Chronique
THE FIRE - SUPERNOVA / Valery Records 2012
On pourrait intituler le label Valery Records de « L’Italie a un incroyable talent ». Depuis quelques temps, ce petit label ‘rital’ nous offre des groupes aux albums de bonne qualité et vraiment surprenants. C’est donc avec une curiosité certaine que je m’approche du troisième album de ce groupe nommé THE FIRE et de leur nouvel essai SUPERNOVA, à la pochette peu attrayante il faut le dire. Comme on dit, l’habit ne fait pas le moine. Aussi découvrons leur univers musical.
L’album débute avec « Claustrophobia », un titre qui immédiatement nous plonge dans le bain. L’univers musical mélange du The Answer / Muse / U2 et My Chemical Romance. A la lecture cela peut paraître étonnant, mais croyez moi, c’est très bien fait et ça se laisse écouter sans aucun problème. Du rock pop qui est mené avec grandeur par Olly et sa voix puissante, légère et claire. « See you next time » débute avec de la réverbe façon U2 (on ne se voilera pas la face), et avec douceur pour entrer dans un morceau planant où l’intensité monte progressivement pour nous suggérer très influencé par la bande à Bono avec un grain de fraîcheur impressionnant. Sans oublier Alecs à la batterie qui ne laissera pas indifférent. Retour au rock burné maintenant avec « Follow me », qui se voit être agrémenté d’un duo avec la chanteuse Alteria. Et là, ça fait mal. Non seulement musicalement ça claque mais en plus niveau vocaux, les deux envoient, Alteria ayant une voix roque dans la veine de Doro ! « Paralyzed » cette fois-ci vient calmer un peu le jeu de par un mid tempo mélodique qui ne laissera pas indifférent, je vous le dit. Au tour du titre éponyme. Un début orné de guitares avant de rentrer dans un morceau commercial façon chansons de films américains mais qui au final passe bien. On comprend où le groupe veut en venir, se faire connaître.
Quand les DJ se mêlent à la musique rock, cela donne « Waltzin’ Monnalisa », qui s’approche d’un My Chemical Romance. C'est-à-dire un morceau burné car le groupe s’essaye à un style que peu osent faire : mélanger rock, DJ, et ambiance un peu dance et R&B façon 90’s. Et l’essai est fort concluant. Retour à la normale si je peux dire. « Just can’t get enough » revient dans le rock mélodique flatteur et léger avec un refrain où Olly pousse ses cordes et fait plaisir. Effet étouffé ‘radio’ pour lancer « Dynamite » qui rapidement prend du volume et offre un titre rock percutant et porteur avec toujours cette voix si saisissante. Sur « Mr Pain » on notera le travail de Lou et Filippo aux guitares, avec un bon jeu renforcé par un son clair et puissant tout en ayant un peu d’effets de temps à autres. « Out of here » sera le dernier morceau de l’album. On poursuit dans la logique des choses, avec un morceau rageur, mélodique et frais.
On n’en restera pas là car le groupe propose deux pistes bonus. La première « Business Trash » est un titre de heavy rock pur et dur avec en invité Pino Scotto au chant, et aux paroles en italien. Et bien ça claque ! Tout comme le second et dernier bonus « Tu sei solo mia », chanté en italien qui donnera un titre de rock pop mélodique agréable.
Conclusion : une bien bonne surprise qui même si on ressent grandement les influences, fera passé un très bon moment. Un disque qu’on écoutera encore et encore sans difficultés.
L’album débute avec « Claustrophobia », un titre qui immédiatement nous plonge dans le bain. L’univers musical mélange du The Answer / Muse / U2 et My Chemical Romance. A la lecture cela peut paraître étonnant, mais croyez moi, c’est très bien fait et ça se laisse écouter sans aucun problème. Du rock pop qui est mené avec grandeur par Olly et sa voix puissante, légère et claire. « See you next time » débute avec de la réverbe façon U2 (on ne se voilera pas la face), et avec douceur pour entrer dans un morceau planant où l’intensité monte progressivement pour nous suggérer très influencé par la bande à Bono avec un grain de fraîcheur impressionnant. Sans oublier Alecs à la batterie qui ne laissera pas indifférent. Retour au rock burné maintenant avec « Follow me », qui se voit être agrémenté d’un duo avec la chanteuse Alteria. Et là, ça fait mal. Non seulement musicalement ça claque mais en plus niveau vocaux, les deux envoient, Alteria ayant une voix roque dans la veine de Doro ! « Paralyzed » cette fois-ci vient calmer un peu le jeu de par un mid tempo mélodique qui ne laissera pas indifférent, je vous le dit. Au tour du titre éponyme. Un début orné de guitares avant de rentrer dans un morceau commercial façon chansons de films américains mais qui au final passe bien. On comprend où le groupe veut en venir, se faire connaître.
Quand les DJ se mêlent à la musique rock, cela donne « Waltzin’ Monnalisa », qui s’approche d’un My Chemical Romance. C'est-à-dire un morceau burné car le groupe s’essaye à un style que peu osent faire : mélanger rock, DJ, et ambiance un peu dance et R&B façon 90’s. Et l’essai est fort concluant. Retour à la normale si je peux dire. « Just can’t get enough » revient dans le rock mélodique flatteur et léger avec un refrain où Olly pousse ses cordes et fait plaisir. Effet étouffé ‘radio’ pour lancer « Dynamite » qui rapidement prend du volume et offre un titre rock percutant et porteur avec toujours cette voix si saisissante. Sur « Mr Pain » on notera le travail de Lou et Filippo aux guitares, avec un bon jeu renforcé par un son clair et puissant tout en ayant un peu d’effets de temps à autres. « Out of here » sera le dernier morceau de l’album. On poursuit dans la logique des choses, avec un morceau rageur, mélodique et frais.
On n’en restera pas là car le groupe propose deux pistes bonus. La première « Business Trash » est un titre de heavy rock pur et dur avec en invité Pino Scotto au chant, et aux paroles en italien. Et bien ça claque ! Tout comme le second et dernier bonus « Tu sei solo mia », chanté en italien qui donnera un titre de rock pop mélodique agréable.
Conclusion : une bien bonne surprise qui même si on ressent grandement les influences, fera passé un très bon moment. Un disque qu’on écoutera encore et encore sans difficultés.
Critique : Lionel
Note : 7.5/10
Site du groupe : Site de The Fire
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