Chronique
NEAL MORSE - ONE / Spv 2004
Prés pour rester longtemps, très longtemps devant votre chaîne stéréo favorite??? 1h19 minutes et 55 secondes : voila la durée du cd. Pas convaincus encore ? « The creation » le 1er titre de cet album : 18min 23. Voila de quoi calmer pas mal de monde. Et bien non ça passe à une vitesse ! le 1er titre est déjà divisé en 4 parties : l’intro est bien sympa, on dirait presque une bande son pour un dessin animé (désolé pour la comparaison mais moi ça me fait penser à ça un chroniqueur gêner…) bon l’esprit est assez bien. Neal Morse ( guitariste chanteur clavier, rien que ça ) fait dans le prog donc forcement il va pas faire court mais la construction des morceaux est très bien faite.On passe par différents univers dans un même titre, ce qui nous permet de tenir pour la longueur de ces titres. Le premier morceau de cet album est tout bonnement inchroniquable (enfin si je pourrais mais je sature notre base de donnée et fais fuir tous les lecteurs ….).Cet album est assez dense comme tout bon album de prog qui se doit avec pourtant cette faculté de permettre à l’auditeur de comprendre où veux en venir le groupe. Non il n’y a rien à dire une fois de plus sur cet album le chant est clair, fluide ; la guitare est par moment cristalline & aérienne. Un son de synthé ici très symphonyxien, proche des orgues de Deep Purple sur la piste 3 on a même droit à un canon pour les voix. C’est d’une construction irréprochable. A noter la présence d’un petit guest à la batterie, encore un de ces batteurs qui vous dégoûterait de jouer de cet instrument j’ai nommé Mike Portnoy ( Dream Theater et autres pour ceux qui débarquent de la planète mars … ).Très bon album pour les fans de prog et même pour ceux qui veulent découvrir ce type de musique, toute fois pour cela les morceaux seront peut être un peu long
Note : 7/10
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