Chronique
SYNTHETIC WATERFALL - INSIDE THE DIFFERENT / Auto production 2011
Créé en 2007 par Timo Virmavirta, SYNTHETIC WATERFALL a démarré par du death mélodique, avec une démo 4 titres « Rising of the aeon ». Il s’est tourné en 2010 vers un style métal mélodique et atmosphérique, très influencé par Katatonia ou encore Opeth, et nous livre ici son premier EP « Inside the different ».
On commence direct avec le titre éponyme « Inside the different », et son intro légère portée par le son clair d’une guitare. Et comme pour nous réveiller, un riff déboule sans prévenir, le morceau est lancé.
Le chant clair du couplet semble parvenir comme un écho, semblable a un murmure, l’ambiance se pose. Le groupe alterne ici passages musclés et passage calme où le piano a une place non négligeable. Le chant guttural de Timo est percutant, et le contraste est appréciable. Le morceau fini brutalement pour nous amener sur « Consumption » et son riff tranchant très efficace.
J’ai personnellement un peu de mal avec le chant clair, un peu trop plaintif. L’alternance des deux chants est, elle, très bien réussie. La mélodie de la guitare claire se mélange à la puissance des riffs joués en disto, assez appréciable.
« Yesterday’s a closed door behind » démarre de façon très speed et plus brutale que ce que le groupe nous montre depuis le début de l’album. Malgré l’accalmie du couplet, ce morceau a un peu plus la pêche, et c’est appréciable. Ici le chant se greffe parfaitement aux mélodies, et on a même droit à un solo qui claque ! On regrettera peut être le break, un poil trop long et pas spécialement efficace.
On poursuit la visite avec « Ghost existence » où l’on suit la même recette, à savoir deux ambiances différentes se réunissant, on prend un bonne dose d’énergie avec les riffs puissants, de l’émotion avec quelques arpèges aériens. Malheureusement, certains passages ont tendance à trainer en longueur, malgré la créativité, mais c’est le genre qui veut ça.
On achève notre périple avec « Evil Enough », sans surprise. Ici l’ambiance est pesante, avec ce riff très lent, accentuée par le chant guttural.
Un EP mine de rien assez long, et faisant preuve d’une bonne unité. L’ambiance musicale est bien travaillée, les constructions variées, mais à part quelque passages, l’album répète pas mal de structures, ce qui donne malheureusement une impression de déjà entendu. Je sais que le style veut ça, je ne jette donc pas la pierre. D’autant que l’album passe agréablement si on l’écoute de façon détachée.
On commence direct avec le titre éponyme « Inside the different », et son intro légère portée par le son clair d’une guitare. Et comme pour nous réveiller, un riff déboule sans prévenir, le morceau est lancé.
Le chant clair du couplet semble parvenir comme un écho, semblable a un murmure, l’ambiance se pose. Le groupe alterne ici passages musclés et passage calme où le piano a une place non négligeable. Le chant guttural de Timo est percutant, et le contraste est appréciable. Le morceau fini brutalement pour nous amener sur « Consumption » et son riff tranchant très efficace.
J’ai personnellement un peu de mal avec le chant clair, un peu trop plaintif. L’alternance des deux chants est, elle, très bien réussie. La mélodie de la guitare claire se mélange à la puissance des riffs joués en disto, assez appréciable.
« Yesterday’s a closed door behind » démarre de façon très speed et plus brutale que ce que le groupe nous montre depuis le début de l’album. Malgré l’accalmie du couplet, ce morceau a un peu plus la pêche, et c’est appréciable. Ici le chant se greffe parfaitement aux mélodies, et on a même droit à un solo qui claque ! On regrettera peut être le break, un poil trop long et pas spécialement efficace.
On poursuit la visite avec « Ghost existence » où l’on suit la même recette, à savoir deux ambiances différentes se réunissant, on prend un bonne dose d’énergie avec les riffs puissants, de l’émotion avec quelques arpèges aériens. Malheureusement, certains passages ont tendance à trainer en longueur, malgré la créativité, mais c’est le genre qui veut ça.
On achève notre périple avec « Evil Enough », sans surprise. Ici l’ambiance est pesante, avec ce riff très lent, accentuée par le chant guttural.
Un EP mine de rien assez long, et faisant preuve d’une bonne unité. L’ambiance musicale est bien travaillée, les constructions variées, mais à part quelque passages, l’album répète pas mal de structures, ce qui donne malheureusement une impression de déjà entendu. Je sais que le style veut ça, je ne jette donc pas la pierre. D’autant que l’album passe agréablement si on l’écoute de façon détachée.
Critique : SBM
Note : 7/10
Site du groupe : Myspace du groupe
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