Chronique
MASS HYSTERIA - FAILLES / At(h)ome 2009
Mass Hysteria est pour moi un ovni du metal français. Je les ai découvert aux arènes de Nîmes (ne me demandez pas en quelle année) alors qu’ils jouaient en ouverture de Didier Wampas. Lors de leur concert, la performance scénique du chanteur m’avait impressionné. Par ailleurs, un seul titre m’a marqué ce soir là : « Furia ». C’est donc avec ce nouvel album « Failles » que je re-pause mes oreilles sur la musique de ce combo français.
On commence avec « World on fire » et une personne qui respire difficilement. Un gros riff histoire de percuter nos oreilles et c’est parti. Ici le chant est en français, les paroles tranchantes mais bien percutantes ; tout comme la musique d’ailleurs. Le refrain est simple mais efficace. « Plus qu’aucune mer » arrive avec dynamisme. Du gros rock et toujours une guitare monstrueuse. Le premier couplet met une belle baffe avec ces chœurs en fond pour donner plus de dimension au vocal principal.
Intro plus mélodique et électronique pour le title track « Failles », qui d’ailleurs continuera dans cette lancée et toujours avec ce chant un peu rapé, agrémenté par des chœurs ici et là. On est presque à fleur de peau. « L’archipel des pensées » se remet au goût du rock mais avec le clavier en plus cette fois-ci. De la disto et bim on attaque un morceau trippant qui donne envie de sauter, et crier ! Et ce break à la batterie ; énorme !
D’ailleurs la batterie se charge de lancer « Clean » de façon bien sauvage sur un texte engagé avec une bonne dynamique révoltante. Retour au son électronique accompagné de la guitare pour catapulter « Dysphoria » qui a un refrain étrange, voire un peu mou.
« Le magnétisme des sentiments » continue notre voyage dans la révolte interne avec une musique collant parfaitement à ces idéaux de perdition aux niveaux physique et mental. « Aller plus loin » débute avec un gros riff et bim, le chant arrive pour nous percuter et continuer à nous marteler sans cesse et à nous faire vibrer.
L’essence même de la vie : « respirer ». Une arrivée un peu hardcore années 90 avant de rentrer dans ce neo rock furieux, se posant au début de la ligne vocale histoire de nous faire profiter de cette sensation si naturelle qu’est le souffle. « Get high » arrive doucement mais surement. Au plus les secondes passent et au plus l’ambiance se durcit et monte en puissance pour nous faire plonger dans un titre chanté en anglais cette fois-ci ; donnant plus d’agressivité (à mon goût). On clame les choses pour les débuts de « Rien n’être plus » qui à l’aide de la batterie s’annonce avec calme. La hargne arrive juste après pour replonger dans ce monde de révolte. Ca tape dur pour « Comme on danse » qui vient conclure cette album avec des paroles prônant la force du rock et de metal. J’adore !
Conclusion : un album percutant aux paroles fortes en révoltes. Malgré ma réticence envers la musique avec des textes en français, ici le tout s’unie bien, tout comme une autre de mes exceptions : les palois de Manigance. Alors, sautons, dansons, hurlons !
On commence avec « World on fire » et une personne qui respire difficilement. Un gros riff histoire de percuter nos oreilles et c’est parti. Ici le chant est en français, les paroles tranchantes mais bien percutantes ; tout comme la musique d’ailleurs. Le refrain est simple mais efficace. « Plus qu’aucune mer » arrive avec dynamisme. Du gros rock et toujours une guitare monstrueuse. Le premier couplet met une belle baffe avec ces chœurs en fond pour donner plus de dimension au vocal principal.
Intro plus mélodique et électronique pour le title track « Failles », qui d’ailleurs continuera dans cette lancée et toujours avec ce chant un peu rapé, agrémenté par des chœurs ici et là. On est presque à fleur de peau. « L’archipel des pensées » se remet au goût du rock mais avec le clavier en plus cette fois-ci. De la disto et bim on attaque un morceau trippant qui donne envie de sauter, et crier ! Et ce break à la batterie ; énorme !
D’ailleurs la batterie se charge de lancer « Clean » de façon bien sauvage sur un texte engagé avec une bonne dynamique révoltante. Retour au son électronique accompagné de la guitare pour catapulter « Dysphoria » qui a un refrain étrange, voire un peu mou.
« Le magnétisme des sentiments » continue notre voyage dans la révolte interne avec une musique collant parfaitement à ces idéaux de perdition aux niveaux physique et mental. « Aller plus loin » débute avec un gros riff et bim, le chant arrive pour nous percuter et continuer à nous marteler sans cesse et à nous faire vibrer.
L’essence même de la vie : « respirer ». Une arrivée un peu hardcore années 90 avant de rentrer dans ce neo rock furieux, se posant au début de la ligne vocale histoire de nous faire profiter de cette sensation si naturelle qu’est le souffle. « Get high » arrive doucement mais surement. Au plus les secondes passent et au plus l’ambiance se durcit et monte en puissance pour nous faire plonger dans un titre chanté en anglais cette fois-ci ; donnant plus d’agressivité (à mon goût). On clame les choses pour les débuts de « Rien n’être plus » qui à l’aide de la batterie s’annonce avec calme. La hargne arrive juste après pour replonger dans ce monde de révolte. Ca tape dur pour « Comme on danse » qui vient conclure cette album avec des paroles prônant la force du rock et de metal. J’adore !
Conclusion : un album percutant aux paroles fortes en révoltes. Malgré ma réticence envers la musique avec des textes en français, ici le tout s’unie bien, tout comme une autre de mes exceptions : les palois de Manigance. Alors, sautons, dansons, hurlons !
Critique : Lionel
Note : 7.5/10
Site du groupe : Site de Mass Hysteria
Vues : 5741 fois