Chronique

Tracklist : The Age Of Hell ; Clockwork ; Losing My Mind ; Time Is Running Out; Year Of The Snake; Beyond The Grave; Born In Blood; Stoma; Powerless; Trigger Finger; Scapegoat; Samsara.

Le fameux groupe de métal trash de cleveland, ohio, USA, sont de retour pour un nouvel album the age of hell. J’avoue que ce groupe m’a surpris une fois de plus, chimaira aime à nos faire prendre décidément des chemins bien différents.
Et bien cet album, il claque !!, puissant, des variations de tempo et d’ambiance à en vous faire tourner la tête, voix guturale à l’appui, mélanger à des riffs agressifs, saupoudré d’une continuité mélodique bien présente.
Au début avec the age of hell, effectivement on tombe dans un enfer, on passe d’une ambiance agressive à une ambiance pesante et sombre, suivie d’accélérations de tempo telle une déferlant, oui nous sommes bien dans l’enfer de chimaira, le décor est planté !
Chimaira ne nous laisse pas le temps de nous reposer, tout s’enchaine de façon à nous montrer tout les recoins de cet enfer musical qui nous laisse quand même un peu de répit par des moments plus calmes, mais ce n’est que provisoires on revient bien vite à une ambiance appocalyptique qui nous tient en haleine.
Losing my mind, un titre qui est bien efficace et qui ne laisse pas indifférent, on passe de l’enfer à un univers plus sombre.
Time is running out, non ce n’est pas une copie du titre de muse, seul le nom est pareil. C’est seulement la continuité de losing my mind qui se donne dans le même genre d’ambiance avec un bon petit solo de guitare.
Samsara morceau de 6 minutes 25 commence par un solo de guitare tout simple mais enchanteur, puis les autres instruments si mêle, et la c’est comme si ces instruments ne faisait qu’accompagner une guitare déchainée qui veux montrer qu’elle existe par de continuelle solo, on remarque ensuite que chaque instruments prends le devant chacun son tour, que du bonheur cet instrumental.
Pendant les 12 titres de l’album on passe d’une ambiance pesante et sombre, à une ambiance agressive et puissante, du chant claire au guttural, sans arrêt, du calme à la tempête dans une boucle infinie. Cet opus est une vraie bouffée d’énergie !