Chronique
KILLSWITCH ENGAGE - KILLSWITCH ENGAGE / Roadrunner Records 2009
Il est vrai que le metalcore n’est pas du tout ma tasse de thé, mais voulant découvrir de nouveaux horizons musicaux pour éviter de tourner en rond, je me suis dit, aller hop écoutons un peu cette cinquième rondelle de nos américains du Massachussetts. Sur cet album, le combo s’est procurer les services de Brendan O’Brien connu pour son travail avec AC/DC, Rage Against The Machine ou encore Pearl Jam. Vous avez compris, la production est au rendez-vous.
A peine l’album lancer on se reçoit une sacrée dose de son bien aéré et propre, mais pas trop quand même, historie de donner plus de dimension à la musique si véloce qu’est le metalcore.
La première surprise vient de l’alternance au niveau du chant. En effet Howard Jones passe d’une voix bien gutturale et féroce à une voix racée et mélodieuse. Un mélange qui me fait qu’adhérer encore plus vite à la musique du groupe.
Là où les choses donnent un peu plus encore, c’est au niveau de la structure des chansons. En effet, on a droit à des bons passages blastés où la double se fait bien allumer, mais à côté de ça nous avons aussi droit à des sections beaucoup plus mélodiques et orientés vers du gros power metal avec un son américain. Ca veut dire du bien lourd.
Le bon côté vient aussi du fait que le rythme des chansons évolue constamment, et le groupe de n’enchaîne pas à un même rythme. Des titres un peu plus pausés (mais attention, je n’ai pas dit que c’était un mid tempo… loin de là !) se greffent au milieu de cette masse brutale qui se pointe à l’aide de quelques breaks histoire de varier un peu les choses.
Bien évidemment on le loupera la metalcore ballade « The return » qui est forcément présente et qui pourrait bien sentir le commercial pour musique de film que ça ne me choquerait pas. Mais attention, un film pour homme… pas un truc de gonzesses.
Track liste : Never Again / Starting Over / The Forgotten / Reckoning / The Return / A Light in a darkened world / Take me away / I would do anything / Save me / Lost / this is goodbye
Conclusion : un album qui passe bien et qui est une bonne surprise. Les adeptes du genre se régaleront tout comme les novices dans ce style là.
A peine l’album lancer on se reçoit une sacrée dose de son bien aéré et propre, mais pas trop quand même, historie de donner plus de dimension à la musique si véloce qu’est le metalcore.
La première surprise vient de l’alternance au niveau du chant. En effet Howard Jones passe d’une voix bien gutturale et féroce à une voix racée et mélodieuse. Un mélange qui me fait qu’adhérer encore plus vite à la musique du groupe.
Là où les choses donnent un peu plus encore, c’est au niveau de la structure des chansons. En effet, on a droit à des bons passages blastés où la double se fait bien allumer, mais à côté de ça nous avons aussi droit à des sections beaucoup plus mélodiques et orientés vers du gros power metal avec un son américain. Ca veut dire du bien lourd.
Le bon côté vient aussi du fait que le rythme des chansons évolue constamment, et le groupe de n’enchaîne pas à un même rythme. Des titres un peu plus pausés (mais attention, je n’ai pas dit que c’était un mid tempo… loin de là !) se greffent au milieu de cette masse brutale qui se pointe à l’aide de quelques breaks histoire de varier un peu les choses.
Bien évidemment on le loupera la metalcore ballade « The return » qui est forcément présente et qui pourrait bien sentir le commercial pour musique de film que ça ne me choquerait pas. Mais attention, un film pour homme… pas un truc de gonzesses.
Track liste : Never Again / Starting Over / The Forgotten / Reckoning / The Return / A Light in a darkened world / Take me away / I would do anything / Save me / Lost / this is goodbye
Conclusion : un album qui passe bien et qui est une bonne surprise. Les adeptes du genre se régaleront tout comme les novices dans ce style là.
Critique : Lionel
Note : 8/10
Site du groupe : Site de Killswitch Engage
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