Chronique
YNGWIE J MALMSTEEN - SPELLBOUND / Rising force records 2012
Le grand maitre suédois revient, après la déception Retentless, nous farcir de nouvelles descentes de manches interstellaires, mais avec quel chanteur !!?? Oui Tim Owens ne faisant plus partie de l'équation, et n'ayant rien annoncé sur qui sera derrière le micro cette fois ci.
On commence sur la title track qui est la première instrumentale de cet opus. « Spellbound » est un morceau plutôt pas mal et accrocheur qui débute cet opus de manière assez positive. On poursuit avec « High compression figure », toujours en instrumentale et cette fois ci plus rock bluesy. A nouveau sans se révolutionner Yngwie nous ponds quelque chose d'honnête.
« Repent » va répondre à notre question avec donc le premier morceau chanté. Un speed classique et énergique chantonné par … Yngwie lui même !! Et oui je l'avais prédit que notre homme allait un jour nous faire le coup, et bien voilà ! « Let's sleeping the dog lie » est le bon vieux blues que notre guitare héros aime nous concocter. Alors même si je sais que j'ai toujours défendu notre homme au chant j'avoue que un titre c'est bien mais plus, il montre ses limites. Bref la suite « Majestic 12 suite 1,2 & 3 » est une pièce de 10 minutes de pur néoclassique où la classe et le talent de notre maitre transpirent à chaque note. Alors oui ça semble déjà entendu (ah bon !!), voire même très entendu (on pourrait faire un blind test) mais ça reste convenable.
Un petit interlude histoire de clore le chapitre classique avec « Electric duet » qui apporte absolument rien !! Peut être que la sombre « Nasca line » va améliorer les choses, mais malheureusement non, rien de transcendant et d'original ici. A oublier.
« Poisoned mind » permet à Yngwie de reprendre le micro et de nous délivrer un bon titre plutôt sauvage et bien accrocheur, grâce à un refrain bien pensé. On reprend du stérile pour faire passer le temps avec l'intro l'acoustique de « God of war », qui par la suite se transforme en un exercice de style peu passionnant !! Mr Malmsteen à malheureusement vraiment plus rien à nous dire et de plus ne semble pas vouloir faire d'effort pour !
« Iron blues », sauve quelque peu les meubles avec ce blues viril qui passe très bien. Tiens mais je connais ça !! « Turbo amadeus » est un hommage au grand Mozart en version métal néoclassique accéléré. De quoi en mettre plein la vue à un aveugle. Il nous enchaine tout ça avec un « For a thounsand cuts » des plus barbant, avant de finir de nous achever sur son « Requiem for the lost souls » (putain il pouvait pas trouver mieux comme titre de fin) sympathique.
Conclusion : Et bien nous y voilà ! La fin d'une légende ! Après avoir suffoqué durant de longues années, l'annonce du décès vient de tomber. De l'autosatisfaction primaire qui annihile tout plaisir pour les fans même les plus acharnés. Oui plus rien n'est à sauver !
On commence sur la title track qui est la première instrumentale de cet opus. « Spellbound » est un morceau plutôt pas mal et accrocheur qui débute cet opus de manière assez positive. On poursuit avec « High compression figure », toujours en instrumentale et cette fois ci plus rock bluesy. A nouveau sans se révolutionner Yngwie nous ponds quelque chose d'honnête.
« Repent » va répondre à notre question avec donc le premier morceau chanté. Un speed classique et énergique chantonné par … Yngwie lui même !! Et oui je l'avais prédit que notre homme allait un jour nous faire le coup, et bien voilà ! « Let's sleeping the dog lie » est le bon vieux blues que notre guitare héros aime nous concocter. Alors même si je sais que j'ai toujours défendu notre homme au chant j'avoue que un titre c'est bien mais plus, il montre ses limites. Bref la suite « Majestic 12 suite 1,2 & 3 » est une pièce de 10 minutes de pur néoclassique où la classe et le talent de notre maitre transpirent à chaque note. Alors oui ça semble déjà entendu (ah bon !!), voire même très entendu (on pourrait faire un blind test) mais ça reste convenable.
Un petit interlude histoire de clore le chapitre classique avec « Electric duet » qui apporte absolument rien !! Peut être que la sombre « Nasca line » va améliorer les choses, mais malheureusement non, rien de transcendant et d'original ici. A oublier.
« Poisoned mind » permet à Yngwie de reprendre le micro et de nous délivrer un bon titre plutôt sauvage et bien accrocheur, grâce à un refrain bien pensé. On reprend du stérile pour faire passer le temps avec l'intro l'acoustique de « God of war », qui par la suite se transforme en un exercice de style peu passionnant !! Mr Malmsteen à malheureusement vraiment plus rien à nous dire et de plus ne semble pas vouloir faire d'effort pour !
« Iron blues », sauve quelque peu les meubles avec ce blues viril qui passe très bien. Tiens mais je connais ça !! « Turbo amadeus » est un hommage au grand Mozart en version métal néoclassique accéléré. De quoi en mettre plein la vue à un aveugle. Il nous enchaine tout ça avec un « For a thounsand cuts » des plus barbant, avant de finir de nous achever sur son « Requiem for the lost souls » (putain il pouvait pas trouver mieux comme titre de fin) sympathique.
Conclusion : Et bien nous y voilà ! La fin d'une légende ! Après avoir suffoqué durant de longues années, l'annonce du décès vient de tomber. De l'autosatisfaction primaire qui annihile tout plaisir pour les fans même les plus acharnés. Oui plus rien n'est à sauver !
Critique : Guillaume
Note : 5/10
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