Chronique
WUTHERING HEIGHTS - SALT / Sansory records 2010
Ah ! Revoilà mes Danois préférés qui après deux tueries remettent le couvert quatre années quand même après leur dernier méfait. Aller vite, vite appuis sur play !!
Un petit « Away » en forme de mise en bouche déboule de manière bien rentre dedans pour nous permettre d'entrer en plein dans le concept maritime de ce nouvel opus. Ensuite on plonge dans la speed « The desperete poet » qui nous fait voyager dans l'univers complexe mais toujours aussi théâtral de nos Danois. Un premier vrai titre qui nous rappelle à quel point ce groupe est doué !
Ouf on est soufflé par cette avalanche mais pas de temps pour se remettre car « The mad sailor » déboule sur un rythme toujours aussi soutenu. Bien plus déjantée elle mélange les styles avec brio et classe. Le refrain est un pur bijou à reprendre en chœur. On semble avoir atterri en plein port d'Amsterdam il y a 200 ans en arrière ! On ne sait plus où donner de la tête que « The last tribe (Mother earth) » arrive. Juste deux secondes de narration et on part sur des rythmes de plus en plus fous. Notre cerveau n'arrive plus à analyser ce qui se passe. Heureusement par la suite ça se calme et Nils Patrick Johnason enivre l'auditeur. Un titre à nouveau très progressif où les changements de rythmes sont légion ainsi que les ambiances musicales.
Est-ce qu'avec « Tears » on va calmer un peu le jeu ? Réponse presque. Un début folklorique qui fait voyager puis c'est reparti pour du bon métal soutenu. Malgré tout nous avons affaire à du plus soft dira-t-on, où le folklore prend plus de place. Mais qu'est-ce que ça envoie des pieds !! Un début des plus calme vient à nos oreilles. « Weather the storm » apporte quelques secondes de répit avant de repartir sur les flots au gré des houles. Surement le titre le plus en rapport avec la mer tant on ressent presque les vagues vous remuer.
« The field » poursuit dans une veine plus acoustique mais toujours aussi inspirée, par les comptes de la mer. Je n'avais pas revécu ça depuis le superbe The Wake of Magelan de Savatage !! Une petite « Water of life » toute simple nous rappelle les chansons des pubs. Elle intronise la longue et très épique « Lost at sea » et ses 16'30 de pur délire musical. Comme c'est le cas souvent, elle est un pur condensé de ce que le groupe a été capable de nous proposer durant cet opus. Du pur bonheur qui coule le long de vos oreilles grandes ouvertes pour ne pas en rater une miette !!
Conclusion : Wuthering heights vient de nous sortir un très gros pavé complexe à souhait, difficile à digérer aux premières écoutes, mais qui ne manque pas de qualité !! Neuf titres marinés aux petits oignons qui vous feront revisiter les mers et les océans du monde entier !!
Un petit « Away » en forme de mise en bouche déboule de manière bien rentre dedans pour nous permettre d'entrer en plein dans le concept maritime de ce nouvel opus. Ensuite on plonge dans la speed « The desperete poet » qui nous fait voyager dans l'univers complexe mais toujours aussi théâtral de nos Danois. Un premier vrai titre qui nous rappelle à quel point ce groupe est doué !
Ouf on est soufflé par cette avalanche mais pas de temps pour se remettre car « The mad sailor » déboule sur un rythme toujours aussi soutenu. Bien plus déjantée elle mélange les styles avec brio et classe. Le refrain est un pur bijou à reprendre en chœur. On semble avoir atterri en plein port d'Amsterdam il y a 200 ans en arrière ! On ne sait plus où donner de la tête que « The last tribe (Mother earth) » arrive. Juste deux secondes de narration et on part sur des rythmes de plus en plus fous. Notre cerveau n'arrive plus à analyser ce qui se passe. Heureusement par la suite ça se calme et Nils Patrick Johnason enivre l'auditeur. Un titre à nouveau très progressif où les changements de rythmes sont légion ainsi que les ambiances musicales.
Est-ce qu'avec « Tears » on va calmer un peu le jeu ? Réponse presque. Un début folklorique qui fait voyager puis c'est reparti pour du bon métal soutenu. Malgré tout nous avons affaire à du plus soft dira-t-on, où le folklore prend plus de place. Mais qu'est-ce que ça envoie des pieds !! Un début des plus calme vient à nos oreilles. « Weather the storm » apporte quelques secondes de répit avant de repartir sur les flots au gré des houles. Surement le titre le plus en rapport avec la mer tant on ressent presque les vagues vous remuer.
« The field » poursuit dans une veine plus acoustique mais toujours aussi inspirée, par les comptes de la mer. Je n'avais pas revécu ça depuis le superbe The Wake of Magelan de Savatage !! Une petite « Water of life » toute simple nous rappelle les chansons des pubs. Elle intronise la longue et très épique « Lost at sea » et ses 16'30 de pur délire musical. Comme c'est le cas souvent, elle est un pur condensé de ce que le groupe a été capable de nous proposer durant cet opus. Du pur bonheur qui coule le long de vos oreilles grandes ouvertes pour ne pas en rater une miette !!
Conclusion : Wuthering heights vient de nous sortir un très gros pavé complexe à souhait, difficile à digérer aux premières écoutes, mais qui ne manque pas de qualité !! Neuf titres marinés aux petits oignons qui vous feront revisiter les mers et les océans du monde entier !!
Critique : Guillaume
Note : 8.5/10
Vues : 5728 fois