Chronique
SONS OF SEASONS - MAGNISPHYRICON / Napalm Records 2011
Le combo créé par Oliver Palotai (Kamelot, Doro) vient nous proposer son deuxième effort après un « Gods of vermin » qui m’avait laissé septique de par son manque d’originalité. Histoire de varier un peu, on a droit à un titre quasi imprononçable : Magnisphyricon.
L’album débute avec « Temperance », une intro lente et ténébreuse qui vient lancer « Bubonic Waltz ». Orchestrations présentes immédiatement et le tout s’emballe avec une double martelée appuyée par un bonne nappe de clavier le tout dans un esprit neo prog. Ici Henning prend une voix moins haute que sur Metalium histoire d’adhérer au style. Surprenant. « Soul simmetry » continue d’évoluer dans le progressif sombre. Ambiance lourde et martelée s’alternant avec des passages plus légers et mélodiques. Henning nous présente au passage quelques unes de ses capacités vocales. « Sanctuary » arrive avec une ambiance plus légère et un poil plus jovial. Et là, Oh quelle surprise, on a droit au retour de Simone (Simons – Epica)… qui nous fredonne un air. Honnêtement, elle n’apporte rien au morceau, mais étant la copine d’Oliver ; bref, passons.
« Casus Belli I: Guilt’s mirror » nous replonge dans un univers musical ténébreux où Daniel nous fait une bien bonne démonstration derrière ses fûts. Henning devient plus agressif, le tout dans mid tempo empli de contre temps. « Adjustement » est un interlude avec un peu de narration qui lance « Into the void », morceau plus racé et dynamique que les précédents.
Pour « A nightbird’s gospel » des chœurs ouvrent le bal. Un titre bien barré avec des chœurs féminins de temps à autres qui choquent. Accélération du tempo avec « Tales of greed ». C’est un changement de donne complet. Ce titre tout en restant progressif reste des plus endiablé et est très prenant, avec des breaks ici et là histoire de nous surprendre un peu.
« Lilith » arrive avec délicatesse mais évolue rapidement vers un titre que Symphony X ne renierait pas, surtout quand Henning s’enflamme. « Casus Belli II : necrologue to the unborn » ou le retour dans un prog agrémenté d’orchestrations, le tout dans une ambiance des plus ténébreuses. Nouvel interlude avec « The aeon », léger et délicat qui se voit ouvrir les portes de « 1413 » ; son opposé : un titre lourd et brutal qui en plein milieu nous propose un break mélodique empreint de mélancolie. Pour terminer cet album, ce sera une ballade. En effet « Yesteryears » est un titre qui se démarque de tout le reste de l’album : ici douceur et mélodies sont au rendez-vous. Seul point commun, c’est ambiance lourde et quasi dramatique.
Conclusion : un album en demi-teinte. Bien que le groupe est évolué niveau compos et ai trouvé son propre style, l’album reste assez moyen. Et puis Simone…
L’album débute avec « Temperance », une intro lente et ténébreuse qui vient lancer « Bubonic Waltz ». Orchestrations présentes immédiatement et le tout s’emballe avec une double martelée appuyée par un bonne nappe de clavier le tout dans un esprit neo prog. Ici Henning prend une voix moins haute que sur Metalium histoire d’adhérer au style. Surprenant. « Soul simmetry » continue d’évoluer dans le progressif sombre. Ambiance lourde et martelée s’alternant avec des passages plus légers et mélodiques. Henning nous présente au passage quelques unes de ses capacités vocales. « Sanctuary » arrive avec une ambiance plus légère et un poil plus jovial. Et là, Oh quelle surprise, on a droit au retour de Simone (Simons – Epica)… qui nous fredonne un air. Honnêtement, elle n’apporte rien au morceau, mais étant la copine d’Oliver ; bref, passons.
« Casus Belli I: Guilt’s mirror » nous replonge dans un univers musical ténébreux où Daniel nous fait une bien bonne démonstration derrière ses fûts. Henning devient plus agressif, le tout dans mid tempo empli de contre temps. « Adjustement » est un interlude avec un peu de narration qui lance « Into the void », morceau plus racé et dynamique que les précédents.
Pour « A nightbird’s gospel » des chœurs ouvrent le bal. Un titre bien barré avec des chœurs féminins de temps à autres qui choquent. Accélération du tempo avec « Tales of greed ». C’est un changement de donne complet. Ce titre tout en restant progressif reste des plus endiablé et est très prenant, avec des breaks ici et là histoire de nous surprendre un peu.
« Lilith » arrive avec délicatesse mais évolue rapidement vers un titre que Symphony X ne renierait pas, surtout quand Henning s’enflamme. « Casus Belli II : necrologue to the unborn » ou le retour dans un prog agrémenté d’orchestrations, le tout dans une ambiance des plus ténébreuses. Nouvel interlude avec « The aeon », léger et délicat qui se voit ouvrir les portes de « 1413 » ; son opposé : un titre lourd et brutal qui en plein milieu nous propose un break mélodique empreint de mélancolie. Pour terminer cet album, ce sera une ballade. En effet « Yesteryears » est un titre qui se démarque de tout le reste de l’album : ici douceur et mélodies sont au rendez-vous. Seul point commun, c’est ambiance lourde et quasi dramatique.
Conclusion : un album en demi-teinte. Bien que le groupe est évolué niveau compos et ai trouvé son propre style, l’album reste assez moyen. Et puis Simone…
Critique : Lionel
Note : 6.5/10
Site du groupe : Site de Sons of Seasons
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