Chronique
IRON SAVIOR - THE LANDING / AFM Records 2011
Connu comme étant l’un des groupes les plus populaires d’Allemagne IRON SAVIOR nous revient avec The Landing. Musicalement il conviendrait de dire qu’il faut d’abord traverser une cascade de sons avant de s’exalter sur une chute d’eau providentielle où l’on trouve quelques pépites. On croit voir tourner, rougeoyer encore les cendres d’albums antérieurs qui jadis nous réchauffait le coeur. On pourrait en toute légitimité comparer The Landing avec un de ces prédécesseurs...le retour du bassiste Jan S. Eckert pourrait être vu comme un signe. Pour certains, la cover très esthétique pourra provoquer une vague référence avec le fameuxCondition Red. Restons objectifs et n’oublions pas que quatre ans se sont écoulés depuis leur dernier forfait, Megatropolis. Cela sera bien suffisant pour faire un grand écart musical et proposer autre chose.
La musique passe d’une ambiance à une autre et place The Landing comme l’album le plus hétéroclite du groupe. L’auditeur assidu retrouvera une certaine continuité des sonorités typiques d’IRON SAVIOR, comme le dit l’adage, bon sang ne saurait mentir.
Dans les reflets de heavy metal délivré par le groupe, on retrouve donc un The Savior qui prend une dimension titanesque ou presque... Un titre où tout est bon, le refrain audacieux est sublimé par ces whohoho. Un très bon titre de power metal. Puis dans la même veine, on croit entendre un chant qui pourrait se targuer d’être l’essence même d’un hymne en la faveur d’un style si cher à nos cœurs (Heavy Metal Never Dies). Puis ces reliefs-là s’estompent et sous le timbre très énergique du vocaliste, on finit par distinguer la trace d’un classique de hard old school, R.U Ready.
Un titre comme No Guts, No Glory conjugue mélodie avec du speed metal. Une association bien assimilée par IRON SAVIOR. Il est seulement regrettable de conclure cet opus par un morceau aussi soft. Une ballade frémissante et cristalline, promet de charmer l’oreille au-delà d’une bonne dizaine d’écoutes. Before The Pain décroche la palme de la douceur avec son côté atmosphérique très prenant et confirme que son chanteur a une voix en or.
La maitrise des compositions est parfaite allié à la puissance propre du groupe, le résultat ravira tout bon fan. Même s’il faut bien reconnaître qu’IRON SAVIOR use et abuse de ces riffs où les guitares soignent l’ennui par la répétition.
CONCLUSION
Ceux qui bavent devant la discographie Sielckienne seront ravis de retrouver leur groupe fétiche. En revanche, l’auditeur lambda pourra se lasser et jettera vite l’éponge malgré un heavy plutôt bien pêchu.
La musique passe d’une ambiance à une autre et place The Landing comme l’album le plus hétéroclite du groupe. L’auditeur assidu retrouvera une certaine continuité des sonorités typiques d’IRON SAVIOR, comme le dit l’adage, bon sang ne saurait mentir.
Dans les reflets de heavy metal délivré par le groupe, on retrouve donc un The Savior qui prend une dimension titanesque ou presque... Un titre où tout est bon, le refrain audacieux est sublimé par ces whohoho. Un très bon titre de power metal. Puis dans la même veine, on croit entendre un chant qui pourrait se targuer d’être l’essence même d’un hymne en la faveur d’un style si cher à nos cœurs (Heavy Metal Never Dies). Puis ces reliefs-là s’estompent et sous le timbre très énergique du vocaliste, on finit par distinguer la trace d’un classique de hard old school, R.U Ready.
Un titre comme No Guts, No Glory conjugue mélodie avec du speed metal. Une association bien assimilée par IRON SAVIOR. Il est seulement regrettable de conclure cet opus par un morceau aussi soft. Une ballade frémissante et cristalline, promet de charmer l’oreille au-delà d’une bonne dizaine d’écoutes. Before The Pain décroche la palme de la douceur avec son côté atmosphérique très prenant et confirme que son chanteur a une voix en or.
La maitrise des compositions est parfaite allié à la puissance propre du groupe, le résultat ravira tout bon fan. Même s’il faut bien reconnaître qu’IRON SAVIOR use et abuse de ces riffs où les guitares soignent l’ennui par la répétition.
CONCLUSION
Ceux qui bavent devant la discographie Sielckienne seront ravis de retrouver leur groupe fétiche. En revanche, l’auditeur lambda pourra se lasser et jettera vite l’éponge malgré un heavy plutôt bien pêchu.
Critique : Alisia
Note : 7/10
Site du groupe : Site Offciel
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