Chronique
ARVEN - MUSIC OF LIGHT / Massacre Records 2011
Composé majoritairement de filles, seul le batteur (chanceux) fait parti de la gente masculine, ARVEN est un jeune groupe allemand qui évolue dans un style plutôt speed et lyrique. A l’heure actuelle les groupes à chanteuse sont trop nombreux et il est difficile de sortir son épingle du jeu. Comment s’en sortent ces demoiselles ? « Music of light » apportera la réponse.
On commence avec « Music of Light », titre éponyme qui s’annonce avec un violon très folk, suivi par une guitare qui suit la même voie. Le morceau est léger, la voix douce, mais la puissance que l’on décèle n’est pas totalement déployé, le mixage pèche… Mais la chanteuse scotche, mainstream ou soprano, elle n’a pas peur.
Ses lignes sont percutantes, entrainantes et très maitrisées. Les instruments se donnent parfaitement la réplique, entre violon et guitare, la batterie donne son rythme, très efficace.
« On flaming wings » est plus accès speed/power, avec un riff tranchant et rentre dedans. Le refrain rentre facilement en tête, c’est mélodieux, puissant, très bon.
C’est une jolie flûte, très médiévale, qui annonce « Raise your cups », suivie par un riff speed. Le couplet est calme mais le refrain donne vraiment envie de lever son verre et boire un coup ! Les lignes de chant sont toujours entrainantes donc aucune difficulté pour retenir le refrain. La magnifique ballade « My dear friend » laisse sans voix. Du haut de ses 7 minutes, et quasiment tout en piano voix, cette chanson saura vous bercer comme il se doit.
Respect.
Et évidemment pour nous réveiller, un bon gros riff qui tache bien viril ! C’est ainsi que « World of hatred » prouve que le métal n’est pas QUE masculin et que les femmes aussi ont des…enfin…savent envoyer quoi. (Oui, restons polis). Puissant et lyrique, bref efficace.
« Dark red desire » continu de speeder avec ce riff folk entrainant. C’est puissant et léger, très agréable à écouter, les instruments se passant la réplique de façon naturelle. Nouvelle ballade, « Midwinter nights » calme un peu les esprits, quoique pas tant que ça…les refrains sont plus rythmés, très folk, donc disons plutôt power ballade.
On continu dans un mid tempo envoutant sur « Till death do us apart », bien exécuté mais à qui il manque un petit quelque chose pour en faire une chanson excellente.
L’intro de « Ruined Castle », très power métal et accessoirement énorme, relance le groupe dans un métal poignant pur et dur. Les chœurs du refrain et les lignes de chant sont toujours aussi bonnes. Espérons que la dernière piste sera digne de cet album.
Dommage. « A stranger’s story » possède de très bons moments, que ce soit piano voix ou les riffs mélodieux, mais le morceau (bien que très bon) n’apporte pas la puissance attendue en fin d’album, mais c’est un petit détail.
Alors là je dis respect mesdemoiselles ! Elles nous servent ici un très bon album de folk/sympho/médiéval. De la mélodie à revendre, de la puissance juste ce qu’il faut pour ne pas faire « soupe ». Bref à découvrir ! Ça file la banane, idéal pour nous motiver pour l’hiver !
On commence avec « Music of Light », titre éponyme qui s’annonce avec un violon très folk, suivi par une guitare qui suit la même voie. Le morceau est léger, la voix douce, mais la puissance que l’on décèle n’est pas totalement déployé, le mixage pèche… Mais la chanteuse scotche, mainstream ou soprano, elle n’a pas peur.
Ses lignes sont percutantes, entrainantes et très maitrisées. Les instruments se donnent parfaitement la réplique, entre violon et guitare, la batterie donne son rythme, très efficace.
« On flaming wings » est plus accès speed/power, avec un riff tranchant et rentre dedans. Le refrain rentre facilement en tête, c’est mélodieux, puissant, très bon.
C’est une jolie flûte, très médiévale, qui annonce « Raise your cups », suivie par un riff speed. Le couplet est calme mais le refrain donne vraiment envie de lever son verre et boire un coup ! Les lignes de chant sont toujours entrainantes donc aucune difficulté pour retenir le refrain. La magnifique ballade « My dear friend » laisse sans voix. Du haut de ses 7 minutes, et quasiment tout en piano voix, cette chanson saura vous bercer comme il se doit.
Respect.
Et évidemment pour nous réveiller, un bon gros riff qui tache bien viril ! C’est ainsi que « World of hatred » prouve que le métal n’est pas QUE masculin et que les femmes aussi ont des…enfin…savent envoyer quoi. (Oui, restons polis). Puissant et lyrique, bref efficace.
« Dark red desire » continu de speeder avec ce riff folk entrainant. C’est puissant et léger, très agréable à écouter, les instruments se passant la réplique de façon naturelle. Nouvelle ballade, « Midwinter nights » calme un peu les esprits, quoique pas tant que ça…les refrains sont plus rythmés, très folk, donc disons plutôt power ballade.
On continu dans un mid tempo envoutant sur « Till death do us apart », bien exécuté mais à qui il manque un petit quelque chose pour en faire une chanson excellente.
L’intro de « Ruined Castle », très power métal et accessoirement énorme, relance le groupe dans un métal poignant pur et dur. Les chœurs du refrain et les lignes de chant sont toujours aussi bonnes. Espérons que la dernière piste sera digne de cet album.
Dommage. « A stranger’s story » possède de très bons moments, que ce soit piano voix ou les riffs mélodieux, mais le morceau (bien que très bon) n’apporte pas la puissance attendue en fin d’album, mais c’est un petit détail.
Alors là je dis respect mesdemoiselles ! Elles nous servent ici un très bon album de folk/sympho/médiéval. De la mélodie à revendre, de la puissance juste ce qu’il faut pour ne pas faire « soupe ». Bref à découvrir ! Ça file la banane, idéal pour nous motiver pour l’hiver !
Critique : SBM
Note : 8.5/10
Site du groupe : Myspace du groupe
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