Chronique
DALLAS FRASCA - SOUND PAINTER / Verycords 2013
La jeune australienne DALLAS FRASCA nous livre ici son 3ème album, « Sound Painter » avec lequel elle tentera de conquérir le territoire français. La miss n’a cependant pas attendu cet opus pour se forger une solide réputation dans le milieu. Alors voyons si la claque sera au rendez vous.
On attaque d’entrée de jeu avec le single « All my Love » et la surprise est agréable. La musique a un côté certes très rock mais avec pas mal de blues et un bon groove. Le son est très lourd, très pesant, mais le chant éraillé de la miss passe très bien. Le morceau est bourré de punch, très agréable. Par contre, la surprise retombe comme un soufflet. Malgré une énergie perceptible, les titres qui suivent, à savoir « One man Woman », « Coming Home », « Better without You » n’ont aucun impact. Un riff qui se répète sur plus de deux minutes c’est beaucoup trop. Les lignes de chant sont pauvres, malgré la qualité de la voix de Dallas. Et surtout beaucoup trop de basse. Vraiment ça sonne mou.
« Birds of Wisdom » bien que calme, relève un peu le niveau, par son ambiance un peu sombre, mélancolique et son refrain mélodieux. Mais sinon pas de quoi casser UNE patte à un canard. Je zappe « Going Back Row » où le seul truc pas mal, à savoir la voix et le chant, se transforme ici en funk avec un flow.
On aura enfin un semblant de riff sur « Hey Mama », avec toujours ce côté groovy pas déplaisant. On se rapproche un peu du premier morceau et ce n’est pas pour me déplaire.
« Freedom » avec son côté blues country a des sonorités intéressantes, mais le refrain gâche tout : mon Dieu mais que c’est mou !!!! Même Sylvie Vartan me ferait plus vibrer !
Enfin un morceau rock ! « Anything Left to Wonder ». Une batterie qui accélère un peu, une rythmique soutenue, de la pêche !! Ah putain c’était pas compliqué si ?? Là ça donne envie de bouger au moins. C’est simple mais carré et efficace. Faut juste changer le solo ou même le supprimer. On continue sur de bonnes ondes le temps de « I Only See You » avec son refrain assez accrocheur, mais toujours cette touche de mélancolie, où finalement Dallas excelle. Sa voix transporte très bien les émotions.
On termine sur « Ain’t No Fury », acoustique ma foi sympathique, ça passe bien, ça calme. Mais bon un peu trop de « oh ooohhh » sur la fin.
Euh bon c’est pas première chronique de l’année donc je vais essayer de pas être trop méchant, mais je dois avouer que je suis le cul entre deux chaise, mais une de mes fesse penche plus que l’autre. Je m’explique:
Y’a du potentiel. Quand on écoute « All my Love » ou « Anything Left to Wonder » on se dit « Ouah la claque! » (Si tant est qu’on aime le rock bluesy old school). Mais sur les deux tiers de l’album, c’est vide. Aucune originalité musicale ni même une bonne exécution du style. Une production bancale, des solos en bois, bref pas top… Bon allez, ça mérite la moyenne…
On attaque d’entrée de jeu avec le single « All my Love » et la surprise est agréable. La musique a un côté certes très rock mais avec pas mal de blues et un bon groove. Le son est très lourd, très pesant, mais le chant éraillé de la miss passe très bien. Le morceau est bourré de punch, très agréable. Par contre, la surprise retombe comme un soufflet. Malgré une énergie perceptible, les titres qui suivent, à savoir « One man Woman », « Coming Home », « Better without You » n’ont aucun impact. Un riff qui se répète sur plus de deux minutes c’est beaucoup trop. Les lignes de chant sont pauvres, malgré la qualité de la voix de Dallas. Et surtout beaucoup trop de basse. Vraiment ça sonne mou.
« Birds of Wisdom » bien que calme, relève un peu le niveau, par son ambiance un peu sombre, mélancolique et son refrain mélodieux. Mais sinon pas de quoi casser UNE patte à un canard. Je zappe « Going Back Row » où le seul truc pas mal, à savoir la voix et le chant, se transforme ici en funk avec un flow.
On aura enfin un semblant de riff sur « Hey Mama », avec toujours ce côté groovy pas déplaisant. On se rapproche un peu du premier morceau et ce n’est pas pour me déplaire.
« Freedom » avec son côté blues country a des sonorités intéressantes, mais le refrain gâche tout : mon Dieu mais que c’est mou !!!! Même Sylvie Vartan me ferait plus vibrer !
Enfin un morceau rock ! « Anything Left to Wonder ». Une batterie qui accélère un peu, une rythmique soutenue, de la pêche !! Ah putain c’était pas compliqué si ?? Là ça donne envie de bouger au moins. C’est simple mais carré et efficace. Faut juste changer le solo ou même le supprimer. On continue sur de bonnes ondes le temps de « I Only See You » avec son refrain assez accrocheur, mais toujours cette touche de mélancolie, où finalement Dallas excelle. Sa voix transporte très bien les émotions.
On termine sur « Ain’t No Fury », acoustique ma foi sympathique, ça passe bien, ça calme. Mais bon un peu trop de « oh ooohhh » sur la fin.
Euh bon c’est pas première chronique de l’année donc je vais essayer de pas être trop méchant, mais je dois avouer que je suis le cul entre deux chaise, mais une de mes fesse penche plus que l’autre. Je m’explique:
Y’a du potentiel. Quand on écoute « All my Love » ou « Anything Left to Wonder » on se dit « Ouah la claque! » (Si tant est qu’on aime le rock bluesy old school). Mais sur les deux tiers de l’album, c’est vide. Aucune originalité musicale ni même une bonne exécution du style. Une production bancale, des solos en bois, bref pas top… Bon allez, ça mérite la moyenne…
Critique : SBM
Note : 5/10
Site du groupe : Site Officiel
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