Chronique
FREEDOM CALL - LEGEND OF THE SHADOWKING / Spv Records 2010
Après un retour en fanfare avec l’album Dimensions, nos pionniers du Happy Metal reviennent en ce début d’année avec un LEGEND OF THE SHADOWKING. Immédiatement, on peut constater une évolution au niveau de la pochette. Le côté comics U.S a disparu et place maintenant à du sérieux avec cette pochette au bleu sombre, représentant le concept de l’album : le roi Ludwig II de Bavière.
L’album débute sur « Out of the ruins » qui répond immédiatement à l’attente des fans. Des chœurs, des mélodies, un rythme chevaleresque et un Chris Bay en super forme au niveau vocal. L’énergie est bien là, et au moment du refrain c’est une grosse baffe qui déferle avec toujours autant d’arrangements et d’orchestrations. Un régal pour ce lancement. S’en suit « Thunder god » qui là attaque avec un sacré riff dans la droite lignée de l’album ‘Eternity’ mais avec un petit côté heavy en plus qui donne encore plus de puissance et de dimensions à ce titre qui crie haut et fort « Hail to the mighty gods of thunder ! ».
Des orchestrations sur une ambiance chevaleresque pour lancée « Tears of Babylon ». Un titre épique en mid tempo qui propose un autre aspect bien connu de nos allemands : le côté posé, direct et efficace des titres. Arrivée plus grandiose et racée pour « Merlin – Legend of the past » qui ici met les petits plats dans les grands. Tout le grand musical de Freedom Call est réuni. Sans oublier le refrain, simple à retenir, appuyé par des chœurs. Un titre qui va faire un effet du tonnerre sur scène.
Seuls les chœurs se chargent d’ouvrir « Resurrection Day » avant l’attaque de Dan à la batterie, suivi de peut par ses compères. Un titre plus sombre que les précédents mais qui garde bien évidement le côté mélodique et épique.
Arrivée plus douce et mélancolique pour « Under the spell of the moon ». La tension monte progressivement pour débouler dans un mid tempo lourd et pesant où Chris prend une voix plus racleuse en général ce qui donne encore un autre attrait musical au groupe. « Dark obsession » débute de manière toute aussi calme et sombre, avec quelques carillons avant de se lancer dans un titre renversant très opéra mélancolique et lyrique martelé par une double, et bonifié par une nappe de synthé ; sans oublier le refrain agrémenté de chœurs. On continue dans le côté sombre avec « The Darkness ». C’est lent, c’est pesant et Lars se lance dans un solo guitare plaisant, appuyé par un Chris au mieux de sa forme.
Vous vouliez un peu de happy metal traditionnel à la Freedom Call. Et bien voilà, « Remember ! » remet les choses en place pour le plus grand plaisir de chacun car ce titre est une grosse tuerie. La mélodie, le rythme, la tension, les musiciens... tout est parfait. Retour des carillons pour l’arrivée de « Ludwig II – Prologue ». Un interlude de deux minutes bien sombre avec une batterie annonçant une condamnation ou le retour du fantôme du roi… le tout en allemand. Retour à la musique pure et dure à l’aide de « The Shadowking ». Une nouvelle fois, Chris prend une voix plus rauque pour agrémenter cette musique mélodique et lourde. Changement de registre total avec « Merlin – Requiem ». La ballade de l’album, qui est une vrai beauté, proche de Queen de part les guitares, les intonations de Chris et les orchestrations ; Enchanteur.
« Kingdom of madness » vient à la charge avec des sons futuristes, ce qui est innovateur pour le combo. Un titre plus heavy et moderne qui donne au groupe une possibilité d’évolution musicale supplémentaire tout en gardant les grandes lignes mélodiques qui ont fait sa réputation. Pour finaliser cet album, c’est « A perfect day » qui s’en charge et l’on en est plus que content. Cet hymne de Happy metal inspiré de « Eternity » et « Dimensions », est du bonheur en barre. Un final grandiose.
Conclusion : que dire si ce n’est que Freedom Call a mis la barre très, très haute. Un gros coup de cœur que peu de groupes et d’albums risquent de détrôner. Le meilleur album du groupe à ce jour.
L’album débute sur « Out of the ruins » qui répond immédiatement à l’attente des fans. Des chœurs, des mélodies, un rythme chevaleresque et un Chris Bay en super forme au niveau vocal. L’énergie est bien là, et au moment du refrain c’est une grosse baffe qui déferle avec toujours autant d’arrangements et d’orchestrations. Un régal pour ce lancement. S’en suit « Thunder god » qui là attaque avec un sacré riff dans la droite lignée de l’album ‘Eternity’ mais avec un petit côté heavy en plus qui donne encore plus de puissance et de dimensions à ce titre qui crie haut et fort « Hail to the mighty gods of thunder ! ».
Des orchestrations sur une ambiance chevaleresque pour lancée « Tears of Babylon ». Un titre épique en mid tempo qui propose un autre aspect bien connu de nos allemands : le côté posé, direct et efficace des titres. Arrivée plus grandiose et racée pour « Merlin – Legend of the past » qui ici met les petits plats dans les grands. Tout le grand musical de Freedom Call est réuni. Sans oublier le refrain, simple à retenir, appuyé par des chœurs. Un titre qui va faire un effet du tonnerre sur scène.
Seuls les chœurs se chargent d’ouvrir « Resurrection Day » avant l’attaque de Dan à la batterie, suivi de peut par ses compères. Un titre plus sombre que les précédents mais qui garde bien évidement le côté mélodique et épique.
Arrivée plus douce et mélancolique pour « Under the spell of the moon ». La tension monte progressivement pour débouler dans un mid tempo lourd et pesant où Chris prend une voix plus racleuse en général ce qui donne encore un autre attrait musical au groupe. « Dark obsession » débute de manière toute aussi calme et sombre, avec quelques carillons avant de se lancer dans un titre renversant très opéra mélancolique et lyrique martelé par une double, et bonifié par une nappe de synthé ; sans oublier le refrain agrémenté de chœurs. On continue dans le côté sombre avec « The Darkness ». C’est lent, c’est pesant et Lars se lance dans un solo guitare plaisant, appuyé par un Chris au mieux de sa forme.
Vous vouliez un peu de happy metal traditionnel à la Freedom Call. Et bien voilà, « Remember ! » remet les choses en place pour le plus grand plaisir de chacun car ce titre est une grosse tuerie. La mélodie, le rythme, la tension, les musiciens... tout est parfait. Retour des carillons pour l’arrivée de « Ludwig II – Prologue ». Un interlude de deux minutes bien sombre avec une batterie annonçant une condamnation ou le retour du fantôme du roi… le tout en allemand. Retour à la musique pure et dure à l’aide de « The Shadowking ». Une nouvelle fois, Chris prend une voix plus rauque pour agrémenter cette musique mélodique et lourde. Changement de registre total avec « Merlin – Requiem ». La ballade de l’album, qui est une vrai beauté, proche de Queen de part les guitares, les intonations de Chris et les orchestrations ; Enchanteur.
« Kingdom of madness » vient à la charge avec des sons futuristes, ce qui est innovateur pour le combo. Un titre plus heavy et moderne qui donne au groupe une possibilité d’évolution musicale supplémentaire tout en gardant les grandes lignes mélodiques qui ont fait sa réputation. Pour finaliser cet album, c’est « A perfect day » qui s’en charge et l’on en est plus que content. Cet hymne de Happy metal inspiré de « Eternity » et « Dimensions », est du bonheur en barre. Un final grandiose.
Conclusion : que dire si ce n’est que Freedom Call a mis la barre très, très haute. Un gros coup de cœur que peu de groupes et d’albums risquent de détrôner. Le meilleur album du groupe à ce jour.
Critique : Lionel
Note : 10/10
Site du groupe : Site de Freedom Call
Vues : 5734 fois