Chronique
ARTAS - RIOTOLOGY / Napalm Records 2011
Un peux plus de deux ans après leur premier et incisif album « The Healing », le combo rappelle son guerrier (voir la pochette) histoire de revenir à la charge avec ce Riotology.
Pour débuter ce nouvel épisode, ARTAS nous propose une introduction où retentissent sirènes de pompiers ou encore de police, le tout avec des gens qui parlent en fond, le tout appuyé par une guitare acoustique en totale opposition avec l’ambiance. Le ton est donné est immédiatement on embarque dans ce metal moderne et racé avec une bonne voix gutturale. On n’est pas ici pour faire dans la dentelle vous me l’accorderez. Dès ce lancement on comprend clairement que le groupe revient pour s’imposer et marquer les esprits.
Non seulement par leur musique qui arrive à mélanger violence, hargne et mélodies, le tout dominé par un Obimahan Ismahil haut en forme et en voix. Une voix sombre par ci, une voix presque claire par là et le tour est joué ; on plonge dans cet univers de révolte.
Autre aspect positif, musicalement ça ne tourne pas en rond, et nous n’avons pas droit à une éternelle répétition du même riff tout au long de l’album. Ici c’est travaillé, et le plaisir d’écouter cet album long de 16 pistes se fait sans difficultés.
Le petit plus de cette rondelle ? Et bien le groupe nous prouve qu’il est plein de ressources et gère parfaitement plusieurs langues. On a droit à un titre chanté en allemand, un en espagnol, un en français et le reste en anglais ! Quel régal, surtout que les titres choisis sont très représentatifs de cet état d’esprit révolutionnaire. On adorera cette version du SABOTEUR… en avant la résistance, la société est malade !!!
On peut dire que le groupe à ses idées, et expose clairement son sentiment de rébellion. A côté de ça le travail de Jacob Hansen’s (Hatesphere, Heaven Shall Burn, Neaera,) au mix et au mastering a aussi donné plus d’intensité à cette musique déjà marquante !
Pour débuter ce nouvel épisode, ARTAS nous propose une introduction où retentissent sirènes de pompiers ou encore de police, le tout avec des gens qui parlent en fond, le tout appuyé par une guitare acoustique en totale opposition avec l’ambiance. Le ton est donné est immédiatement on embarque dans ce metal moderne et racé avec une bonne voix gutturale. On n’est pas ici pour faire dans la dentelle vous me l’accorderez. Dès ce lancement on comprend clairement que le groupe revient pour s’imposer et marquer les esprits.
Non seulement par leur musique qui arrive à mélanger violence, hargne et mélodies, le tout dominé par un Obimahan Ismahil haut en forme et en voix. Une voix sombre par ci, une voix presque claire par là et le tour est joué ; on plonge dans cet univers de révolte.
Autre aspect positif, musicalement ça ne tourne pas en rond, et nous n’avons pas droit à une éternelle répétition du même riff tout au long de l’album. Ici c’est travaillé, et le plaisir d’écouter cet album long de 16 pistes se fait sans difficultés.
Le petit plus de cette rondelle ? Et bien le groupe nous prouve qu’il est plein de ressources et gère parfaitement plusieurs langues. On a droit à un titre chanté en allemand, un en espagnol, un en français et le reste en anglais ! Quel régal, surtout que les titres choisis sont très représentatifs de cet état d’esprit révolutionnaire. On adorera cette version du SABOTEUR… en avant la résistance, la société est malade !!!
On peut dire que le groupe à ses idées, et expose clairement son sentiment de rébellion. A côté de ça le travail de Jacob Hansen’s (Hatesphere, Heaven Shall Burn, Neaera,) au mix et au mastering a aussi donné plus d’intensité à cette musique déjà marquante !
Critique : Lionel
Note : 8/10
Site du groupe : Site du label Napalm Records
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