Chronique
THE SORROW - THE MISERY / Napalm Records 2012
Venu tout droit d’Autriche, THE SORROW dévoile ici son 4ème album, « The Misery ».
Evoluant dans un style trashcore, le groupe sait y faire en matière de riff percutant, de chant puissant, et surtout semble savoir casser les structures de leurs morceaux pour ne pas faire dans la redondance. La pochette de cet album est plus sombre que les précédentes, espérons que le contenu ne le sera pas…
On amorce un intro hyper pulsée pour « Retracing Memories », qui ressemble pas mal au Trivium de Ascendency. Le trashcore reprend ses droits assez vite. Le growl est bien maitrisé, et le chant clair du refrain possède une ligne mélodique très efficace. Le riff est percutant et incisif, ça donne. Un bon pti solo en prime, simple mais sympa, ça change.
Plus lourd et percutant, « The Escape » donnera lieu à quelques hurlements inutiles qui gâcheront un peu le morceau. Le refrain reste un peu transparent et mou, bon on zappe. « Burial Bridge » appui sue le champignon mais le morceau reste assez neutre dans l’ensemble… Par contre le riff d’intro de « My Oblivion » déchire !! Hyper véloce, joué avec conviction, une bonne baffe. Couplet agressif, refrain plus aérien, ça passe bien malgré une impression de déjà entendu. Même observation pour « A Reason », les couplet envoient bien ce qu’il faut, mais les refrains (toujours clairs) manquent de percutions, même si le passage de l’un à l’autre s’opère bien, c’est toujours très prévisible.
Je passe rapidement sur « Buried in the Deep », « At the Red Line » et « Perspectives » car vous allez dire que je me répète… Cela dit, les riffs sont bons… très bons pour certains…
« Lost Chapters » plus mid tempo que les autres tranche au moins un peu. Pas transcendant pour autant, son mérite est d’être original. Les passages narrés à vois basse servent pas à grand-chose. « Dead Home » signe le retour au style que le groupe délivre depuis le début. Pas mauvais musicalement, mais répétitif… On termine sur un assez long morceau que le groupe veut vous rentrer dans le crâne : « Follow the Light » martèle de façon assez efficace et reste fort sympathique.
Je sais pas pourquoi mais en ce moment j’ai que du metalcore/trashcore, ça doit être la rentrée… Entre « At the Skylines », « Wolves At the Gate » j’ai compris quelque chose. C’est pas mauvais en soi (si on aime tout ce qui envoi du lourds avec vélocité), l’alternance des deux chants et efficace, mais le hic c’est que faire bien c’est une chose mais faire original c’est une autre paire de manche, et ici THE SORROW manque le coche.
Evoluant dans un style trashcore, le groupe sait y faire en matière de riff percutant, de chant puissant, et surtout semble savoir casser les structures de leurs morceaux pour ne pas faire dans la redondance. La pochette de cet album est plus sombre que les précédentes, espérons que le contenu ne le sera pas…
On amorce un intro hyper pulsée pour « Retracing Memories », qui ressemble pas mal au Trivium de Ascendency. Le trashcore reprend ses droits assez vite. Le growl est bien maitrisé, et le chant clair du refrain possède une ligne mélodique très efficace. Le riff est percutant et incisif, ça donne. Un bon pti solo en prime, simple mais sympa, ça change.
Plus lourd et percutant, « The Escape » donnera lieu à quelques hurlements inutiles qui gâcheront un peu le morceau. Le refrain reste un peu transparent et mou, bon on zappe. « Burial Bridge » appui sue le champignon mais le morceau reste assez neutre dans l’ensemble… Par contre le riff d’intro de « My Oblivion » déchire !! Hyper véloce, joué avec conviction, une bonne baffe. Couplet agressif, refrain plus aérien, ça passe bien malgré une impression de déjà entendu. Même observation pour « A Reason », les couplet envoient bien ce qu’il faut, mais les refrains (toujours clairs) manquent de percutions, même si le passage de l’un à l’autre s’opère bien, c’est toujours très prévisible.
Je passe rapidement sur « Buried in the Deep », « At the Red Line » et « Perspectives » car vous allez dire que je me répète… Cela dit, les riffs sont bons… très bons pour certains…
« Lost Chapters » plus mid tempo que les autres tranche au moins un peu. Pas transcendant pour autant, son mérite est d’être original. Les passages narrés à vois basse servent pas à grand-chose. « Dead Home » signe le retour au style que le groupe délivre depuis le début. Pas mauvais musicalement, mais répétitif… On termine sur un assez long morceau que le groupe veut vous rentrer dans le crâne : « Follow the Light » martèle de façon assez efficace et reste fort sympathique.
Je sais pas pourquoi mais en ce moment j’ai que du metalcore/trashcore, ça doit être la rentrée… Entre « At the Skylines », « Wolves At the Gate » j’ai compris quelque chose. C’est pas mauvais en soi (si on aime tout ce qui envoi du lourds avec vélocité), l’alternance des deux chants et efficace, mais le hic c’est que faire bien c’est une chose mais faire original c’est une autre paire de manche, et ici THE SORROW manque le coche.
Critique : SBM
Note : 6/10
Site du groupe : Site Officiel du Groupe
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