Chronique
DESIGN - TECHNICOLOR NOISE / Zeta Factory 2012
Parfois tu te réveille un beau matin en te disant « tiens j’ai reçu une bonne claque avec ce nouveau groupe italien (sous entendu Several Union) ». Aussi, quand tu check ta boite mail un peu plus tard dans la journée et que tu vois ce mail t’annonçant la sortie du premier opus d’un autre groupe italien, tu te jettes immédiatement dessus, salivant d’avance. Et c’est là que DESIGN intervient. Après un EP, un ou deux singles, voilà que le combo a enfin les moyens de produire et sortir son premier opus TECHNICOLOR NOISE, dont le titre représente pour eux non pas les paroles de l’album mais l’interprétation de leur musique : variée et bruyante comme ils le disent si bien dans leur biographie.
C’est donc avec les oreilles grandes ouvertes que je me lance dans l’écoute de cette douzaine de titres. Immédiatement c’est le choc. Je ne sais pas vraiment ce qui se passe, ou du moins ce qui arrive dans mes oreilles. Le groupe débarque en trombe mais dans un registre des plus particuliers. Je m’explique : dès les premières notes on s’attend à avoir du rock alternatif, ou neo rock ; aussi de par le son et la voix du chanteur. Mais c’est là que tout change : le groupe nous plonge dans un univers étrange et assez unique je dirais.
Ici, on a droit à un mélange de rock mélangé avec du hardcore façon Thunderdome. C'est-à-dire avec des sons électroniques, non pas encré comme Luca Turilli l’a fait dans son projet Dreamquest par exemple, mais on a plutôt l’impression d’avoir un mix de rave party et de rock alternatif en même temps.
Ca part dans tous les sens. On a des titres psychédéliques, d’autres plus virulents ou encore rock. On ne sait pas vraiment sur quel pied danser, si ce n’est que tout l’album sera porté sur cette musique extrême et rageuse ; bien difficile à décrire.
Pour être sincère, je classerais cet album en temps que album « révolutionnaire » dans le sens de la révolte (pas de la nouveauté…quoi que…).
Conclusion : difficile de noter cette rondelle assez spéciale qui pour ma part sera plus pour des adolescents voulant prouver à papa et maman qu’ils écoutent du la musique burnée et qu’ils emmerdent tous ceux qui ne sont pas content. Pour les autres, bonne question, je vous laisse découvrir. Pour ma part, j’ai du mal.
C’est donc avec les oreilles grandes ouvertes que je me lance dans l’écoute de cette douzaine de titres. Immédiatement c’est le choc. Je ne sais pas vraiment ce qui se passe, ou du moins ce qui arrive dans mes oreilles. Le groupe débarque en trombe mais dans un registre des plus particuliers. Je m’explique : dès les premières notes on s’attend à avoir du rock alternatif, ou neo rock ; aussi de par le son et la voix du chanteur. Mais c’est là que tout change : le groupe nous plonge dans un univers étrange et assez unique je dirais.
Ici, on a droit à un mélange de rock mélangé avec du hardcore façon Thunderdome. C'est-à-dire avec des sons électroniques, non pas encré comme Luca Turilli l’a fait dans son projet Dreamquest par exemple, mais on a plutôt l’impression d’avoir un mix de rave party et de rock alternatif en même temps.
Ca part dans tous les sens. On a des titres psychédéliques, d’autres plus virulents ou encore rock. On ne sait pas vraiment sur quel pied danser, si ce n’est que tout l’album sera porté sur cette musique extrême et rageuse ; bien difficile à décrire.
Pour être sincère, je classerais cet album en temps que album « révolutionnaire » dans le sens de la révolte (pas de la nouveauté…quoi que…).
Conclusion : difficile de noter cette rondelle assez spéciale qui pour ma part sera plus pour des adolescents voulant prouver à papa et maman qu’ils écoutent du la musique burnée et qu’ils emmerdent tous ceux qui ne sont pas content. Pour les autres, bonne question, je vous laisse découvrir. Pour ma part, j’ai du mal.
Critique : Lionel
Note : 6/10
Site du groupe : Site de Design
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