Chronique
IT DIES TODAY - LIVIDITY / Trustkill Record 2009
Mesdames et Messieurs, bien le bonjour. Allons de ce pas aux States et plus précisément à Buffalo, New York. Un combo au nom étrange de IT DIES TODAY. Mais ça sonne bien. Ils enregistrent leur troisième album du nom de LIVIDITY et ce joyeux rassemblement joue un style classé Métalcore. Kezako ? On imagine assez bien mais bon, sans grande précision (ou alors, je suis trop vieux pour ces conneries). De ce pas, rinçons nous les oreilles au doux bruit de leur core métallique.
Alors, pour faire une analyse globale avec une impression d’ensemble de cet album. Ils ont une patate énorme. Ca pousse au cul à 200%. Un son vraiment gros sous tous points de vue. Batterie, basse, gratte, c’est très gros. Un chant et des hurlements vraiment surpuissants. Mais la puissance n’est pas la seule corde à leur arc. Les chansons sont des gros mélanges de son énorme qui dévaste tout sur son passage et d’accords plaqués aux enchaînements mélodiques agrémentés de chants harmonisés mode skate core californien. Très chantant, très belles harmonies, voix cristallines. Je tiens cependant à mettre l’accent sur les passages thrash surpuissant. C’est vraiment énorme, vraiment. Ca latte à grands coups de pieds dans votre cul. Une nouvelle chaîne haute fidélité à tester dans le salon, poussez les watts, la production est gigantesque, ca décolle les parpaings !
L’interprétation est parfaite. Les gros sons sont très gros, la batterie fait son boulot à merveille, le bassiste nous pousse tout ça sans fioriture et les guitares alternent entre les riffs patator puissance 20 et les accords plaqués façon musique de djeun’s. Quelques solos fort bien interprétés et de haute voltige. Le chant, niveau hurlement, il surclasse grand nombre de grands hurleurs. Et les harmonies sur refrains sont de toute beauté !
Les compositions sont riches en idées diverses et variées mais, attention, le mélange peut surprendre. Du gros thrash au refrain mélancolique avec des harmonies à la SUM 41. Au final, ca représente assez bien ce qui, pour moi, est l’avenir de la musique : un mélange de styles. Ensuite, j’admets m’être surpris à me demander si l’album n’était pas scindé tant j’avais l’impression d’écouter des interprétations et des styles différents. Ensuite, force est de constater que la recette a de quoi plaire à tout le monde, encore fait il faire l’effort de l’ouverture d’esprit.
Conclusion : un excellent produit. J’ai flashé sur le côté thrash hyper violent, les hurlement frénétiques. Les refrains mélodiques enrichissent les compos même si j’aurai été pour une musique plus intègre. Mais le mélange a de quoi plaire à un large public. Sincèrement, un groupe à vraiment écouter pour se faire une idée. Et l’accroche est plus que probable. L’album est violent, mélodique et plein d’autres superlatifs. Une excellente surprise pour moi.
Alors, pour faire une analyse globale avec une impression d’ensemble de cet album. Ils ont une patate énorme. Ca pousse au cul à 200%. Un son vraiment gros sous tous points de vue. Batterie, basse, gratte, c’est très gros. Un chant et des hurlements vraiment surpuissants. Mais la puissance n’est pas la seule corde à leur arc. Les chansons sont des gros mélanges de son énorme qui dévaste tout sur son passage et d’accords plaqués aux enchaînements mélodiques agrémentés de chants harmonisés mode skate core californien. Très chantant, très belles harmonies, voix cristallines. Je tiens cependant à mettre l’accent sur les passages thrash surpuissant. C’est vraiment énorme, vraiment. Ca latte à grands coups de pieds dans votre cul. Une nouvelle chaîne haute fidélité à tester dans le salon, poussez les watts, la production est gigantesque, ca décolle les parpaings !
L’interprétation est parfaite. Les gros sons sont très gros, la batterie fait son boulot à merveille, le bassiste nous pousse tout ça sans fioriture et les guitares alternent entre les riffs patator puissance 20 et les accords plaqués façon musique de djeun’s. Quelques solos fort bien interprétés et de haute voltige. Le chant, niveau hurlement, il surclasse grand nombre de grands hurleurs. Et les harmonies sur refrains sont de toute beauté !
Les compositions sont riches en idées diverses et variées mais, attention, le mélange peut surprendre. Du gros thrash au refrain mélancolique avec des harmonies à la SUM 41. Au final, ca représente assez bien ce qui, pour moi, est l’avenir de la musique : un mélange de styles. Ensuite, j’admets m’être surpris à me demander si l’album n’était pas scindé tant j’avais l’impression d’écouter des interprétations et des styles différents. Ensuite, force est de constater que la recette a de quoi plaire à tout le monde, encore fait il faire l’effort de l’ouverture d’esprit.
Conclusion : un excellent produit. J’ai flashé sur le côté thrash hyper violent, les hurlement frénétiques. Les refrains mélodiques enrichissent les compos même si j’aurai été pour une musique plus intègre. Mais le mélange a de quoi plaire à un large public. Sincèrement, un groupe à vraiment écouter pour se faire une idée. Et l’accroche est plus que probable. L’album est violent, mélodique et plein d’autres superlatifs. Une excellente surprise pour moi.
Critique : Burno
Note : 7/10
Site du groupe : My Space officiel
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