Chronique
WARRANT - ROCKAHOLIC / Frontiers records 2011
L'histoire est faite de rencontres, de séparations et bien souvent de reformations. Voici qu'après un retour (raté) en 2006 avec Jaime St James au chant (aujourd'hui de retour au bercail Black' n Blue) nos Américains nous font la surprise de revenir avec, accrochez-vous bien, Robert Mason (Ex Lynch Mob) pour un nouvel essai qui ne reste plus qu'à transformer !!
On attaque fort avec « Sex ain't love », qui nous remet le bon hard bluesy sur le devant de la scène. La voix du petit nouveau assure grave et pulse sévère !! On peut dire que le Warrant nouveau envoie des pieds méchamment !! « Innocence gone » enfonce le clou sur un Hard rock très chaud ! L'intronisation de Robert Mason a donné un sacré coup de jeune à nos Californiens.
Attention à la morsure de « Snake », ce mid tempo chaud comme la braise qui te fait penser à des petits culs en strings sur les podiums des night-clubs de L.A. Hum que de plaisir ! Ambiance vieux western avec « Dusty's revenge », qui n'est pas sans rappeler les Black Crowes (en plus féroce). Un très bon titre à se mettre à nouveau dans les esgourdes ! Moment plus calme avec « Home » qui lorgne vers les grands standards de rock Us (Bryan Admans en tête). Une ballade très agréable qui étrangement me remémore des souvenirs. On plonge dans du gnian-gnian avec la passable « What love can do » qui plombe les bonnes impressions du début.
« Life's a song » enlise l'album avec un titre rock popisant qui tombe mal, très mal ! Heureusement que « Show must go on » vient sauver les meubles avec un hard endiablé qui fait du bien. On retrouve Warrant incisif et prenant !!
Pour ne rien lâcher « Cocaine freight train » poursuit sur la même veine aux faux airs Aerosmith des plus plaisants ! Deuxième ballade avec « Found forever » qui passe bien. Rien d'exceptionnel mais bon, on ne peut pas toujours tout avoir.
« Candy man » remet du rock chaud pour nous auditeurs en manque de sensations fortes, puis « Sunshine » nous sort un titre des plus agréables qui passe comme une lettre à la poste. Une bien belle réussite. Avec « Tears in the city » on a droit à de jolies mélodies pour un résultat en demi-teinte. Pas totalement convainquant. On termine par un hard explosif sur « The last straw » qui finit de manière énergique cet opus de reconversion.
Conclusion : Warrant revient plus convainquant que jamais avec un album très solide. Du très bon hard rock (malgré quelques petites faiblesses) qui donnera beaucoup de plaisir aux fans de hard rock.
On attaque fort avec « Sex ain't love », qui nous remet le bon hard bluesy sur le devant de la scène. La voix du petit nouveau assure grave et pulse sévère !! On peut dire que le Warrant nouveau envoie des pieds méchamment !! « Innocence gone » enfonce le clou sur un Hard rock très chaud ! L'intronisation de Robert Mason a donné un sacré coup de jeune à nos Californiens.
Attention à la morsure de « Snake », ce mid tempo chaud comme la braise qui te fait penser à des petits culs en strings sur les podiums des night-clubs de L.A. Hum que de plaisir ! Ambiance vieux western avec « Dusty's revenge », qui n'est pas sans rappeler les Black Crowes (en plus féroce). Un très bon titre à se mettre à nouveau dans les esgourdes ! Moment plus calme avec « Home » qui lorgne vers les grands standards de rock Us (Bryan Admans en tête). Une ballade très agréable qui étrangement me remémore des souvenirs. On plonge dans du gnian-gnian avec la passable « What love can do » qui plombe les bonnes impressions du début.
« Life's a song » enlise l'album avec un titre rock popisant qui tombe mal, très mal ! Heureusement que « Show must go on » vient sauver les meubles avec un hard endiablé qui fait du bien. On retrouve Warrant incisif et prenant !!
Pour ne rien lâcher « Cocaine freight train » poursuit sur la même veine aux faux airs Aerosmith des plus plaisants ! Deuxième ballade avec « Found forever » qui passe bien. Rien d'exceptionnel mais bon, on ne peut pas toujours tout avoir.
« Candy man » remet du rock chaud pour nous auditeurs en manque de sensations fortes, puis « Sunshine » nous sort un titre des plus agréables qui passe comme une lettre à la poste. Une bien belle réussite. Avec « Tears in the city » on a droit à de jolies mélodies pour un résultat en demi-teinte. Pas totalement convainquant. On termine par un hard explosif sur « The last straw » qui finit de manière énergique cet opus de reconversion.
Conclusion : Warrant revient plus convainquant que jamais avec un album très solide. Du très bon hard rock (malgré quelques petites faiblesses) qui donnera beaucoup de plaisir aux fans de hard rock.
Critique : Guillaume
Note : 7/10
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