Chronique
QUEENSRYCHE - DEDITATED TO CHAOS / Roadrunner 2011
Le célèbre combo de Seattle revient nous présenter son nouvel album qui succède à un retour en grâce avec 'American Soldier'. Célébrant leurs 30 ans d'activité, voyons voir vers quels horizons nos amis se sont tournés ?
On débute sur un riff très rock pour une presque pop « Get started » qui pourtant passe très bien et se laisse écouter avec plaisir. Un départ étonnant qui nous replonge en plein 90's. Un bon riff arrive pour la moderne « Hot spot junkie » qui m'a laissé de marbre. Il est étonnant de constater que le groupe revient en arrière après avoir réussit à refaire du métal mélodique comme les fans aimaient.
Intro des plus orientale qui rappelle Tribe pour un « Around the world » un peu trop poussif. Décidément Queensryche sait toujours aussi bien souffler le chaud et le froid. À oublier. Bonne intro à la basse pour la groovy « Higher » qui malgré tout semble pas si entrainante que ça. L'ensemble manque de dynamisme.
Bon riff heavy et malsain pour « Retail therapy » qui me fait penser à du Alice Cooper période Brutal planet. Enfin du bon ? Presque oui, même si on attend toujours un sursaut de génie. Ambiance calme pour « At the edge » qui se développe en un mid tempo enfin prenant !! Voilà qu'enfin le groupe nous délivre une composition à la hauteur de son talent !!
On enchaine avec la déchirante « Broken » très ambiante façon musique de film sur lequel Geoff Tate nous livre une interprétation sensible, à vous en tirer quelques larmes ! Deuxième enchainement avec « Hard time » elle aussi plongée dans une sensibilité à fleur de peau. En trois titres nos Ricains ont remit les choses au clair. On retrouve notre rock moderne pour la réussie « Drive » qui poursuit de la bonne manière cet album qui s'annonçait plutôt mal.
« I believe » commence de manière soft, rythmé par des percussions puis continu dans un faux rythme qui emballe moyen. Le riff tranchant de « Luvnu » annonce des jours meilleurs mais le groupe retombe dans ses travers du début. De quoi enrager !! Etonnant « Wot we do » qui nous offre un style détonnant et ma foi agréable. À ne pas mettre entre toutes les oreilles !
« I take you » enfonce le clou du titre poussif qui ne donne pas envie ! Heureusement pour lui le refrain le sauve du naufrage total !!
On peut garder « The lie » dans la catégorie des bons titres qui remet un peu de baume au cœur mais malheureusement noyé entre de trop nombreux titres moyens, il se perd un peu. On termine ce trop long opus avec « Big noize » très longue elle aussi.
Conclusion : Queensryche vient de nous pondre un album des plus étonnants car on ne l'attendait pas ainsi. Perso pas emballé par ce retour au rock moderne, la faute à bien trop de titres poussifs et peu d'idées étincelantes. Bref un raté notoire.
On débute sur un riff très rock pour une presque pop « Get started » qui pourtant passe très bien et se laisse écouter avec plaisir. Un départ étonnant qui nous replonge en plein 90's. Un bon riff arrive pour la moderne « Hot spot junkie » qui m'a laissé de marbre. Il est étonnant de constater que le groupe revient en arrière après avoir réussit à refaire du métal mélodique comme les fans aimaient.
Intro des plus orientale qui rappelle Tribe pour un « Around the world » un peu trop poussif. Décidément Queensryche sait toujours aussi bien souffler le chaud et le froid. À oublier. Bonne intro à la basse pour la groovy « Higher » qui malgré tout semble pas si entrainante que ça. L'ensemble manque de dynamisme.
Bon riff heavy et malsain pour « Retail therapy » qui me fait penser à du Alice Cooper période Brutal planet. Enfin du bon ? Presque oui, même si on attend toujours un sursaut de génie. Ambiance calme pour « At the edge » qui se développe en un mid tempo enfin prenant !! Voilà qu'enfin le groupe nous délivre une composition à la hauteur de son talent !!
On enchaine avec la déchirante « Broken » très ambiante façon musique de film sur lequel Geoff Tate nous livre une interprétation sensible, à vous en tirer quelques larmes ! Deuxième enchainement avec « Hard time » elle aussi plongée dans une sensibilité à fleur de peau. En trois titres nos Ricains ont remit les choses au clair. On retrouve notre rock moderne pour la réussie « Drive » qui poursuit de la bonne manière cet album qui s'annonçait plutôt mal.
« I believe » commence de manière soft, rythmé par des percussions puis continu dans un faux rythme qui emballe moyen. Le riff tranchant de « Luvnu » annonce des jours meilleurs mais le groupe retombe dans ses travers du début. De quoi enrager !! Etonnant « Wot we do » qui nous offre un style détonnant et ma foi agréable. À ne pas mettre entre toutes les oreilles !
« I take you » enfonce le clou du titre poussif qui ne donne pas envie ! Heureusement pour lui le refrain le sauve du naufrage total !!
On peut garder « The lie » dans la catégorie des bons titres qui remet un peu de baume au cœur mais malheureusement noyé entre de trop nombreux titres moyens, il se perd un peu. On termine ce trop long opus avec « Big noize » très longue elle aussi.
Conclusion : Queensryche vient de nous pondre un album des plus étonnants car on ne l'attendait pas ainsi. Perso pas emballé par ce retour au rock moderne, la faute à bien trop de titres poussifs et peu d'idées étincelantes. Bref un raté notoire.
Critique : Guillaume
Note : 6/10
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