Chronique
KATANA - STORMS OF WAR / Listenable Records 2012
Nos samouraïs suédois reviennent à la charge avec leur nouvel et second opus Storms Of War ; toujours avec ce mystérieux démon samourai présent sur la pochette, et toujours orienté heavy metal années 80. Leur premier album avait été une bonne surprise et m’avait plutôt cloué le bec de par cette énergie dégagée. Pour ce qui est du thème abordé, on continue dans les temps anciens au Japon. La question maintenant est la suivante : êtes-vous prêt à traverser les âges et entendre les rugissements du combo ?
Histoire de démarrer cette nouvelle aventure sur les chapeaux de roue, c’est un gros riff et une batterie martelée qui lancent « The Reaper ». Pas de dentelle, on rentre dans le vif du sujet avec une bombe de heavy endiablé qui fait tilt instantanément. L’âge de cuir est de retour ! Patrick et Tobias nous pondent encore une entrée frappante à la guitare pour ce « Wrath of the emerald witch ». Un morceau qui ne vous laissera pas indifférent, surtout avec ce Johan impeccable niveau chant. Une voix haute et tranchante agrémentant cette musique dynamique. Au tour maintenant du titre choisit pour présenter l’album : « Khubilai Khan ». Un riff et c’est partit pour un titre chevaleresque des plus accrocheurs, avec un refrain monstrueux et toujours ces deux guitaristes qui nous la régalent.
C’est annoncé, « The Samourai’s return » ne va pas faire dans la demi mesure. Comme prévu le quintet poursuit son avancée avec aisance. Ce titre est d’ailleurs un des meilleurs titres de l’album : vraiment percutant. On change le style d’intro pour « City on the edge of forever », tout comme de tempo. Johan lance la chanson, s’en suit Susanna à la basse et c’est partit pour un morceau un peu plus calme (je dis bien un peu), et un Johan prenant une voix plus grave sur l’ensemble. « No surrender » ne vous laissera pas indifférent : un mid tempo avec des chœurs guerriers, une rythmique chevaleresque et une ambiance digne d’un univers d’Heroic Fantasy.
Un bruit sourd retentit, Susanna se présente doucement, accompagnée par une guitare acoustique qui lance « The land of the sun » rappelant fortement un certain groupe nommé Axxis que ce soit niveau chant ou musical. Après cette intro, un break et c’est partit pour une nouvelle déferlante de heavy metal pur et dur. Un titre qui va faire très mal sur scène, principalement avec son refrain explosif. « The gambit » continue de nous secouer et met une nouvelle claque. Intro stylée à la Gamma Ray pour « Modesty Blaise » qui d’ailleurs ce verra être très proche des compos de l’album Powerplant, mais avec cet côté 80’s en plus. Pour terminer cette rondelle quoi de mieux que « The wisdom of Edmonds field » et son ambiance guerrière. Certainement le titre le plus long que le groupe est composé avec ses 6 minutes ; mais qui passent à une vitesse ahurissante.
Conclusion : second essai transformé. Ce Storms Of War est une vraie bombe de pur heavy metal. Du plaisir du début à la fin une nouvelle fois.
Histoire de démarrer cette nouvelle aventure sur les chapeaux de roue, c’est un gros riff et une batterie martelée qui lancent « The Reaper ». Pas de dentelle, on rentre dans le vif du sujet avec une bombe de heavy endiablé qui fait tilt instantanément. L’âge de cuir est de retour ! Patrick et Tobias nous pondent encore une entrée frappante à la guitare pour ce « Wrath of the emerald witch ». Un morceau qui ne vous laissera pas indifférent, surtout avec ce Johan impeccable niveau chant. Une voix haute et tranchante agrémentant cette musique dynamique. Au tour maintenant du titre choisit pour présenter l’album : « Khubilai Khan ». Un riff et c’est partit pour un titre chevaleresque des plus accrocheurs, avec un refrain monstrueux et toujours ces deux guitaristes qui nous la régalent.
C’est annoncé, « The Samourai’s return » ne va pas faire dans la demi mesure. Comme prévu le quintet poursuit son avancée avec aisance. Ce titre est d’ailleurs un des meilleurs titres de l’album : vraiment percutant. On change le style d’intro pour « City on the edge of forever », tout comme de tempo. Johan lance la chanson, s’en suit Susanna à la basse et c’est partit pour un morceau un peu plus calme (je dis bien un peu), et un Johan prenant une voix plus grave sur l’ensemble. « No surrender » ne vous laissera pas indifférent : un mid tempo avec des chœurs guerriers, une rythmique chevaleresque et une ambiance digne d’un univers d’Heroic Fantasy.
Un bruit sourd retentit, Susanna se présente doucement, accompagnée par une guitare acoustique qui lance « The land of the sun » rappelant fortement un certain groupe nommé Axxis que ce soit niveau chant ou musical. Après cette intro, un break et c’est partit pour une nouvelle déferlante de heavy metal pur et dur. Un titre qui va faire très mal sur scène, principalement avec son refrain explosif. « The gambit » continue de nous secouer et met une nouvelle claque. Intro stylée à la Gamma Ray pour « Modesty Blaise » qui d’ailleurs ce verra être très proche des compos de l’album Powerplant, mais avec cet côté 80’s en plus. Pour terminer cette rondelle quoi de mieux que « The wisdom of Edmonds field » et son ambiance guerrière. Certainement le titre le plus long que le groupe est composé avec ses 6 minutes ; mais qui passent à une vitesse ahurissante.
Conclusion : second essai transformé. Ce Storms Of War est une vraie bombe de pur heavy metal. Du plaisir du début à la fin une nouvelle fois.
Critique : Lionel
Note : 9/10
Site du groupe : Myspace de Katana
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