Chronique
POWERWORLD - HUMAN PARASITE / Spv Records 2010
Powerworld a été formé en 2005 par Ilker Ersin après son départ de Freedom Call. Le groupe sort son premier album « Powerworld » en mars 2008 via Metal Heaven. Après un remaniement au niveau de la formation, le groupe entre en studio en 2009 et signe un contrat début 2010 avec Spv. Vous me direz, mais qui sont les membres du groupe, sont-ils connus… Voilà la réponse : Andrew “Mac” McDermott au chant (Ex-Threshold), Ilker Ersin à la basse (Ex-Freedom Call), Nils Neumann au synthé (Ex-Freedom Call), Barish Kepic aux guitares (Ex-Jaded Heart) et Achim Keller à la batterie (Victory).
Le premier titre « Cleansed by fire » est lancé et c’est la surprise au niveau du son. Un son bien brut qui choque un peu. Vous allez me dire ça fait heavy metal, mais là il y a quelque chose qui gêne. Au-delà de ça, le morceau se voit être du heavy mélodique bien teuton avec un solo à la guitare au milieu histoire de satisfaire les puristes. Entrée agressive pour « Stand up » qui nous plongera dans un heavy metal très années 80 ce qui est bien plaisant.
« Evil in me » débarque comme si de rien n’était, dans un esprit barré pour rentrer dans un mid tempo psychédélique avec une dominante heavy. Bizarre. Intro plus mélodique au synthé et à la guitare acoustique pour « Time will change » qui cette fois ci offre un titre de heavy mélodique avec une ligne de clavier porteuse, appuyé par un Mac au chant en forme. Pour lancer le title track, c’est Ilker derrière sa basse qui s’en occupe. Une arrivée agressive pour une musique sombre et racée. Le mix encore une fois choque par rapport à l’unité entre la voix et la musique. Dommage car le titre est bon.
« Hope » se montre discrètement et rapidement sur un air hispanique. Un interlude pas forcément nécessaire. Un son plus électronique et plus intéressant se met en place sur « East comes to West ». Un bon titre de metal melodique qui même s’il n’est pas d’une grande originalité fera mouche. Le fond musical rappelle un peu Kamelot. On continue à accélérer le tempo et « Children of the future » vient nous mettre une bonne claque avec son heavy speed tranchant. Enfin un titre qui envoie bien dans cet album. Tout est bon : la puissance, la vivacité et le chant de Mac est prenant.
On repart dans du un peu plus standard avec « Caught in your web » : un mid tempo dans la lignée des titres du début de l’album. Une horloge se fait entendre et s’arrête puis « Tame your demons » débarque avec vélocité. Un riff heavy et on coupe tout pour plonger dans un passage calme avant d’accélérer, de calmer le jeu etc. « Might of secrets » se voit continuer dans cette constante au niveau des morceaux mais en s’orientant cette fois-ci dans une ambiance plus année 80 façon Europe. « king for a day » vient conclure cet album avec une intro d’enfer et bien mélodique avant de rentrer dans cet univers heavy rock envolé. Le point d’orgue de l’album certainement.
Conclusion : un album à la production décevante, des compos sans grande originalité à quelques rares exceptions. Du déjà vu et déjà entendu.
Le premier titre « Cleansed by fire » est lancé et c’est la surprise au niveau du son. Un son bien brut qui choque un peu. Vous allez me dire ça fait heavy metal, mais là il y a quelque chose qui gêne. Au-delà de ça, le morceau se voit être du heavy mélodique bien teuton avec un solo à la guitare au milieu histoire de satisfaire les puristes. Entrée agressive pour « Stand up » qui nous plongera dans un heavy metal très années 80 ce qui est bien plaisant.
« Evil in me » débarque comme si de rien n’était, dans un esprit barré pour rentrer dans un mid tempo psychédélique avec une dominante heavy. Bizarre. Intro plus mélodique au synthé et à la guitare acoustique pour « Time will change » qui cette fois ci offre un titre de heavy mélodique avec une ligne de clavier porteuse, appuyé par un Mac au chant en forme. Pour lancer le title track, c’est Ilker derrière sa basse qui s’en occupe. Une arrivée agressive pour une musique sombre et racée. Le mix encore une fois choque par rapport à l’unité entre la voix et la musique. Dommage car le titre est bon.
« Hope » se montre discrètement et rapidement sur un air hispanique. Un interlude pas forcément nécessaire. Un son plus électronique et plus intéressant se met en place sur « East comes to West ». Un bon titre de metal melodique qui même s’il n’est pas d’une grande originalité fera mouche. Le fond musical rappelle un peu Kamelot. On continue à accélérer le tempo et « Children of the future » vient nous mettre une bonne claque avec son heavy speed tranchant. Enfin un titre qui envoie bien dans cet album. Tout est bon : la puissance, la vivacité et le chant de Mac est prenant.
On repart dans du un peu plus standard avec « Caught in your web » : un mid tempo dans la lignée des titres du début de l’album. Une horloge se fait entendre et s’arrête puis « Tame your demons » débarque avec vélocité. Un riff heavy et on coupe tout pour plonger dans un passage calme avant d’accélérer, de calmer le jeu etc. « Might of secrets » se voit continuer dans cette constante au niveau des morceaux mais en s’orientant cette fois-ci dans une ambiance plus année 80 façon Europe. « king for a day » vient conclure cet album avec une intro d’enfer et bien mélodique avant de rentrer dans cet univers heavy rock envolé. Le point d’orgue de l’album certainement.
Conclusion : un album à la production décevante, des compos sans grande originalité à quelques rares exceptions. Du déjà vu et déjà entendu.
Critique : Lionel
Note : 5.5/10
Site du groupe : Site officiel de Powerworld
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