Chronique
BEGGARS AND THIEVES - WE ARE THE BROKENHEARTED / Frontiers Records 2011
Fondé en 1989, le groupe a rapidement percé aux Etats-Unis. Après deux albums et un arrêt soudain, le groupe est de retour en 2004, et de nouveaux objectifs. A ce jour, leur objectif est simple : avoir leur musique dans des films hollywoodiens, ou encore dans des publicités. C'est-à-dire faire du commercial pur et dur.
L’album débute avec « We come undone », un mid tempo sans grande originalité. Certes la voix de Louie est sympa et puissante, mais musicalement rien d’exceptionnel. C’est plat, proche de certains titres aseptisés de U2 and Co. Un peu de guitare pour lancer « Oil and water », un titre lent et laborieux. Ici encore la sauce ne prend pas et on se demande si le groupe s’est vraiment penché sur les compositions, où s’ils ont fait ça à la va vite. « Innocence » remonte un peu la pente en nous proposant un rock mélodique un peu plus pêchu. Mais le son n’est pas là, et ça manque. On continue dans cet aspect aseptisé et plat avec « Never gonna see you again ». Les quelques mélodies présentes sont agréables mais loin d’être suffisantes, sans parler des paroles qui sont tout juste, pour ne pas être méchant : risibles. « Beautiful losers » rentre dans un domaine un peu plus folk et se différencie un peu plus des autres, mais honnêtement, ce n’est pas ça. Il en est de même pour « Seven seconds » qui démarre avec un compte à rebours, ce qui pourrait être suffisant pour l’écoute de l’album.
« Stranded » se voit être plus originale que le reste et nous offre un mid tempo léger et agréable, donnant le sourire dans ce début catastrophique. « Wash away » nous fait retomber dans ce côté risible niveau paroles, le tout avec une musique sans intérêt aucun. Son électro pour lancer « Midnight blue ». Un titre qui enfin donne envie d’être écouté et nous fait vibrer aussi. Un bon rock mélodique prenant et puissant où le groupe sort enfin de son entêtement commercial. Le titre éponyme retentit maintenant, histoire de conclure l’album. « We are the brokenhearted » est un mid tempo sympa, qui tout comme le titre précédent se démarque et nous offre enfin quelque chose d’audible.
Conclusion : le groupe aurait pu intituler l’album « Never gonna see you again » et s’appeler « Beautiful Losers ». Une musique plate et sans intérêt.
L’album débute avec « We come undone », un mid tempo sans grande originalité. Certes la voix de Louie est sympa et puissante, mais musicalement rien d’exceptionnel. C’est plat, proche de certains titres aseptisés de U2 and Co. Un peu de guitare pour lancer « Oil and water », un titre lent et laborieux. Ici encore la sauce ne prend pas et on se demande si le groupe s’est vraiment penché sur les compositions, où s’ils ont fait ça à la va vite. « Innocence » remonte un peu la pente en nous proposant un rock mélodique un peu plus pêchu. Mais le son n’est pas là, et ça manque. On continue dans cet aspect aseptisé et plat avec « Never gonna see you again ». Les quelques mélodies présentes sont agréables mais loin d’être suffisantes, sans parler des paroles qui sont tout juste, pour ne pas être méchant : risibles. « Beautiful losers » rentre dans un domaine un peu plus folk et se différencie un peu plus des autres, mais honnêtement, ce n’est pas ça. Il en est de même pour « Seven seconds » qui démarre avec un compte à rebours, ce qui pourrait être suffisant pour l’écoute de l’album.
« Stranded » se voit être plus originale que le reste et nous offre un mid tempo léger et agréable, donnant le sourire dans ce début catastrophique. « Wash away » nous fait retomber dans ce côté risible niveau paroles, le tout avec une musique sans intérêt aucun. Son électro pour lancer « Midnight blue ». Un titre qui enfin donne envie d’être écouté et nous fait vibrer aussi. Un bon rock mélodique prenant et puissant où le groupe sort enfin de son entêtement commercial. Le titre éponyme retentit maintenant, histoire de conclure l’album. « We are the brokenhearted » est un mid tempo sympa, qui tout comme le titre précédent se démarque et nous offre enfin quelque chose d’audible.
Conclusion : le groupe aurait pu intituler l’album « Never gonna see you again » et s’appeler « Beautiful Losers ». Une musique plate et sans intérêt.
Critique : Lionel
Note : 3/10
Site du groupe : Myspace de Beggars and Thieves
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