Chronique
AEVLORD - THE NOMAD'S PATH / Auto Production 2012
Aevlord est un groupe de black metal symphonique français qui en est aujourd’hui à son troisième album.
Symphonique, selon Aevlord, il faut le comprendre dans le sens où vous agrémentez un black métal avec un peu tout ce qui vous passe par la main : orgue, piano, vieux piano à cordes genre Louis XIV. Sauf que tous les artistes ne sont pas égaux dans la production et dans ce cas précis, comme tout semble se faire au clavier (kiborde pour les anglophones), et en direct, cela ne donne pas toujours le résultat escompté.
Et si je parle de cet agrément plus que de la musique en général, c’est qu’il est l’élément numéro 1 qui fait de cet album une torture à l’écoute. Par chauvinisme patriotique et amour de ce registre, je me suis forcé maintes fois à recommencer l’écoute ou à la prendre en plein milieu, mais quel que soit le côté dont je prends le manche, je retrouve une véritable cacophonie où aucun instrument ne semble d’accord. Le jeu à deux guitares ne marche pas, le clavier fait sa sauce de son côté.
Côté émotion, il n’y a rien à trouver. Les compositions à la guitare sont généralement fades et sans caractère et cette sensation est amplifiée par un clavier qui joue tous les instruments de la planète.
A de nombreuses reprises, j’ai comparé cette cacophonie au tout début de carrière de Dimmu Borgir, avant Stormblast, et même si la production de l’époque était horrible, il y avait quelque chose à aller chercher. Je ne suis donc pas sûr que même les adeptes du metal underground trouvent leur compte dans The Nomad’s Path.
Tracklist : Wandering / The Marvelous Gems / Lost in Despair / Northern Lights / Raging Storm / His Majesty Pharaoh / Purple Haze / Soldier’s Willpower / The Temple / Zenith
Symphonique, selon Aevlord, il faut le comprendre dans le sens où vous agrémentez un black métal avec un peu tout ce qui vous passe par la main : orgue, piano, vieux piano à cordes genre Louis XIV. Sauf que tous les artistes ne sont pas égaux dans la production et dans ce cas précis, comme tout semble se faire au clavier (kiborde pour les anglophones), et en direct, cela ne donne pas toujours le résultat escompté.
Et si je parle de cet agrément plus que de la musique en général, c’est qu’il est l’élément numéro 1 qui fait de cet album une torture à l’écoute. Par chauvinisme patriotique et amour de ce registre, je me suis forcé maintes fois à recommencer l’écoute ou à la prendre en plein milieu, mais quel que soit le côté dont je prends le manche, je retrouve une véritable cacophonie où aucun instrument ne semble d’accord. Le jeu à deux guitares ne marche pas, le clavier fait sa sauce de son côté.
Côté émotion, il n’y a rien à trouver. Les compositions à la guitare sont généralement fades et sans caractère et cette sensation est amplifiée par un clavier qui joue tous les instruments de la planète.
A de nombreuses reprises, j’ai comparé cette cacophonie au tout début de carrière de Dimmu Borgir, avant Stormblast, et même si la production de l’époque était horrible, il y avait quelque chose à aller chercher. Je ne suis donc pas sûr que même les adeptes du metal underground trouvent leur compte dans The Nomad’s Path.
Tracklist : Wandering / The Marvelous Gems / Lost in Despair / Northern Lights / Raging Storm / His Majesty Pharaoh / Purple Haze / Soldier’s Willpower / The Temple / Zenith
Critique : Weska
Note : 2.5/10
Site du groupe : Site de Aevlord
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