Chronique
GAZPACHO - MARCH OF GHOSTS / K-SCOPE 2012
Les norvégiens de GAZPACHO , signent avec March Of Ghosts leur quatrième opus, toujours dans la veine du metal progressif. Ce combo sait jouer et construire des morceaux aussi complexes qu’accessibles. Véritables mélomanes et amateurs seront trouvés à cette musique tout l’intérêt qu’elle mérite. Je ferais l’impasse sur l’énumération des influences, laissant libre court à votre conscience qui saura vous les souffler avec une étonnante simplicité.
Cet album constitue un conte, celui où le personnage central est poursuivi, en pleine nuit, par des fantômes qui lui racontent leurs petites histoires. Une large variété de thèmes est abordée parmi lesquels on retrouve des criminels de guerres haïtiens, l’esprit d’un auteur accusé à tort, les personnalités seront nombreuses et auront pour point commun de nous laisser songeur sur ce qui n’est peut-être qu’un très beau rêve.
L’auditeur un tant soit peu sensible à ces mélodies subtiles sera littéralement porté par ces effluves de notes atmosphériques où le vocaliste pourrait à lui seul nous envoutés. C’est dans ces moments là qu’on se demande quel est le vide qui nous habite pour ne pas avoir posé une oreille plutôt sur cet opus, et je dirais même sur ce groupe. Vous comprendrez facilement que cette chronique est celle d’une âme conquise, peut-être même possédée… qui sait, tout peut-être possible.
Les compositions peuvent se révéler plus agressives grâce aux guitares et l’accompagnement donné par la batterie. La musique de GAZPACHO coule véritablement tout en douceur, les titres s’assemblent et offrent de multiples facettes. Un morceau comme Mary Celeste est très folklorique à l’image de musiques traditionnelles irlandaises. What Did I Do ? est, à l’inverse, le morceau le plus calme de l’album et se laisse écouter pour le plus grand plaisir de nos sens. Nous sommes presque bercés par ces touches si mélodieuses.
La présence du violon de Mikael Kromer ajoute de la volupté à l’ensemble. Chacun des musiciens s’accordent dans une parfaite harmonie. A un point tel qu’il n’y aurait qu’un pas pour affirmer que GAZPACHO aurait pu faire beaucoup plus, beaucoup plus personnel. Et en même temps on ne peut que rester songeur face à la puissance de ces compostions. Hell Freeze Over qui se découpe en différents morceaux tout au long de l’album offre un final grandiloquent où la voix s’élève et se perd dans une mélodie qui a ce petit quelque chose angélique.
Le génie tient à cela, réussir avec une facilité déconcertante là où d’autres ont échoués dans des efforts démesurés.
CONCLUSION
Une pure merveille.
Cet album constitue un conte, celui où le personnage central est poursuivi, en pleine nuit, par des fantômes qui lui racontent leurs petites histoires. Une large variété de thèmes est abordée parmi lesquels on retrouve des criminels de guerres haïtiens, l’esprit d’un auteur accusé à tort, les personnalités seront nombreuses et auront pour point commun de nous laisser songeur sur ce qui n’est peut-être qu’un très beau rêve.
L’auditeur un tant soit peu sensible à ces mélodies subtiles sera littéralement porté par ces effluves de notes atmosphériques où le vocaliste pourrait à lui seul nous envoutés. C’est dans ces moments là qu’on se demande quel est le vide qui nous habite pour ne pas avoir posé une oreille plutôt sur cet opus, et je dirais même sur ce groupe. Vous comprendrez facilement que cette chronique est celle d’une âme conquise, peut-être même possédée… qui sait, tout peut-être possible.
Les compositions peuvent se révéler plus agressives grâce aux guitares et l’accompagnement donné par la batterie. La musique de GAZPACHO coule véritablement tout en douceur, les titres s’assemblent et offrent de multiples facettes. Un morceau comme Mary Celeste est très folklorique à l’image de musiques traditionnelles irlandaises. What Did I Do ? est, à l’inverse, le morceau le plus calme de l’album et se laisse écouter pour le plus grand plaisir de nos sens. Nous sommes presque bercés par ces touches si mélodieuses.
La présence du violon de Mikael Kromer ajoute de la volupté à l’ensemble. Chacun des musiciens s’accordent dans une parfaite harmonie. A un point tel qu’il n’y aurait qu’un pas pour affirmer que GAZPACHO aurait pu faire beaucoup plus, beaucoup plus personnel. Et en même temps on ne peut que rester songeur face à la puissance de ces compostions. Hell Freeze Over qui se découpe en différents morceaux tout au long de l’album offre un final grandiloquent où la voix s’élève et se perd dans une mélodie qui a ce petit quelque chose angélique.
Le génie tient à cela, réussir avec une facilité déconcertante là où d’autres ont échoués dans des efforts démesurés.
CONCLUSION
Une pure merveille.
Critique : Alisia
Note : 9/10
Site du groupe : Site Officiel
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