Chronique
GRAVE DIGGER - THE LAST SUPPER / NUCLEAR BLAST 2005
Le nouveau méfait du creuseur de tombe est enfin dans les bacs. Succédant au très bon Rheingold, ce The Last Supper va en surprendre plus d’un. A noter que pour une fois ce n’est pas un concept album, ce qui change un peu, et que le groupe a décidé d’évoluer, enfin de laisser libre cours à leur imagination.
« Passion », l’intro ouvre le bal dans une magnifique atmosphère calme et ambiante, juste avant le terrible mid tempo « the last supper » débutant sur quelques notes de piano à l’instar d’un ‘son of evil’. Puis la guitare entre en jeu avec un son et une puissance à tomber : énorme. Que dire aussi du refrain terrible très rentre dedans : un début monstrueux. Chris Boltendahl chante toujours aussi bien avec sa voix rocailleuse et Manni Schmidt se lâche complètement avec sa gratte. Attention « desert rose » débarque avec son riff monstrueux pour un speed de chez speed : mortel. Stefan Arnold se déchaîne sur sa batterie comme un malade un titre qui marque son passage ; un futur Hymne digne d’un Pendragon, voir un Heavy métal breakdown. Sans plus attendre c’est « grave in the no man’s land » qui attaque dans un pur heavy métal version Grave Digger. Le groupe nous sort là de véritables Hymnes les un derrière les autres et l’énergique « hell to pay » confirme les dires avec un nouveau titre speed dévastateur qui te rentre dans la peau : oh que c’est bon !!! Il n’y a rien à jeter depuis le début.
« Soul savior » continue dans le même esprit avec ce titre heavy où Manni se présente en tant que maître de cérémonie armé de sa 6 cordes. Il nous éblouit de son talent. Je sais pas vous mais je trouve qu’il a fait un bien monstre au groupe depuis son arrivée pour The Grave Digger. D’ailleurs cet album m’y fait drôlement penser. « crucified » débute calmement un peu comme une ballade avec la voix mythique de Chris pour un mid tempo énorme lourd et ultra puissant avec une pincée de magie dévastatrice. Un fort très fort moment et que dire du refrain tellement sincère que l’on a l’impression que Chris demande réellement de le crucifier : magique…
« Divided cross » nous sort de notre magie pour nous prendre un nouveau titre 100% heavy Teuton, confirmé par « the night before » et son refrain calibré pour te harceler un bon moment : un vrai régal. « Black windows » est le 3eme titre speed et dévastateur. Un nouveau bijou à mettre à leur actif. Le refrain terrible entre passage aérien et métal est excellent, le solo énorme ; ah la la quel pied je n’arrête pas de bouger la tête dans tous les sens.
« Hundred days » ne va pas me calmer partant avec son rythme chevaleresque. Seul le refrain est calme puis on repart de plus belle, jusqu’à le fin juste avant la dernière.
« Always and eternally » piano calme douceur et oui c’est une ballade mais quelle ballade on n’a même droit à un accordéon. Un merveilleux moment sur lequel la voix de Chris toujours aussi rocailleuse et sublime d’émotion. Cette power ballade ravira tous les fans de heavy métal à tendance sensible, une sublime fin pour un album énorme.
Vous en voulez encore : ben voici les deux bonus, tout d’abord « sleepless » avec son heavy à tendance hachoir aiguisé très 80’ est bien sympatoche. Certes assez simple aux vues de ce qu’on vient de passer mais bien bon. Puis « jeepers creepers » attaque fort pour ce titre heavy au couplet surplombé par la basse de Jens Becker et au refrain super cool très agréable et rentre dedans qui se finit à grand coup de double. Un autre titre inspiré 80’ (un peu de nostalgie) pour ce dernier bonus (merci du cadeau). Cette fois ci c’est définitivement finie.
Conclusion pour moi l’un des meilleurs opus du groupe d’une maîtrise énorme donnant droit à de véritables Hymnes, en plus le groupe est en phase complète. Grand et Puissant telle est la description de ces maître du heavy teuton. Mention spéciale à Manni Schmidt pour son travail.
Un très grand moment !
« Passion », l’intro ouvre le bal dans une magnifique atmosphère calme et ambiante, juste avant le terrible mid tempo « the last supper » débutant sur quelques notes de piano à l’instar d’un ‘son of evil’. Puis la guitare entre en jeu avec un son et une puissance à tomber : énorme. Que dire aussi du refrain terrible très rentre dedans : un début monstrueux. Chris Boltendahl chante toujours aussi bien avec sa voix rocailleuse et Manni Schmidt se lâche complètement avec sa gratte. Attention « desert rose » débarque avec son riff monstrueux pour un speed de chez speed : mortel. Stefan Arnold se déchaîne sur sa batterie comme un malade un titre qui marque son passage ; un futur Hymne digne d’un Pendragon, voir un Heavy métal breakdown. Sans plus attendre c’est « grave in the no man’s land » qui attaque dans un pur heavy métal version Grave Digger. Le groupe nous sort là de véritables Hymnes les un derrière les autres et l’énergique « hell to pay » confirme les dires avec un nouveau titre speed dévastateur qui te rentre dans la peau : oh que c’est bon !!! Il n’y a rien à jeter depuis le début.
« Soul savior » continue dans le même esprit avec ce titre heavy où Manni se présente en tant que maître de cérémonie armé de sa 6 cordes. Il nous éblouit de son talent. Je sais pas vous mais je trouve qu’il a fait un bien monstre au groupe depuis son arrivée pour The Grave Digger. D’ailleurs cet album m’y fait drôlement penser. « crucified » débute calmement un peu comme une ballade avec la voix mythique de Chris pour un mid tempo énorme lourd et ultra puissant avec une pincée de magie dévastatrice. Un fort très fort moment et que dire du refrain tellement sincère que l’on a l’impression que Chris demande réellement de le crucifier : magique…
« Divided cross » nous sort de notre magie pour nous prendre un nouveau titre 100% heavy Teuton, confirmé par « the night before » et son refrain calibré pour te harceler un bon moment : un vrai régal. « Black windows » est le 3eme titre speed et dévastateur. Un nouveau bijou à mettre à leur actif. Le refrain terrible entre passage aérien et métal est excellent, le solo énorme ; ah la la quel pied je n’arrête pas de bouger la tête dans tous les sens.
« Hundred days » ne va pas me calmer partant avec son rythme chevaleresque. Seul le refrain est calme puis on repart de plus belle, jusqu’à le fin juste avant la dernière.
« Always and eternally » piano calme douceur et oui c’est une ballade mais quelle ballade on n’a même droit à un accordéon. Un merveilleux moment sur lequel la voix de Chris toujours aussi rocailleuse et sublime d’émotion. Cette power ballade ravira tous les fans de heavy métal à tendance sensible, une sublime fin pour un album énorme.
Vous en voulez encore : ben voici les deux bonus, tout d’abord « sleepless » avec son heavy à tendance hachoir aiguisé très 80’ est bien sympatoche. Certes assez simple aux vues de ce qu’on vient de passer mais bien bon. Puis « jeepers creepers » attaque fort pour ce titre heavy au couplet surplombé par la basse de Jens Becker et au refrain super cool très agréable et rentre dedans qui se finit à grand coup de double. Un autre titre inspiré 80’ (un peu de nostalgie) pour ce dernier bonus (merci du cadeau). Cette fois ci c’est définitivement finie.
Conclusion pour moi l’un des meilleurs opus du groupe d’une maîtrise énorme donnant droit à de véritables Hymnes, en plus le groupe est en phase complète. Grand et Puissant telle est la description de ces maître du heavy teuton. Mention spéciale à Manni Schmidt pour son travail.
Un très grand moment !
Critique : Guillaume
Note : 9/10
Site du groupe : site officiel de Grave Digger
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