Chronique
KARNIVOOL - SOUND AWAKE / Sony Music 2010
On connaissait le pays des kangourous pour ses groups de Hard Rock (AC/DC et Airbourne) et pour ses groupes un peu plus power metal (Blind Guardian et Vanishing Point). Mais voilà que Skippy nous envoie une autre équipe de soldats à son bataillon : Karnivool. Pour être plus précis : cinq soldats.
Cette formation se rapproche plus de Vanishing Point sur le plan musical : un metal progressif ambiant. Tout est fait d’ailleurs pour amplifier ce côté ambiant et ténébreux au niveau de la production. La basse est bien mise en avant tout au long des morceaux pour nous plonger dans un univers lourd et pesant à travers les notes retentissantes et graves de cet instrument.
Pour ce qui est du tempo général, tout est bien posé, calme mais en même temps bien envolé. Une mixture de délicatesse et de d’ambiance plus pesante, voire prenante de par son côté ténébreux. Bien entendu, la musique ne reste pas clame constamment, et heureusement d’ailleurs. On a droit à de bonnes montées au moment des refrains ou à des départs agressifs, voire aux sonorités un peu plus travaillées (avec des effets électroniques dessus) comme sur le titre « Set fire to the hive ».
On retrouve d’ailleurs ce côté futuriste et ambiant au niveau de la pochette et du livret de l’album : un œil rayonnant et changeant de couleur au fil des pages sans aucun mot à ses côtés. Un message ? Une vision ? Allez savoir !
Cette univers musical est aussi dominé par la voix androgyne du chanteur : une voix aigue et remplie de douceur. Elle se met en opposition complète avec la musique elle-même, nous rappelant parfois certains morceaux de Muse ou encore de Depeche Mode pour le côté un peu plus barré.
Conclusion : un album particulier de part son style musical. Bien sympa mais pas pour les dépressifs. Les fans de mélodramatique musical seront ravis et transportés dans cet univers ambiant et étrange où on peut fermer les yeux et voyager virtuellement…
Cette formation se rapproche plus de Vanishing Point sur le plan musical : un metal progressif ambiant. Tout est fait d’ailleurs pour amplifier ce côté ambiant et ténébreux au niveau de la production. La basse est bien mise en avant tout au long des morceaux pour nous plonger dans un univers lourd et pesant à travers les notes retentissantes et graves de cet instrument.
Pour ce qui est du tempo général, tout est bien posé, calme mais en même temps bien envolé. Une mixture de délicatesse et de d’ambiance plus pesante, voire prenante de par son côté ténébreux. Bien entendu, la musique ne reste pas clame constamment, et heureusement d’ailleurs. On a droit à de bonnes montées au moment des refrains ou à des départs agressifs, voire aux sonorités un peu plus travaillées (avec des effets électroniques dessus) comme sur le titre « Set fire to the hive ».
On retrouve d’ailleurs ce côté futuriste et ambiant au niveau de la pochette et du livret de l’album : un œil rayonnant et changeant de couleur au fil des pages sans aucun mot à ses côtés. Un message ? Une vision ? Allez savoir !
Cette univers musical est aussi dominé par la voix androgyne du chanteur : une voix aigue et remplie de douceur. Elle se met en opposition complète avec la musique elle-même, nous rappelant parfois certains morceaux de Muse ou encore de Depeche Mode pour le côté un peu plus barré.
Conclusion : un album particulier de part son style musical. Bien sympa mais pas pour les dépressifs. Les fans de mélodramatique musical seront ravis et transportés dans cet univers ambiant et étrange où on peut fermer les yeux et voyager virtuellement…
Critique : Lionel
Note : 6.5/10
Site du groupe : Site de Karnivool
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