Chronique
KATRA - OUT OF THE ASHES / Napalm Records 2010
La Belle scandinave est de retour en cette fin d’année pour nous proposer son nouveau bébé : « Out of The Ashes », toujours dans la veine gothique. Sur la pochette, Katra pose comme une divinité, appuyée par des couleurs chaudes et attrayantes.
La sortie des cendres débute avec « Delirium » et un riff vibrant et un poil indou. Katra vient poser sa voix dessus et de là commence le voyage musical et spirituel. L’aspect gothique de la musique se fait bien ressentir et ce, principalement sur le refrain, au tempo ralenti et à l’ambiance stone. Une belle intro au piano pour introduire « One wish away » et c’est parti pour un joli titre folk avec cette voix fluette et délicate. Une bonne dose d’innocence appuyée sur le pré-refrain par une montée en puissance de la mélodie.
Changement de registre et départ vers une musique plus lourde pour « If there is no tomorrow ». Un mid tempo racé et bien calme sur les couplets avec une montée sur le refrain. « Vendetta » débute mais ne nous surprend pas. La structure du morceau reste la même que les précédents, mais avec une inspiration au niveau de la musique plus tournée vers le mystique. Le title track débarque de façon bien plus agressive que les autres. Déception immédiate car lorsque Katra pose sa voix, tout se calme et on repart dans un tempo lent et calme pour repartir des plus belles au moment du refrain.
Douce intro au piano pour « Envy » ; et oui, la ballade est là et honnêtement, il n’y a rien de transcendant. A oublier de part sa banalité. « Mirror » revient à la charge et change la donne car il reste agressif. Une bonne innovation pour cet album qui se voyait être un peu plat jusque là. En plus de ce côté racé, le côté sombre de la force, non de la musique, revient et nous plonge dans un univers ténébreux. Pour ce qui est de « Anthem », c’est un titre envolé et puissant guidé par des riffs tranchants. Retour au clame sur ce « The end of the scene » qui se voit être une nouvelle ballade, bien plus intéressante que la première. Le côté folk et acoustique donne une dimension supplémentaire à l’ensemble musical de cet album.
Pour conclure cet album, « Hide and seek » reviendra sur les bases des premiers titres de la rondelle. Début racé, pause, et montée sur le refrain…
Conclusion : un album en demie teinte due au manque d’inspiration. Beaucoup trop de morceaux se ressemblent au niveau de la structure et ça lasse. Dommage car on sait que Katra a les capacités pour faire de biens bons albums.
La sortie des cendres débute avec « Delirium » et un riff vibrant et un poil indou. Katra vient poser sa voix dessus et de là commence le voyage musical et spirituel. L’aspect gothique de la musique se fait bien ressentir et ce, principalement sur le refrain, au tempo ralenti et à l’ambiance stone. Une belle intro au piano pour introduire « One wish away » et c’est parti pour un joli titre folk avec cette voix fluette et délicate. Une bonne dose d’innocence appuyée sur le pré-refrain par une montée en puissance de la mélodie.
Changement de registre et départ vers une musique plus lourde pour « If there is no tomorrow ». Un mid tempo racé et bien calme sur les couplets avec une montée sur le refrain. « Vendetta » débute mais ne nous surprend pas. La structure du morceau reste la même que les précédents, mais avec une inspiration au niveau de la musique plus tournée vers le mystique. Le title track débarque de façon bien plus agressive que les autres. Déception immédiate car lorsque Katra pose sa voix, tout se calme et on repart dans un tempo lent et calme pour repartir des plus belles au moment du refrain.
Douce intro au piano pour « Envy » ; et oui, la ballade est là et honnêtement, il n’y a rien de transcendant. A oublier de part sa banalité. « Mirror » revient à la charge et change la donne car il reste agressif. Une bonne innovation pour cet album qui se voyait être un peu plat jusque là. En plus de ce côté racé, le côté sombre de la force, non de la musique, revient et nous plonge dans un univers ténébreux. Pour ce qui est de « Anthem », c’est un titre envolé et puissant guidé par des riffs tranchants. Retour au clame sur ce « The end of the scene » qui se voit être une nouvelle ballade, bien plus intéressante que la première. Le côté folk et acoustique donne une dimension supplémentaire à l’ensemble musical de cet album.
Pour conclure cet album, « Hide and seek » reviendra sur les bases des premiers titres de la rondelle. Début racé, pause, et montée sur le refrain…
Conclusion : un album en demie teinte due au manque d’inspiration. Beaucoup trop de morceaux se ressemblent au niveau de la structure et ça lasse. Dommage car on sait que Katra a les capacités pour faire de biens bons albums.
Critique : Lionel
Note : 6/10
Site du groupe : Site officiel de Katra
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