Chronique
X-OPUS - THE EPIPHANY / Magna Carta Records 2011
James Williams a travaillé deux longues années sur ce et son projet. Après vingt cinq morceaux composés, il en choisit dix qui représenteront au mieux son travail. Pour son premier album, X OPUS nous propose de nous plonger dans un univers de metal néo-classique avec pour thème particulier les épreuves de la vie. Ici tous les instruments sont joués par James. Niveau chant par contre, on a droit à deux chanteurs : Brian Dixon et David Crocker originaires de Dallas-Fort Worth.
Pour la présentation, pas chichis, on rentre directement dans le vif du sujet avec « Terrified ». Intro avec un riff des plus mélodique et aérien juste avant un coup de semonce qui nous plonge dans un univers prog rappelant Symphony X. Niveau chant, c’est tout simplement bluffant. Ca monte, c’est sur et posé, le tout dans un mid tempo complètement barré. Avec « On the top of the world » on évolue dans un univers plus racé et plus neo –classique avec cette grande nappe de clavier, une voix un peu étouffée façon Pagan’s Mind. La montée sur le couplet et le cri hargneux agrémente cette intensité donnée.
Retour au temps mystique de l’Egypte ancienne avec « Pharaohs of lies ». Des chœurs de prêtres, un riff, et on est propulsé dans un power metal mélodique avec une performance vocale bien agréable, comme si une transformation s’opérée. On adhère immédiatement.
Histoire de ne pas nous laisser marine on accélère le tempo avec « I’ll find the truth » dont l’intro est inspirée par le thème principal de Saint Seiya – Pegasus Fantasy. Par contre nouveauté, on a droit a une voix plus gutturale en renfort, tout en étant promené avec aisance sur ce titre véloce.
« In the heavens » calme le jeu et nous plonge dans un univers plus ténébreux que les autres. Ici le prog reprend les rennes. Au tour du titre éponyme « The Epiphany (opus benedictus interlude) ». Un passage musical sombre et mélodique au piano annonçant un évènement important dans ce récit de la vie de James Williams.
On retourne en des temps ancestraux avec cette fois un mélange musical entre Symphony X et J.S Bach. Autant dire que ça pulse et que la motivation est bien là, nous aidant dans notre évasion musicale et spirituelle avec des soli ici et là histoire d’agrémenter la dynamique intemporelle.
Avec « Forsaken (requiem of the forsaken) » on rentre dans la pièce épique de l’album. Une intro mystique et guerrière suivie rapidement par du gros neo prog avec cette alternance niveau vocal – chant clair et chant guttural. Au milieu de tout ça, on change un peu de registre. Tout en gardant la même dynamique, la musique devient moins sombre mais reste tout autant mélodique si ce n’est plus avec un superbe solo au synthé en prime. « Angels of war » nous ramène dans cet univers ténébreux et agressif. La double se fait marteler, des breaks, des contre temps, le tout pour une musique mélangeant énergie et modernité.
Pour finir, on a droit à « Never forgotten ». Un titre léger, avec une guitare acoustique, suivie par la guitare électrique / synthé. Un morceau reposant qui donne du baume au cœur.
Conclusion : pour un premier essai, James Williams met la barre bien haute avec X OPUS. Un groupe qu’il va falloir suivre de près. Transformation réussie !
Pour la présentation, pas chichis, on rentre directement dans le vif du sujet avec « Terrified ». Intro avec un riff des plus mélodique et aérien juste avant un coup de semonce qui nous plonge dans un univers prog rappelant Symphony X. Niveau chant, c’est tout simplement bluffant. Ca monte, c’est sur et posé, le tout dans un mid tempo complètement barré. Avec « On the top of the world » on évolue dans un univers plus racé et plus neo –classique avec cette grande nappe de clavier, une voix un peu étouffée façon Pagan’s Mind. La montée sur le couplet et le cri hargneux agrémente cette intensité donnée.
Retour au temps mystique de l’Egypte ancienne avec « Pharaohs of lies ». Des chœurs de prêtres, un riff, et on est propulsé dans un power metal mélodique avec une performance vocale bien agréable, comme si une transformation s’opérée. On adhère immédiatement.
Histoire de ne pas nous laisser marine on accélère le tempo avec « I’ll find the truth » dont l’intro est inspirée par le thème principal de Saint Seiya – Pegasus Fantasy. Par contre nouveauté, on a droit a une voix plus gutturale en renfort, tout en étant promené avec aisance sur ce titre véloce.
« In the heavens » calme le jeu et nous plonge dans un univers plus ténébreux que les autres. Ici le prog reprend les rennes. Au tour du titre éponyme « The Epiphany (opus benedictus interlude) ». Un passage musical sombre et mélodique au piano annonçant un évènement important dans ce récit de la vie de James Williams.
On retourne en des temps ancestraux avec cette fois un mélange musical entre Symphony X et J.S Bach. Autant dire que ça pulse et que la motivation est bien là, nous aidant dans notre évasion musicale et spirituelle avec des soli ici et là histoire d’agrémenter la dynamique intemporelle.
Avec « Forsaken (requiem of the forsaken) » on rentre dans la pièce épique de l’album. Une intro mystique et guerrière suivie rapidement par du gros neo prog avec cette alternance niveau vocal – chant clair et chant guttural. Au milieu de tout ça, on change un peu de registre. Tout en gardant la même dynamique, la musique devient moins sombre mais reste tout autant mélodique si ce n’est plus avec un superbe solo au synthé en prime. « Angels of war » nous ramène dans cet univers ténébreux et agressif. La double se fait marteler, des breaks, des contre temps, le tout pour une musique mélangeant énergie et modernité.
Pour finir, on a droit à « Never forgotten ». Un titre léger, avec une guitare acoustique, suivie par la guitare électrique / synthé. Un morceau reposant qui donne du baume au cœur.
Conclusion : pour un premier essai, James Williams met la barre bien haute avec X OPUS. Un groupe qu’il va falloir suivre de près. Transformation réussie !
Critique : Lionel
Note : 8/10
Site du groupe : Site de X Opus
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