Chronique
IOMMY HUGHES - THE 1996 DEP SESSSIONS / SANCTUARY RECORDS 2004
Quand 2 légendes du hard se réunissent pour un album cela pète le feu. Et oui en 1996 Tony Iommi guitariste de Black Sabbath et Glenn Hughes bassiste chanteur d’exception qui eu un temps officié dans Deep Purple et Black Sabbath (pour les plus connus vu son c.v) se retrouve à nouveau pour cet album, qui ne sortira que 8 ans plus tard.
Donc voici le résumé de cette rencontre hors norme.
« Gone » ouvre les hostilités sur un riff heavy comme notre ami Tony les affectionnent puis la magnifique voix du père Glenn entre en jeu : quelle magie ce mélange.
« From another world » poursuit le festival avec une intro acoustique, pour une semi ballade merveilleuse où l’organe de Glenn fait sensation sur la guitare devenue électrique d’un Tony au meilleur de sa forme.
Puis « don’t you tell me » débarque dans un style plus adapté à Glenn, avec son heavy mélodique.
« Don’t drag the river » est un titre semi-acoustique fort sympatoche qui montre un autre visage d’un Tony Iommi décontracté, loin de la pression du sab, et « fine » plus aérienne offre sur un plateau d’argent un espace de rêve pour notre chanteur, un titre limite hypnotisant avec ce riff entêtant.
« Time is the healer » retrouve les grandes heures du son et du riff lourd celui qui a fait la réputation du sabbat noir. Une nouvelle fois Glenn nous montre tout son talent dans des vocaux à la fois agressifs, jouissifs et mélodiques : un maître cet homme. L’un des meilleurs titres de l’album.
« I’m not the same man » c’est de la bombe un titre speed hard énorme au chant calme puis déchaîné, puis le break avec l’ami Don Airey (Deep purple,MSG, Metalium) au synthé, un titre qui met le feu.
Pour finir la sublime « it fall through me » où une nouvelle fois la magie des 2 êtres prend une telle dimension, une ballade magnifique très bien aidée par l’inimitable voix d’un des plus grands.
Conclusion : un album, 2 monstres rien que ça. C’est énorme, une musique qui à malheureusement vieillit, mais qui reste jouissive en espérant que ces 2 là se réunissent une nouvelle fois, prochainement, et qu’on n’ai pas à attendre 8 ans pour goûter à notre plaisir. Fan de bon hard jetez vous dessus et délectez vous de ce plaisir inoubliable.
Donc voici le résumé de cette rencontre hors norme.
« Gone » ouvre les hostilités sur un riff heavy comme notre ami Tony les affectionnent puis la magnifique voix du père Glenn entre en jeu : quelle magie ce mélange.
« From another world » poursuit le festival avec une intro acoustique, pour une semi ballade merveilleuse où l’organe de Glenn fait sensation sur la guitare devenue électrique d’un Tony au meilleur de sa forme.
Puis « don’t you tell me » débarque dans un style plus adapté à Glenn, avec son heavy mélodique.
« Don’t drag the river » est un titre semi-acoustique fort sympatoche qui montre un autre visage d’un Tony Iommi décontracté, loin de la pression du sab, et « fine » plus aérienne offre sur un plateau d’argent un espace de rêve pour notre chanteur, un titre limite hypnotisant avec ce riff entêtant.
« Time is the healer » retrouve les grandes heures du son et du riff lourd celui qui a fait la réputation du sabbat noir. Une nouvelle fois Glenn nous montre tout son talent dans des vocaux à la fois agressifs, jouissifs et mélodiques : un maître cet homme. L’un des meilleurs titres de l’album.
« I’m not the same man » c’est de la bombe un titre speed hard énorme au chant calme puis déchaîné, puis le break avec l’ami Don Airey (Deep purple,MSG, Metalium) au synthé, un titre qui met le feu.
Pour finir la sublime « it fall through me » où une nouvelle fois la magie des 2 êtres prend une telle dimension, une ballade magnifique très bien aidée par l’inimitable voix d’un des plus grands.
Conclusion : un album, 2 monstres rien que ça. C’est énorme, une musique qui à malheureusement vieillit, mais qui reste jouissive en espérant que ces 2 là se réunissent une nouvelle fois, prochainement, et qu’on n’ai pas à attendre 8 ans pour goûter à notre plaisir. Fan de bon hard jetez vous dessus et délectez vous de ce plaisir inoubliable.
Critique : Guillaume
Note : 8/10
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