intensité et ce refrain qui fini en apothéose ce titre énorme.
Conclusion un excellent opus de la part de nos anglais qui nous ont sorti une petite perle de prog mélodique dans la continuité du live et de l’opus précédent. Un travail sincère et méticuleux qui place Threshold parmi l’élite.
Critique : Guillaume
Note : 8/10
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