Chronique
MAGICA - CENTER OF THE GREAT UNKOWN / Afm Records 2012
Les Roumains de Magica viennent de fêter leur dixième anniversaire. Aussi quoi de mieux que de nous suggérer un sixième album « Center of the great unknown ». Pour la petite histoire, j’ai découvert le groupe avec son premier album et j’avais pris une belle baffe avec leur second volet « Lightseekers ». Entre temps, pour diverses raisons, je n’ai pas pas eu l’occasion d’écouter les albums suivants. C’est donc avec plaisir que je reviens vers ce combo et leur nouvel opus.
Petite narration et c’est partit pour le titre éponyme « Center of the great unknown ». Un riff et bim on rentre dans un titre de speed mélodique agréable avec Ana toujours aussi prenante avec sa puissance vocale. Bon certains passages lyriques sont un peu rasoirs mais on passera dessus. Ambiance plus posée mais aussi plus sombre pour « Masterspell ». Un break, et là on a droit à un solo guitare incompréhensif voire inutile, avant de revenir dans ce mid tempo sombre avec un duo niveau chant assez étrange. Autant dire que ça ne colle pas. Voilà le nouveau titre de Nightwish. A non pardon c’est Magica. Bon vous l’aurez compris, ce « King of the world » est insipiré à 200% Nightwish période Tarja : c’est mélodique, voix haut perchée et lyrique. On revient dans une musique plus naturelle avec « Open ». Un titre racé et varié, sympa, mais qui ne cassera pas trois pattes à un canard quand même. L’aventure se poursuit dans ce speed mélodique standard avec « The Earth is young ».
Le titre suivant montre par contre plus d’originalité et de présence. En effet « Step into the night » se voit être bien plus agressif au niveau des riffs et même niveau chant c’est moins haut et donc moins perçant. Sans oublier le refrain qui est plutôt sympa. Cette direction musicale se poursuit avec « No Horizon » et je ne vous cache pas que ça fait du bien. Bon la structure restera la même que le titre précédent mais c’est mieux que de la copie pure et dure de Nightwish. Voilà un titre qui surprend : « One angry Gaia ». Musique hargneuse, tempo posé pour éclater sur le pont histoire de mettre une claque. La première depuis le début de l’album quand même. « Mark of Cain » se voit être introduit par la batterie avant de nous plonger dans un rythme posé à la ligne de chant très lyrique. Attention innovation : « Under the Auroras » débarque dans une vague de synthé pour nous proposer certainement le titre de l’album. Du pur speed mélodique comme le groupe avait su offrir dans son second effort. Une vraie bombe. Pour terminer cette rondelle, voilà le bonus trask « Daca 2012 ». Je ne pourrais pas juger le remix, ne connaissant pas l’original. Un titre chanté en roumain et quand même agréable.
Conclusion : une bonne déception qu’est cet album. En dehors de deux ou trois titres, rien d’extraordinaire et d’original. Un album qui tourne en rond.
Petite narration et c’est partit pour le titre éponyme « Center of the great unknown ». Un riff et bim on rentre dans un titre de speed mélodique agréable avec Ana toujours aussi prenante avec sa puissance vocale. Bon certains passages lyriques sont un peu rasoirs mais on passera dessus. Ambiance plus posée mais aussi plus sombre pour « Masterspell ». Un break, et là on a droit à un solo guitare incompréhensif voire inutile, avant de revenir dans ce mid tempo sombre avec un duo niveau chant assez étrange. Autant dire que ça ne colle pas. Voilà le nouveau titre de Nightwish. A non pardon c’est Magica. Bon vous l’aurez compris, ce « King of the world » est insipiré à 200% Nightwish période Tarja : c’est mélodique, voix haut perchée et lyrique. On revient dans une musique plus naturelle avec « Open ». Un titre racé et varié, sympa, mais qui ne cassera pas trois pattes à un canard quand même. L’aventure se poursuit dans ce speed mélodique standard avec « The Earth is young ».
Le titre suivant montre par contre plus d’originalité et de présence. En effet « Step into the night » se voit être bien plus agressif au niveau des riffs et même niveau chant c’est moins haut et donc moins perçant. Sans oublier le refrain qui est plutôt sympa. Cette direction musicale se poursuit avec « No Horizon » et je ne vous cache pas que ça fait du bien. Bon la structure restera la même que le titre précédent mais c’est mieux que de la copie pure et dure de Nightwish. Voilà un titre qui surprend : « One angry Gaia ». Musique hargneuse, tempo posé pour éclater sur le pont histoire de mettre une claque. La première depuis le début de l’album quand même. « Mark of Cain » se voit être introduit par la batterie avant de nous plonger dans un rythme posé à la ligne de chant très lyrique. Attention innovation : « Under the Auroras » débarque dans une vague de synthé pour nous proposer certainement le titre de l’album. Du pur speed mélodique comme le groupe avait su offrir dans son second effort. Une vraie bombe. Pour terminer cette rondelle, voilà le bonus trask « Daca 2012 ». Je ne pourrais pas juger le remix, ne connaissant pas l’original. Un titre chanté en roumain et quand même agréable.
Conclusion : une bonne déception qu’est cet album. En dehors de deux ou trois titres, rien d’extraordinaire et d’original. Un album qui tourne en rond.
Critique : Lionel
Note : 4.5/10
Site du groupe : Site de Magica
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