Chronique
THE SWORD - WARP RIDERS / Kemado records 2010
Cette jeune formation américaine est surtout connue pour avoir ouvert sur la tournée de Metallica. Encensé par Lars Ulrich, notre groupe s'est vu offrir un pont d'or à l'aube de sortir son troisième album. Alors de quoi parle-t-on ici ?
On plonge corps et âme dans cette découverte avec la part 1 : The archer & the orb, et « Acheron/Unearthing the orb ». Une instrumentale plutôt musclée entre le métal classique le stoner et le old scholl. On sent à l'écoute de cette pièce musicale l'influence des Fours Horsemen. Un début, ma foi plutôt convainquant, qui ne demande qu'à entendre la suite. Celle-ci se nomme « Tres brujas » et confirme la parentée mutante de notre quatuor. Une chanson assez entrainante comme si Lynyrd Skynyrd avait rencontré ZZ Top.
Riff plus viril avec l'endiablé « Arrow in the dark » qui poursuit dans une veine plus Stoner pas très loin d'un Corrotion of conformity. Je comprends se qui a intéressé Metallica chez The Sword. Place à « The chronomancer I : Hubris » qui se développe le long de ses sept minutes comme un mid tempo malsain et puissant.
« Lawless lands » ne lâche rien et poursuit sur un autre mid tempo groovy à souhait. À noter un bon duel de guitares à la Blue Oyster Cult. Maintenant la part 2 The android & the sword, nous replonge avec « Astraea's dream » dans les 70's. Une deuxième instrumentale plutôt speed qui va faire du bruit en live ! « The warp riders » reprend là où le groupe nous avez laissé. Un Stoner groovy qui me rappel bien les derniers Black Sabbath.
Avec « Night city » on lorgne presque vers le grand Thin Lizzy, pour une bonne chanson rythmée et enjouée. Intro lugubre avec « The chronomancer II : Nemesis » qui suit son bonhomme de chemin en des terre galopantes. Une belle petite surprise que voilà !
On termine avec « (The night the sky cried) tears of fire » qui retrouve un patrimoine Irlandais de notre regretté Phil Lynott. Deux dernières pièces somme toute exquises.
Conclusion : voilà un groupe et un album loin d'être inintéressant. Plonger dans différent univers notre Quatuor nous propose un bain de jouvence bien vu.
On plonge corps et âme dans cette découverte avec la part 1 : The archer & the orb, et « Acheron/Unearthing the orb ». Une instrumentale plutôt musclée entre le métal classique le stoner et le old scholl. On sent à l'écoute de cette pièce musicale l'influence des Fours Horsemen. Un début, ma foi plutôt convainquant, qui ne demande qu'à entendre la suite. Celle-ci se nomme « Tres brujas » et confirme la parentée mutante de notre quatuor. Une chanson assez entrainante comme si Lynyrd Skynyrd avait rencontré ZZ Top.
Riff plus viril avec l'endiablé « Arrow in the dark » qui poursuit dans une veine plus Stoner pas très loin d'un Corrotion of conformity. Je comprends se qui a intéressé Metallica chez The Sword. Place à « The chronomancer I : Hubris » qui se développe le long de ses sept minutes comme un mid tempo malsain et puissant.
« Lawless lands » ne lâche rien et poursuit sur un autre mid tempo groovy à souhait. À noter un bon duel de guitares à la Blue Oyster Cult. Maintenant la part 2 The android & the sword, nous replonge avec « Astraea's dream » dans les 70's. Une deuxième instrumentale plutôt speed qui va faire du bruit en live ! « The warp riders » reprend là où le groupe nous avez laissé. Un Stoner groovy qui me rappel bien les derniers Black Sabbath.
Avec « Night city » on lorgne presque vers le grand Thin Lizzy, pour une bonne chanson rythmée et enjouée. Intro lugubre avec « The chronomancer II : Nemesis » qui suit son bonhomme de chemin en des terre galopantes. Une belle petite surprise que voilà !
On termine avec « (The night the sky cried) tears of fire » qui retrouve un patrimoine Irlandais de notre regretté Phil Lynott. Deux dernières pièces somme toute exquises.
Conclusion : voilà un groupe et un album loin d'être inintéressant. Plonger dans différent univers notre Quatuor nous propose un bain de jouvence bien vu.
Critique : Guillaume
Note : 7/10
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