Chronique
FERGIE FREDERIKSEN - HAPPINESS IS THE ROAD / Frontiers Records 2011
Le chanteur originel de Toto revient sur les devants de la scène avec un album solo un peu particulier. Ces chansons ont été composées l’année dernière au moment où Fergie apprend qu’il a un cancer incurable. Pour aller de l’avant et continuer à apprécier la joie de vivre, il se met à composer et travaille aussi avec Jim Peterik (Survivor) sur le titre éponyme « Happiness is the road ». Un album qui sera très certainement remplit de textes forts et prenants.
Rien que le nom du premier titre en dit long : « Angel (mirror to your soul) ». D’ailleurs musicalement on ressent aussi la motivation et le côté positif avec cette ambiance légère et porteuse menée principalement par le clavier et cette voix puissante et soft à la voix. On sent parfaitement l’ambiance années 80 sur « Elaine » qui là encore nous entraine dans un registre mélodique et prenant. Entrée un peu plus sombre mais une suite plaisante avec une guitare retentissante pour ce « First to cry », qui au passage à un refrain simple et efficace comme la pluspart des titres de ce style. Un peu de délicatesse ne fait pas de mal qu’on se le dise. Aussi à travers ce « Follow your heart » Fergie se dévoile et nous donne ses impressions avec ce duo piano voix de toute beauté, calme et magique à la voix. On remonte la pente avec le fameux titre en collaboration avec Jim Peterik « Happiness is the road ». Immédiatement on ressent ce côté positif et l’envie d’aller de l’avant avec une musique rythmée qui te donnede l’entrain et le sourire.
On continue dans la légèreté mais avec un poil plus d’agressivité pour « I still believe in love ». Une belle déclaration envers la vie. Le clavier ici est aussi d’une importance capitale, appuyant la guitare histoire d’accentuer la dynamique et le côté mélodique. Changement de registre sur « Lyin eyes ». Maintenant on rentre dans du rock mélodique pur et dur. Plus agressif, plus péchu entre Survivor et Journey. Une fois n’est pas coutume, voilà une nouvelle chanson parlant d’amour. « Love waits for no one » est un mid tempo dans la continuité des autres titres. Je veux dire par là agréable, léger et prenant. Deuxième temps de révolte avec « Writing on the wall » qui par contre met la guitare et la batterie en avant avec un tempo plus rapide et plus de hargne dans le chant et l’ambiance générale du titre. Après ce défoulement, Fergie se pose un peu sur « The future ain’t what it used to be » avec une sorte de power ballade. « The one » relance la machine est nous plonge dans un titre alternant passages calmes et refrain plus révolté, le tout avec des textes prenants. Pour conclure l’album, quoi de mieux que de continuer sur la lancée et de nous proposer avec « The savior » un titre rempli d’énergie, pour donner envie d’aller de l’avant.
Conclusion : un album personnel qui musicalement est très fort, et qui d’un autre côté a aussi des paroles intenses et profondes qui te donnent une seule envie ; aller de l’avant et apprécier toutes les bonnes choses.
Rien que le nom du premier titre en dit long : « Angel (mirror to your soul) ». D’ailleurs musicalement on ressent aussi la motivation et le côté positif avec cette ambiance légère et porteuse menée principalement par le clavier et cette voix puissante et soft à la voix. On sent parfaitement l’ambiance années 80 sur « Elaine » qui là encore nous entraine dans un registre mélodique et prenant. Entrée un peu plus sombre mais une suite plaisante avec une guitare retentissante pour ce « First to cry », qui au passage à un refrain simple et efficace comme la pluspart des titres de ce style. Un peu de délicatesse ne fait pas de mal qu’on se le dise. Aussi à travers ce « Follow your heart » Fergie se dévoile et nous donne ses impressions avec ce duo piano voix de toute beauté, calme et magique à la voix. On remonte la pente avec le fameux titre en collaboration avec Jim Peterik « Happiness is the road ». Immédiatement on ressent ce côté positif et l’envie d’aller de l’avant avec une musique rythmée qui te donnede l’entrain et le sourire.
On continue dans la légèreté mais avec un poil plus d’agressivité pour « I still believe in love ». Une belle déclaration envers la vie. Le clavier ici est aussi d’une importance capitale, appuyant la guitare histoire d’accentuer la dynamique et le côté mélodique. Changement de registre sur « Lyin eyes ». Maintenant on rentre dans du rock mélodique pur et dur. Plus agressif, plus péchu entre Survivor et Journey. Une fois n’est pas coutume, voilà une nouvelle chanson parlant d’amour. « Love waits for no one » est un mid tempo dans la continuité des autres titres. Je veux dire par là agréable, léger et prenant. Deuxième temps de révolte avec « Writing on the wall » qui par contre met la guitare et la batterie en avant avec un tempo plus rapide et plus de hargne dans le chant et l’ambiance générale du titre. Après ce défoulement, Fergie se pose un peu sur « The future ain’t what it used to be » avec une sorte de power ballade. « The one » relance la machine est nous plonge dans un titre alternant passages calmes et refrain plus révolté, le tout avec des textes prenants. Pour conclure l’album, quoi de mieux que de continuer sur la lancée et de nous proposer avec « The savior » un titre rempli d’énergie, pour donner envie d’aller de l’avant.
Conclusion : un album personnel qui musicalement est très fort, et qui d’un autre côté a aussi des paroles intenses et profondes qui te donnent une seule envie ; aller de l’avant et apprécier toutes les bonnes choses.
Critique : Lionel
Note : 9/10
Site du groupe : Site du Label Frontiers
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