Chronique
UFO - THE VISITOR / Spv 2009
Increvables, infatigables, telles sont les désignations pour parler de UFO et oui presque 40 ans après leur début le groupe est toujours là, avec la rigueur des plus jeunes, même si cette fois-ci l’indéboulonnable Pete Way a dû déclarer forfait pour cause de gros problèmes de santé. Je vous rassure de suite le groupe est encore bien là !!
Très bonne intro à la dobro qui rappelle de suite Eric Sardinas, puis « Saving me » déboule sur un bon gros blues hard. Toujours mené par l’explosif Vinnie Moore, UFO garde sa patate légendaire et Phil Moog sa classe ultime dans ses phrasés mythiques. « On the waterfront » est un autre titre plutôt cool, avec beaucoup de feeling. Une chanson qui se rapproche plus du vieux répertoire du groupe.
Avec « Hell driver » on accélère le rythme pour un hard rock endiablé très 70’s qui fait un bien fou. VInnie devient de plus en plus indispensable et remplace finalement plus qu’aisément Michael Schenker. Alors ne vous attendez pas à une once de nouveauté le groupe n’a pas besoin de ça mais sa musique est si sincère et intemporelle que ça suffit amplement. Petit single en puissance avec « Stop breaking down » un tube très 80’s qui aurait à coup sûr bien tourné à l’époque. Une bonne surprise, suivit par un blues endiablé. « Rock ready » va botter des culs en live !! Décidément Ufo s’est adonné à ce style avec beaucoup de brio.
Titre plus soft avec « Living a proof » qui ne casse pas trois pattes à un canard. Se laisse écouter, puis place à la plus récente « Can’t buy a thrill » fort mélodique qui est un vrai régal. Voilà un titre qui m’a marqué.
« Forsaken » n’a rien avoir avec Dream Theater, non ici nous avons droit à une ballade comme le groupe aime nous les faire. Pas la plus légendaire mais un bon moment. « Villains & thieves » est un autre grand moment de hard blues qui va faire beaucoup de bruit sur scène. Une vraie explosion de bonheur.
On termine par un mi-old scholl, mi-moderne « Strangers in town » qui arrache littéralement. Un final qui ressemble bien à l’album, super bon !!
Conclusion : UFO poursuit sa carrière avec aplomb et nous démontre toujours d’aussi bonnes qualités. Un album à ne pas bouder en espérant un prochain avec son acolyte de toujours Pete Way (Bon rétablissement !)
Très bonne intro à la dobro qui rappelle de suite Eric Sardinas, puis « Saving me » déboule sur un bon gros blues hard. Toujours mené par l’explosif Vinnie Moore, UFO garde sa patate légendaire et Phil Moog sa classe ultime dans ses phrasés mythiques. « On the waterfront » est un autre titre plutôt cool, avec beaucoup de feeling. Une chanson qui se rapproche plus du vieux répertoire du groupe.
Avec « Hell driver » on accélère le rythme pour un hard rock endiablé très 70’s qui fait un bien fou. VInnie devient de plus en plus indispensable et remplace finalement plus qu’aisément Michael Schenker. Alors ne vous attendez pas à une once de nouveauté le groupe n’a pas besoin de ça mais sa musique est si sincère et intemporelle que ça suffit amplement. Petit single en puissance avec « Stop breaking down » un tube très 80’s qui aurait à coup sûr bien tourné à l’époque. Une bonne surprise, suivit par un blues endiablé. « Rock ready » va botter des culs en live !! Décidément Ufo s’est adonné à ce style avec beaucoup de brio.
Titre plus soft avec « Living a proof » qui ne casse pas trois pattes à un canard. Se laisse écouter, puis place à la plus récente « Can’t buy a thrill » fort mélodique qui est un vrai régal. Voilà un titre qui m’a marqué.
« Forsaken » n’a rien avoir avec Dream Theater, non ici nous avons droit à une ballade comme le groupe aime nous les faire. Pas la plus légendaire mais un bon moment. « Villains & thieves » est un autre grand moment de hard blues qui va faire beaucoup de bruit sur scène. Une vraie explosion de bonheur.
On termine par un mi-old scholl, mi-moderne « Strangers in town » qui arrache littéralement. Un final qui ressemble bien à l’album, super bon !!
Conclusion : UFO poursuit sa carrière avec aplomb et nous démontre toujours d’aussi bonnes qualités. Un album à ne pas bouder en espérant un prochain avec son acolyte de toujours Pete Way (Bon rétablissement !)
Critique : Guillaume
Note : 7/10
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