Chronique
WASP - THE NEON GOD PART 2 THE DEMISE / NOISE - SANCTUARY RECORDS 2004
Ah enfin elle est sortie cette deuxième partie du concept album, prévue pour juin : ben oui il aura fallu attendre 3 mois de plus pour enfin connaître la suite des aventures.Alors quand est il de ce part 2 ?
Ben il souffre du même problème que l‘opéra métal Avantasia de Tobias Sammet à savoir de bonnes chanson mais sans réel lien entre elles : pas d’intro ni d’interlude pas même des petits passages comme c’était le cas dans le part 1.
Donc il est mauvais ?
Non loin de là WASP a composé 9 morceaux qui tiennent méchamment la route.Allons voir ça de plus près.
Nous commençons par « never say die » bien péchue du pur WASP le son est plus puissant que sur le part 1 une très bonne rentrée, Blackie chante toujours autant avec ses tripes même si par moment on ressent une légère fatigue.
Une bonne entrée en matière. « Ressurector » prend le relais, on ne change pas de style le morceau est plus mid tempo, Darrell Roberts nous envoi de ces solos terribles, puis « the demise » commence par ‘the rise’du part 1, qui est développé par la suite, une bonne chanson heavy avec beaucoup d’orgue à la Purple.
Cette fois ci on est vraiment rentré dans le concept et c’est d’ailleurs le seul lien entre les 2 parties.« Clockwork mary » débute merveilleusement par une ballade, la voix de Blackie est superbe dans ce rôle, surplombé par des orgues et autres chœurs. Ce début de chansons est sublime pour la suite on s’énerve plus, un titre très rock qui contraste bien avec le début Darrell se régale dans ses solos, qui sont meilleurs que sur le part 1, tout cela fini calmement comme au début.
Aller du fucking hard rock « tears down the wall » pète le feu, une grosse patate celle là sur scène elle va botter quelques culs. « Come back to black » me fait penser à une chanson mais je n’arrive pas à voir la quelle. Ce n’est pas la meilleure de l’album, ce rock us manque d’originalité bon passons. « all my life » est la ballade de l’album 2’35 un peu court mais bon c’est quand même joli, Blackie a le don d’écrire de belles ballades : en voici une nouvelle fois la preuve.
Aller ne pleurez pas !! Ce n’est pas si triste surtout qu’après il y a ’desteny’s to come’ qui remet les pendules à l’heure avec du speed rock couillu, une banane d’enfer. Avec ce morceau vous aller flirter avec les excès de vitesse. Maintenant voici venu la dernière chanson « The last rédemption » : tout un programme qui nous attend, une belle partie calme pour commencer, du pur WASP version ‘je suis très en forme’ pour continuer, une partie symphonique, re-partie calme magnifique,puis on repart pour t’achever dans un hard rock monumental, tout ça pendant 13’39 un pur joyau qui deviendra incontournable, sûrement l’une des meilleurs chansons de WASP en 20 ans de carrière.
Une fin qui se résume en un mot : énorme
Conclusion :WASP avec ce part 2 fini en beauté un concept ambitieux et généreux même si au final je reste un peu sur ma faim.
Ben il souffre du même problème que l‘opéra métal Avantasia de Tobias Sammet à savoir de bonnes chanson mais sans réel lien entre elles : pas d’intro ni d’interlude pas même des petits passages comme c’était le cas dans le part 1.
Donc il est mauvais ?
Non loin de là WASP a composé 9 morceaux qui tiennent méchamment la route.Allons voir ça de plus près.
Nous commençons par « never say die » bien péchue du pur WASP le son est plus puissant que sur le part 1 une très bonne rentrée, Blackie chante toujours autant avec ses tripes même si par moment on ressent une légère fatigue.
Une bonne entrée en matière. « Ressurector » prend le relais, on ne change pas de style le morceau est plus mid tempo, Darrell Roberts nous envoi de ces solos terribles, puis « the demise » commence par ‘the rise’du part 1, qui est développé par la suite, une bonne chanson heavy avec beaucoup d’orgue à la Purple.
Cette fois ci on est vraiment rentré dans le concept et c’est d’ailleurs le seul lien entre les 2 parties.« Clockwork mary » débute merveilleusement par une ballade, la voix de Blackie est superbe dans ce rôle, surplombé par des orgues et autres chœurs. Ce début de chansons est sublime pour la suite on s’énerve plus, un titre très rock qui contraste bien avec le début Darrell se régale dans ses solos, qui sont meilleurs que sur le part 1, tout cela fini calmement comme au début.
Aller du fucking hard rock « tears down the wall » pète le feu, une grosse patate celle là sur scène elle va botter quelques culs. « Come back to black » me fait penser à une chanson mais je n’arrive pas à voir la quelle. Ce n’est pas la meilleure de l’album, ce rock us manque d’originalité bon passons. « all my life » est la ballade de l’album 2’35 un peu court mais bon c’est quand même joli, Blackie a le don d’écrire de belles ballades : en voici une nouvelle fois la preuve.
Aller ne pleurez pas !! Ce n’est pas si triste surtout qu’après il y a ’desteny’s to come’ qui remet les pendules à l’heure avec du speed rock couillu, une banane d’enfer. Avec ce morceau vous aller flirter avec les excès de vitesse. Maintenant voici venu la dernière chanson « The last rédemption » : tout un programme qui nous attend, une belle partie calme pour commencer, du pur WASP version ‘je suis très en forme’ pour continuer, une partie symphonique, re-partie calme magnifique,puis on repart pour t’achever dans un hard rock monumental, tout ça pendant 13’39 un pur joyau qui deviendra incontournable, sûrement l’une des meilleurs chansons de WASP en 20 ans de carrière.
Une fin qui se résume en un mot : énorme
Conclusion :WASP avec ce part 2 fini en beauté un concept ambitieux et généreux même si au final je reste un peu sur ma faim.
Critique : Guillaume
Note : 7/10
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