Chronique
FICTIONPLANE - SPARKS / Roadrunner Rcords 2010
Après un second album (Left Side of the Brain) qui leur a ouvert les portes de la célébrité, une tournée internationale qui fut un succès et où ils enregistrèrent un superbe concert au Paradiso à Amsterdam (chroniqué sur ce site), voilà le retour du trio anglais avec ce SPARKS qui est censé allumer l’étincelle de la confirmation parmi les grands.
Pour ce qui est de la pochette, elle est toujours aussi étrange et barrée que la précédente. Un style particulier qui laisse songeur. Passons maintenant à l’écoute de cette rondelle. Je serai honnête, à la première écoute de l’album je me suis trouvé complètement perdu. Rien à voir avec le style musical proposé auparavant. Maintenant le groupe veut apposer sa griffe personnelle sur les chansons et cela se ressent. Ils abordent un domaine musical plus complexe et beaucoup plus barré. Il faudra certainement au moins trois ou quatre bonnes écoutes pour rentrer pleinement dans leur musique et comprendre les titres.
Une fois cette passade négociée, on pourra discerner deux parties dans cette structure de l’album. La première moitié (jusqu’à la chanson Two Sparks) étant des titres pop rock qui se rapprochent le plus des chansons comme « Death Machine » ou encore « It’s a lie ». Des titres vifs et prenants qui donneront la patate en les écoutants. Et même si certains peuvent sembler un peu plus difficiles à l’approche de par la structure (« Talking » par exemple) qui mélange plusieurs influences, l’ensemble sera bien plaisant et prenant. Mon morceau préféré sera très certainement « Revenge » qui regorge de fraîcheur et d’enthousiasme, tout comme le titre « Two Sparks » qui déchire bien.
Pour la seconde partie de cette album, les titres se trouvent être un peu plus mous et un peu moins accrocheurs. Non pas qu’ils soient mauvais mais plus tôt qu’ils fassent retomber l’ambiance quasi festive et joviale. La douceur et la délicatesse sont plus au rendez-vous. Un autre aspect musical donné par le trio.
Sans oublier les trois bonus track, qui ont bien leur nom, surtout « Angel Eyes », qui n’a pas sa place car trop mou de genou. Par contre la version acoustique de Sadr City Blues est monstrueuse, ou comment redonner une nouvelle couleur à du déjà entendu.
Tout au long de cet album on ressent parfaitement la motivation des musiciens et de leur envie de partager leur passion qu’est la musique au travers de ces notes, de ces paroles et de ces ambiances qui doivent être très certainement représentatives par moment d’un vécu quelconque d’un des trois membres. Un album et des compositions bien sympas qu’il va falloir défendre sur scène maintenant.
Pour ce qui est de la pochette, elle est toujours aussi étrange et barrée que la précédente. Un style particulier qui laisse songeur. Passons maintenant à l’écoute de cette rondelle. Je serai honnête, à la première écoute de l’album je me suis trouvé complètement perdu. Rien à voir avec le style musical proposé auparavant. Maintenant le groupe veut apposer sa griffe personnelle sur les chansons et cela se ressent. Ils abordent un domaine musical plus complexe et beaucoup plus barré. Il faudra certainement au moins trois ou quatre bonnes écoutes pour rentrer pleinement dans leur musique et comprendre les titres.
Une fois cette passade négociée, on pourra discerner deux parties dans cette structure de l’album. La première moitié (jusqu’à la chanson Two Sparks) étant des titres pop rock qui se rapprochent le plus des chansons comme « Death Machine » ou encore « It’s a lie ». Des titres vifs et prenants qui donneront la patate en les écoutants. Et même si certains peuvent sembler un peu plus difficiles à l’approche de par la structure (« Talking » par exemple) qui mélange plusieurs influences, l’ensemble sera bien plaisant et prenant. Mon morceau préféré sera très certainement « Revenge » qui regorge de fraîcheur et d’enthousiasme, tout comme le titre « Two Sparks » qui déchire bien.
Pour la seconde partie de cette album, les titres se trouvent être un peu plus mous et un peu moins accrocheurs. Non pas qu’ils soient mauvais mais plus tôt qu’ils fassent retomber l’ambiance quasi festive et joviale. La douceur et la délicatesse sont plus au rendez-vous. Un autre aspect musical donné par le trio.
Sans oublier les trois bonus track, qui ont bien leur nom, surtout « Angel Eyes », qui n’a pas sa place car trop mou de genou. Par contre la version acoustique de Sadr City Blues est monstrueuse, ou comment redonner une nouvelle couleur à du déjà entendu.
Tout au long de cet album on ressent parfaitement la motivation des musiciens et de leur envie de partager leur passion qu’est la musique au travers de ces notes, de ces paroles et de ces ambiances qui doivent être très certainement représentatives par moment d’un vécu quelconque d’un des trois membres. Un album et des compositions bien sympas qu’il va falloir défendre sur scène maintenant.
Critique : Lionel
Note : 7.5/10
Site du groupe : Myspace de FictionPlane
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