Chronique
SVÖLK - SVÖLK'EM ALL / Napalm records 2011
Petit groupe déjà bien établie sue la scène norvégienne, SVÖLK, nous livre ici son premier album « Svölk ‘em All » en version remasterisé. De ce que j’ai pu lire, le groupe balance un métal qui fait honneur aux maitres des eighties, avec leur petite touche perso, disons aussi délicat qu’un déluge de brique dans la face. Voyons voir si je peux confirmer.
On commence plutôt dans un style country sur l’intro de « 52 », avec son banjo, qui va laisser place à un riff de guitare puissant et énervé même si le morceau se révèle plutôt mid-tempo. Les lignes de chants ne sont malheureusement pas efficaces, le chant a de la puissance mais ça ne fait pas tout. Et je passerai sur le « solo », lent, pas inspiré et trop long.
S’en suit un « This is it » qui manque de mélodies et d’ingénieur son compétent. Le son est trop saturé et gène l’écoute. Un semblant de riff passe bien pendant la chanson mais c’est tout.
La piste suivante « Anchor » n’est pas désagréable, surtout sur le refrain qui reste prenant et assez mélodieux. Le son est plus juste, donnant plus dans le heavy couillu. « Sweet agony » revient au son crunch ultra saturé qui casse les oreilles, riff sympa, chant puissant mais pas pour autant appréciable. Et faudrait que le groupe arrête de nous servir ses erzats de solos moisis…
« Miss alcohol » nous livre une mélodie propre et sympathique, qui tranche vraiment avec le son global de l’album. On sera plus ici dans un mix hard rock old school et métal, c’est sympa sans plus. Je passerai plus que rapidement sur « 12 Times the pain » qui n’apporte rien du tout. Et tant qu’on y est pareil pour « End of days », c’est creux, sans âme, bref pas bon.
Le rythme s’accélère quelque peu sur « Inferno », ça pulse enfin un peu et ça passe mieux, enfin disons qu’on passe de mauvais à passable… Bon riff d’intro pour « Dead:30 » pour un morceau qui continue dans un tempo rapide. On note une légère amélioration pour « Time for the dying » sur la rythmique. Mais les lignes de chants et les soli sont toujours moisis ! C’est à se demander s’ils ne jouent pas avec leurs pieds… On termine sur « Warm within » qui reste dans la moyenne du groupe sans casser des briques et le trop long et fastidieux « Overload ».
Depuis un mois j’ai fait deux groupe de « Stoner » rock ou métal, et j’ai trouvé deux points commun : pas de mélodies (ou trop peu) aussi bien sur la voix que les instruments, et le son est souvent moyen. Donc bref, ça manque d’inspiration, et faire de la disto pour se dire qu’on fait du rock n’apporte pas grand-chose.
J’étais encore plus fier du son de la cafetière laissant couler mon bon breuvage matinal !
Pour répondre donc à mon intro : je confirme pas !
On commence plutôt dans un style country sur l’intro de « 52 », avec son banjo, qui va laisser place à un riff de guitare puissant et énervé même si le morceau se révèle plutôt mid-tempo. Les lignes de chants ne sont malheureusement pas efficaces, le chant a de la puissance mais ça ne fait pas tout. Et je passerai sur le « solo », lent, pas inspiré et trop long.
S’en suit un « This is it » qui manque de mélodies et d’ingénieur son compétent. Le son est trop saturé et gène l’écoute. Un semblant de riff passe bien pendant la chanson mais c’est tout.
La piste suivante « Anchor » n’est pas désagréable, surtout sur le refrain qui reste prenant et assez mélodieux. Le son est plus juste, donnant plus dans le heavy couillu. « Sweet agony » revient au son crunch ultra saturé qui casse les oreilles, riff sympa, chant puissant mais pas pour autant appréciable. Et faudrait que le groupe arrête de nous servir ses erzats de solos moisis…
« Miss alcohol » nous livre une mélodie propre et sympathique, qui tranche vraiment avec le son global de l’album. On sera plus ici dans un mix hard rock old school et métal, c’est sympa sans plus. Je passerai plus que rapidement sur « 12 Times the pain » qui n’apporte rien du tout. Et tant qu’on y est pareil pour « End of days », c’est creux, sans âme, bref pas bon.
Le rythme s’accélère quelque peu sur « Inferno », ça pulse enfin un peu et ça passe mieux, enfin disons qu’on passe de mauvais à passable… Bon riff d’intro pour « Dead:30 » pour un morceau qui continue dans un tempo rapide. On note une légère amélioration pour « Time for the dying » sur la rythmique. Mais les lignes de chants et les soli sont toujours moisis ! C’est à se demander s’ils ne jouent pas avec leurs pieds… On termine sur « Warm within » qui reste dans la moyenne du groupe sans casser des briques et le trop long et fastidieux « Overload ».
Depuis un mois j’ai fait deux groupe de « Stoner » rock ou métal, et j’ai trouvé deux points commun : pas de mélodies (ou trop peu) aussi bien sur la voix que les instruments, et le son est souvent moyen. Donc bref, ça manque d’inspiration, et faire de la disto pour se dire qu’on fait du rock n’apporte pas grand-chose.
J’étais encore plus fier du son de la cafetière laissant couler mon bon breuvage matinal !
Pour répondre donc à mon intro : je confirme pas !
Critique : SBM
Note : 4.5/10
Site du groupe : Site officiel du groupe
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