Chronique
BLACK MAJESTY - STARGAZER / Limb Music 2012
Quoi de mieux que de découvrir le nouvel album de Black Majesty dans leur ville d’origine : Melbourne ?! Bref, on s’en fou, c’était pour le clin d’œil. A part ça, voilà donc le cinquième album du combo australien et aussi dernier de leur « actuel » deal avec LMP. Rappelons qu’ils avaient signé un deal pour cinq albums dès leur premier contrat. Premier point à noter : la pochette. Finit le monochrome, place à la couleur. Autant dire que la pochette claque ! Niveau production ? C’est toujours Roland Grapow (Masterplan) qui est aux commandes. Les présentations terminées, passons à table.
Comme on le sait, le groupe évolue dans du power metal burné. Pour ainsi dire, dès le premier titre « Falling » on ressent cette intensité. Une intro mélodique, un break pour un passage doux et bim c’est l’arrivée du gros son, clair et envoutant. Autant dire que le travail de Roland est grandement apprécié. « Lost horizon » continue l’avancée chevaleresque, mettant en avant et clairement la voix particulière de John, vacillant entre roque et claire. A côté de ça, la musique envoie bien, même si niveau originalité, il y a encore un peu de travail à faire. Accrochez vous car « Voice of change » déboule comme une furie pour vous transporter dans un speed endiablé (on regrettera la guitare au début, un peu trop gnan gnan mais qui lors du premier solo changera la donne). La quête se poursuit sur « Killing hand ». C’est bon, mais on à l’impression de tourner un peu en rond. Niveau batterie ça claque et la double est utilisée à 200%, et niveau général on à l’impression que c’est la suite du morceau précédent. C’est bon mais ça manque un peu de changement. « Journey to the soul » se voit un peu plus progressive, dans une veine Pagan’s Mind, mélangeant côté barré et puissance, le tout avec un refrain façonné metal pop.
On continue dans la même veine avec « Holy Killers » : du power metal à l’état brut. Racé, bien fait, mais manquant de fraîcheur. On change la donne avec « Symphony of death » qui donne un peu de répis avec son intro piano / chant, agrémenté par un peu de délicatesse (basse et batterie) pour nous plonger dans un moment de délicatesse avant de rentrer dans un mid tempo chevaleresque et agréable. Finit le calme, retour dans la déferlante avec « Edge of the world » qui prend une ambiance un peu plus variée, je dis bien un peu. Pour le dernier titre de l’album, le quatuor soumet le title track « Stargazer ». Un titre épique et porteur, différent des autres dans le sens où il est varié et moins bourré de double constante etc. Un petit bonus track ? Voilà « Shine », une ballade acoustique, rien de plus. Un bonus pas forcément nécessaire.
Conclusion : un bon album de power metal mais qui manque d’originalité. Les fans du genre seront ravis, les autres chercheront certainement quelque chose de plus original.
Comme on le sait, le groupe évolue dans du power metal burné. Pour ainsi dire, dès le premier titre « Falling » on ressent cette intensité. Une intro mélodique, un break pour un passage doux et bim c’est l’arrivée du gros son, clair et envoutant. Autant dire que le travail de Roland est grandement apprécié. « Lost horizon » continue l’avancée chevaleresque, mettant en avant et clairement la voix particulière de John, vacillant entre roque et claire. A côté de ça, la musique envoie bien, même si niveau originalité, il y a encore un peu de travail à faire. Accrochez vous car « Voice of change » déboule comme une furie pour vous transporter dans un speed endiablé (on regrettera la guitare au début, un peu trop gnan gnan mais qui lors du premier solo changera la donne). La quête se poursuit sur « Killing hand ». C’est bon, mais on à l’impression de tourner un peu en rond. Niveau batterie ça claque et la double est utilisée à 200%, et niveau général on à l’impression que c’est la suite du morceau précédent. C’est bon mais ça manque un peu de changement. « Journey to the soul » se voit un peu plus progressive, dans une veine Pagan’s Mind, mélangeant côté barré et puissance, le tout avec un refrain façonné metal pop.
On continue dans la même veine avec « Holy Killers » : du power metal à l’état brut. Racé, bien fait, mais manquant de fraîcheur. On change la donne avec « Symphony of death » qui donne un peu de répis avec son intro piano / chant, agrémenté par un peu de délicatesse (basse et batterie) pour nous plonger dans un moment de délicatesse avant de rentrer dans un mid tempo chevaleresque et agréable. Finit le calme, retour dans la déferlante avec « Edge of the world » qui prend une ambiance un peu plus variée, je dis bien un peu. Pour le dernier titre de l’album, le quatuor soumet le title track « Stargazer ». Un titre épique et porteur, différent des autres dans le sens où il est varié et moins bourré de double constante etc. Un petit bonus track ? Voilà « Shine », une ballade acoustique, rien de plus. Un bonus pas forcément nécessaire.
Conclusion : un bon album de power metal mais qui manque d’originalité. Les fans du genre seront ravis, les autres chercheront certainement quelque chose de plus original.
Critique : Lionel
Note : 6.5/10
Site du groupe : Site de Black Majesty
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