Chronique
LYNYRD SKYNYRD - GOD AND GUNS / Roadrunner Records 2009
Qui aurait pu penser à ce retour improbable des légendes américaines de Lynyrd Skynyrd, dont la plus part des membres fondateurs du groupe sont morts dans un accident d’avion. Même ceux qui ne connaissent pas le groupe à proprement parlé on au moins entendu une fois dans leur vie la fameuse chanson « Sweet home Alabama » au riff inoubliable, riff dont d’ailleurs Kid Rock (musicien de pop commerciale et américain aussi) s’est servi pour écrire son hit (plagiat ?) All Summer Long l’année dernière.
Aussi à l’annonce de ce nouvel album, c’est avec précipitation et les oreilles grandes ouvertes que je me plonge dans l’écoute, et aussi dans la vision due au clip vidéo, de « Still Unbroken », première chanson de l’album et aussi single choisi pour présenter l’album. Un énorme riff lance la chanson, toujours avec cette ambiance bluesy / bayou avec une superbe ligne de chant. Au moment du premier couplet, une bonne montée en puissance retentit et fait bien vibrer au passage, enchaînant sur le refrain. On retombe dans cette ambiance prenante pour revenir encore mieux sur ce sacré refrain. Un single bien choisit, loin des lignées trop commerciales habituelles pour des groupes de cette ampleur. « Simple life » poursuit cette ballade musicale proche de Creedence Clearwater Revival. Le petit côté jovial de la chanson donne une accroche supplémentaire et procure une bonne sensation d’évasion.
Cela pourrait être une déclaration. Ce « Simple thing called you » prend immédiatement à cœur de part son aspect bluesy, avec un peu d’harmonica pour agrémenter le tout. Les mélodies sont belles et bien présentent et appuient cette musique bien agréable à la base. Un petit solo guitare histoire de varier les plaisir et c’est repartit pour un tour. Un retour complet en Alabama avec « Southern Ways » qui pourrait rappeler par moments le grand hit du groupe, surtout sur le passage au clavier. Un bien bon mid tempo. Voilà maintenant une chanson qui va en faire vibrer plus d’un : « Skynyrd Nation ». Rien que le titre est évocateur. Une entrée bien rock et plus agressive que les chansons précédentes, mais qui garde un super groove. Ici, deux chanteurs se donnent la répliquent et l’on ne pourra cacher longtemps le fait que cette chanson nous a envoyé une belle bastos dans la face ; appuyé par un refrain embellit par les chœurs.
Rien qu’avec les débuts, on le sent gros comme une maison. Ce « Unwrite that song » est une ballade. Ca ne loupe pas. On connaît la capacité des américains à nous proposer de sacrément bonnes ballades, et celle-ci ne déroge pas à la règle : elle est magnifique. « Floyd » change d’ambiance et rentre plus vers une ambiance western mélangé avec du blues. On pourrait presque se croire au far west, marchant dans les rues d’une ville, le soleil tapant sur notre corps avant un duel. Le refrain appuiera d’ailleurs cette thèse de part son côté un peu plus sombre. On revient dans une ambiance plus joviale avec « This ain’t my America » qui débute lentement pour évoluer dans un mid tempo mélodique à souhaits.
Retour dans un domaine rock agressif avec « Comin back for more ». La rage du combo de se relancer se fait ressentir, et cette chanson peut représenter sans problèmes la hargne du groupe pour se réinscrire parmi les grands de la musique jouant encore. Contrairement à ce que j’aurai pu penser, le titre éponyme « God and guns » est un morceau posé et folk western. Calme mais prenant. Changement de rythme et retour dans un du rock avec « Storm ». Pour terminer cet album, c’est Gifted hands » qui nous est proposée. Une seconde ballade qui posera les choses, avec douceur.
Un sacré retour diablement bon. Que dire si ce n’est que tout l’album est énorme, son écoute se fait d’un seul trait et sans accrocs. On se languit trois choses : la prochaine écoute, les voire sur scène, et le prochain album !
Aussi à l’annonce de ce nouvel album, c’est avec précipitation et les oreilles grandes ouvertes que je me plonge dans l’écoute, et aussi dans la vision due au clip vidéo, de « Still Unbroken », première chanson de l’album et aussi single choisi pour présenter l’album. Un énorme riff lance la chanson, toujours avec cette ambiance bluesy / bayou avec une superbe ligne de chant. Au moment du premier couplet, une bonne montée en puissance retentit et fait bien vibrer au passage, enchaînant sur le refrain. On retombe dans cette ambiance prenante pour revenir encore mieux sur ce sacré refrain. Un single bien choisit, loin des lignées trop commerciales habituelles pour des groupes de cette ampleur. « Simple life » poursuit cette ballade musicale proche de Creedence Clearwater Revival. Le petit côté jovial de la chanson donne une accroche supplémentaire et procure une bonne sensation d’évasion.
Cela pourrait être une déclaration. Ce « Simple thing called you » prend immédiatement à cœur de part son aspect bluesy, avec un peu d’harmonica pour agrémenter le tout. Les mélodies sont belles et bien présentent et appuient cette musique bien agréable à la base. Un petit solo guitare histoire de varier les plaisir et c’est repartit pour un tour. Un retour complet en Alabama avec « Southern Ways » qui pourrait rappeler par moments le grand hit du groupe, surtout sur le passage au clavier. Un bien bon mid tempo. Voilà maintenant une chanson qui va en faire vibrer plus d’un : « Skynyrd Nation ». Rien que le titre est évocateur. Une entrée bien rock et plus agressive que les chansons précédentes, mais qui garde un super groove. Ici, deux chanteurs se donnent la répliquent et l’on ne pourra cacher longtemps le fait que cette chanson nous a envoyé une belle bastos dans la face ; appuyé par un refrain embellit par les chœurs.
Rien qu’avec les débuts, on le sent gros comme une maison. Ce « Unwrite that song » est une ballade. Ca ne loupe pas. On connaît la capacité des américains à nous proposer de sacrément bonnes ballades, et celle-ci ne déroge pas à la règle : elle est magnifique. « Floyd » change d’ambiance et rentre plus vers une ambiance western mélangé avec du blues. On pourrait presque se croire au far west, marchant dans les rues d’une ville, le soleil tapant sur notre corps avant un duel. Le refrain appuiera d’ailleurs cette thèse de part son côté un peu plus sombre. On revient dans une ambiance plus joviale avec « This ain’t my America » qui débute lentement pour évoluer dans un mid tempo mélodique à souhaits.
Retour dans un domaine rock agressif avec « Comin back for more ». La rage du combo de se relancer se fait ressentir, et cette chanson peut représenter sans problèmes la hargne du groupe pour se réinscrire parmi les grands de la musique jouant encore. Contrairement à ce que j’aurai pu penser, le titre éponyme « God and guns » est un morceau posé et folk western. Calme mais prenant. Changement de rythme et retour dans un du rock avec « Storm ». Pour terminer cet album, c’est Gifted hands » qui nous est proposée. Une seconde ballade qui posera les choses, avec douceur.
Un sacré retour diablement bon. Que dire si ce n’est que tout l’album est énorme, son écoute se fait d’un seul trait et sans accrocs. On se languit trois choses : la prochaine écoute, les voire sur scène, et le prochain album !
Critique : Lionel
Note : 9.5/10
Site du groupe : Site de Lynyrd Skynyrd
Vues : 5743 fois