Chronique
BLACK LABEL SOCIETY - ORDER OF THE BLACK / Roadrunner 2010
L'ami Zakk Wylde is back. Après quelques années de silence bienvenu suite à deux sorties consécutives peu existantes (Mafia, et surtout Shoot to hell) BLS refait surface, pour je l'espère une petite tuerie qui ravivera la flamme !! Prêts pour des riffs assassins et des descentes de manches incendiers ? Moi oui !!
« Crazy horse » est donc le titre qui va nous permettre de mesurer là où en est notre bucheron. A première vue notre homme a retrouvé de l'idée avec un bon riff gras et surtout un titre qui rappelle ceux de l'excellent 'Blessede hellrider'. Niveau voix, même si elle traine toujours vers le Ozzy, celle-ci semble bien plus couillue et viscérale. Une première intention des plus réussie avec un bon solo à l'ancienne, vite, vite la suite !!!! « Overlord » débute sur une petite guitare old scholl avant que le riff n'arrive et balaye tout sur son passage. La prod de ce nouvel album est très puissante mettant bien en évidence la guitare de notre génie. Plus lourde elle nous apporte son lot de testostérone qui nous manquait !!
Rassuré en plein, nous poursuivons sur un « Parade of the dead » dévastateur, où l'on retrouve le jeu particulier et flamboyant de Zakk. Une sorte de retour aux sources bienfaiteur ! Après cette tornade place à un exercice devenu imparable : La ballade. « Darkest days « est un très joli exemple, soft avec piano et guitare acoustique soutenu par une voix chaude et bien posée. Là aussi Mr Wylde a retrouvé toute sa verve.
« Black sunday » débute par un solo explosif avant de nous donner du rythme soutenu. Du bon métal taillé pour la scène avec des parties solos tranchantes. Nouveau mid tempo puissant avec l'arrivée de « Southern dissolution ». Ah la la qu'il est bon de réentendre du très bon BLS, lumineux et inspiré.
« Time waits for no one » est la deuxième ballade majoritairement au piano qui fait fortement penser à Elton John, avec un Zakk très convainquant et touchant. Gros morceau avec « Godspeed hellbound » qui ne fait pas dans la dentelle. Du pur et dur qui nous rappelle les premières réalisations de l'homme à la Les Paul. A noter un pont très bien vu.
Intro inquiétante pour « War of heaven », qui nous offre un mid tempo explosif. Je suis réellement comblé par cette offrande de l'ex bras droit du Madman, tant celui-ci a vraiment retrouvé toute sa superbe !! Le piano refait son apparition pour la pop « Shallow grave » qui te prend aux tripes. Notre homme est vraiment très fort dans ces moments-là.
La larme à l'œil essuyée d'un revers de la main, la démonstration « Chupacabra » va vous époustoufler ! Quelques secondes de génie, ou comment torturer sa guitare sèche pour notre plus grand plaisir. Surtout que celui-ci est prolongé avec l'arrivée de la couillue et puissante « Riders of the damned »; thème de prédilection de notre amoureux de Harley Davidson. Cette fois-ci aussi un petit pont bien sentie avant le solo et quel solo !!
On reprend du sublime avec l'acoustique « January » où quelques cordes viennent se mêler à l'affaire. Une énième ballade somptueuse qui nous ferrait presque pleurer si on n'était pas des hommes, des vrais. Dernière pièce avec « Can't fine my way home » dernière ballade là encore très touchante, qui aurait beaucoup plu à ce cher Ozzy !!
Conclusion : avec cet album Zakk Wylde renoue avec ses meilleures réalisations. Des compositions très solides qui rassureront tous les fans et redonnent de l'espoir à ceux qui doutaient des capacités de notre bucheron préféré. L'album de cette rentrée !!
« Crazy horse » est donc le titre qui va nous permettre de mesurer là où en est notre bucheron. A première vue notre homme a retrouvé de l'idée avec un bon riff gras et surtout un titre qui rappelle ceux de l'excellent 'Blessede hellrider'. Niveau voix, même si elle traine toujours vers le Ozzy, celle-ci semble bien plus couillue et viscérale. Une première intention des plus réussie avec un bon solo à l'ancienne, vite, vite la suite !!!! « Overlord » débute sur une petite guitare old scholl avant que le riff n'arrive et balaye tout sur son passage. La prod de ce nouvel album est très puissante mettant bien en évidence la guitare de notre génie. Plus lourde elle nous apporte son lot de testostérone qui nous manquait !!
Rassuré en plein, nous poursuivons sur un « Parade of the dead » dévastateur, où l'on retrouve le jeu particulier et flamboyant de Zakk. Une sorte de retour aux sources bienfaiteur ! Après cette tornade place à un exercice devenu imparable : La ballade. « Darkest days « est un très joli exemple, soft avec piano et guitare acoustique soutenu par une voix chaude et bien posée. Là aussi Mr Wylde a retrouvé toute sa verve.
« Black sunday » débute par un solo explosif avant de nous donner du rythme soutenu. Du bon métal taillé pour la scène avec des parties solos tranchantes. Nouveau mid tempo puissant avec l'arrivée de « Southern dissolution ». Ah la la qu'il est bon de réentendre du très bon BLS, lumineux et inspiré.
« Time waits for no one » est la deuxième ballade majoritairement au piano qui fait fortement penser à Elton John, avec un Zakk très convainquant et touchant. Gros morceau avec « Godspeed hellbound » qui ne fait pas dans la dentelle. Du pur et dur qui nous rappelle les premières réalisations de l'homme à la Les Paul. A noter un pont très bien vu.
Intro inquiétante pour « War of heaven », qui nous offre un mid tempo explosif. Je suis réellement comblé par cette offrande de l'ex bras droit du Madman, tant celui-ci a vraiment retrouvé toute sa superbe !! Le piano refait son apparition pour la pop « Shallow grave » qui te prend aux tripes. Notre homme est vraiment très fort dans ces moments-là.
La larme à l'œil essuyée d'un revers de la main, la démonstration « Chupacabra » va vous époustoufler ! Quelques secondes de génie, ou comment torturer sa guitare sèche pour notre plus grand plaisir. Surtout que celui-ci est prolongé avec l'arrivée de la couillue et puissante « Riders of the damned »; thème de prédilection de notre amoureux de Harley Davidson. Cette fois-ci aussi un petit pont bien sentie avant le solo et quel solo !!
On reprend du sublime avec l'acoustique « January » où quelques cordes viennent se mêler à l'affaire. Une énième ballade somptueuse qui nous ferrait presque pleurer si on n'était pas des hommes, des vrais. Dernière pièce avec « Can't fine my way home » dernière ballade là encore très touchante, qui aurait beaucoup plu à ce cher Ozzy !!
Conclusion : avec cet album Zakk Wylde renoue avec ses meilleures réalisations. Des compositions très solides qui rassureront tous les fans et redonnent de l'espoir à ceux qui doutaient des capacités de notre bucheron préféré. L'album de cette rentrée !!
Critique : Guillaume
Note : 8.5/10
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