Chronique
EKTOMORF - THE ACOUSTIC / AFM 2012
EKTOMORF, groupe hongrois connu jusque là pour surfer sur la vague d’un thrash metal influencé par de grosses pointures telles que Soulfly et Sepultura.
L’évolution d’EKTOMORF suit une continuité tout à fait logique avec ce nouvel album. Si vous suivez ce groupe, vous vous rappellerez sans aucun doute, qu’en 2010, leur opus, Redemption (2010) avait déjà tracé le chemin en ce sens, en incluant, un titre en semi acoustique. Cette orientation appréciée par les auditeurs sera suffisante pour pousser les hongrois à explorer cette voie.
The Acoustic, leur dernier-né était vivement attendu et il est bien certain qu’il fera des heureux. Jamais un album n’aura aussi bien porté son nom. Le piège était de ne pas sombrer dans un méli-mélo de titres qui se ressemblent tant que l’auditeur en a le tournis. Avoir des idées, c’est bien, les réussir haut la main comme c’est le cas avec ce The Acoustic, c’est nettement mieux.
Ce sans faute débute par le très métallique I Know Them où les guitares acoustiques ont un rythme agressif appuyé par des sonorités orientales. Le titre suivant, I’m In Hate s’inscrit dans la même lignée. Chaque titre retravaillé est d'une qualité supérieure à l’originale et donne au groupe sa propre identité, Who Can I Trust fait partis de ceux là.
Les reprises de Simple Man (Lynyrd Skynyrd) et Folsom Prison Blues (Johnny Cash) sont convaincantes. EKTOMORF a plus d’un tour à son arc et est bien décidé à nous en mettre plein la vue. Capable de mener sa barque sur un titre mélodique et d’enchainer avec du rock'n'roll à l’accent bluesy. Léger regret de voir des titres aussi doux sur la seconde partie de l’album. Avis personnel qui ne gâche en rien ce The Acoustic.
Avec une telle pêche, on aurait presque envie de les inviter à la maison pour faire une sacrée bamboula. Bon, vous l'aurez compris, The Acoustic frappe un grand coup et cet album sera un incontournable transcendé par un bon chanteur et propulsé en avant par un trio musical vraiment efficace.
CONCLUSION
Avec ces 12 titres, la messe est dite et nous sommes littéralement à genoux avec comme seul désir, appuyer de nouveau sur la touche lecture de notre fidèle chaîne pour diffuser une nouvelle fois ce concentré d’énergie.
L’évolution d’EKTOMORF suit une continuité tout à fait logique avec ce nouvel album. Si vous suivez ce groupe, vous vous rappellerez sans aucun doute, qu’en 2010, leur opus, Redemption (2010) avait déjà tracé le chemin en ce sens, en incluant, un titre en semi acoustique. Cette orientation appréciée par les auditeurs sera suffisante pour pousser les hongrois à explorer cette voie.
The Acoustic, leur dernier-né était vivement attendu et il est bien certain qu’il fera des heureux. Jamais un album n’aura aussi bien porté son nom. Le piège était de ne pas sombrer dans un méli-mélo de titres qui se ressemblent tant que l’auditeur en a le tournis. Avoir des idées, c’est bien, les réussir haut la main comme c’est le cas avec ce The Acoustic, c’est nettement mieux.
Ce sans faute débute par le très métallique I Know Them où les guitares acoustiques ont un rythme agressif appuyé par des sonorités orientales. Le titre suivant, I’m In Hate s’inscrit dans la même lignée. Chaque titre retravaillé est d'une qualité supérieure à l’originale et donne au groupe sa propre identité, Who Can I Trust fait partis de ceux là.
Les reprises de Simple Man (Lynyrd Skynyrd) et Folsom Prison Blues (Johnny Cash) sont convaincantes. EKTOMORF a plus d’un tour à son arc et est bien décidé à nous en mettre plein la vue. Capable de mener sa barque sur un titre mélodique et d’enchainer avec du rock'n'roll à l’accent bluesy. Léger regret de voir des titres aussi doux sur la seconde partie de l’album. Avis personnel qui ne gâche en rien ce The Acoustic.
Avec une telle pêche, on aurait presque envie de les inviter à la maison pour faire une sacrée bamboula. Bon, vous l'aurez compris, The Acoustic frappe un grand coup et cet album sera un incontournable transcendé par un bon chanteur et propulsé en avant par un trio musical vraiment efficace.
CONCLUSION
Avec ces 12 titres, la messe est dite et nous sommes littéralement à genoux avec comme seul désir, appuyer de nouveau sur la touche lecture de notre fidèle chaîne pour diffuser une nouvelle fois ce concentré d’énergie.
Critique : Alisia
Note : 8.5/10
Site du groupe : Site Officiel
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