Chronique
HEADRUSH - HEADRUSH / FRONTIERS RECORDS 2005
Nouvelle venue transalpine Headrush, nous arrive avec le dernier méfait du guitariste Alessandro De Rosso (ex Dokken) qui se paie le luxe d’y inclure Roberto Tiranti (Labyrinth) au poste de chanteur.
Loin, de la vague Rhapsodienne, Headrush évolue plutôt dans un hard mélodique de grande classe, qui nous est de suite prouvé par « my world ». Une entrée en matière plutôt cool entre passage clair et saturé, la voix de Rob est très bonne et colle parfaitement à l’ambiance de l’album. Un bon début confirmé par « not just anyone » qui attaque d’emblé par une grosse guitare. Puis l’arrivée de la voix se fait dans un esprit plus détendu, une nouvelle fois on évolue entre son clair et son saturé (une sorte de marque de fabrique). La voix de Rob se fait plus… Elle me rappelle Glenn Hughes dans certains passages, une preuve de bonne musique.
« Fooling myself again » est plus mid tempo, un titre sur lequel Rob varie entre chant aérien et chant plus agressif, le solo du père De Rosso est bien sympatoche, puis « ordinary man » arrache tout sur son passage. Bien rock comme on l’aime toujours entrecoupé par des passages clairs. Ce titre donne une bonne pêche, voir une bonne patate enfin la banane quoi (tout une histoire de fruit et légume). Un titre qui se rapproche de Dokken voir du dernier Europe (en moins FM). Le refrain très entraînant vous donne envie de chanter et le solo sonne un peu comme du Georges Lynch (Dokken) voir John Norum (Europe).
Après une intro space « all in a crime » attaque bien rock elle aussi, un titre excellent qui te fait bouger ton corps comme un petit fou. Une nouvelle fois le talent de Rob sort du lot dans cet océan de bonne musique, un très bon choix que de l’avoir pris.
« What’s yours is mine… » Est une sorte de rock hard mélodique bien cool sur laquelle Rob s’en donne à cœur joie avec une nouvelle apparentée au grand Glenn, (serait ce une influence ?). De son coté Alex lui, distille ses solos de guitare héros comme facteur son courrier (si vous préféré tranquille) ; au final un bon titre. Gros riff pour « catch 22 » avant de ralentir. En fait rien de bien nouveau si ce n’est un bon refrain, un très bon solo et un bon riff : c’est déjà pas mal. Un titre mid tempo qui calme un peu le jeu. En parlant de calmer le jeu le début de « silence » est très calme, puis s’en découle une ballade sympa qui change un peu. Bien faite est surtout pas pleurnicharde.
« Young » reprend le flambeau rock même si rien n’y est très exceptionnel : une chanson de plus pourrait on dire méchamment.
Cela devient plus intéressant avec « change my life » un bien bon titre rock qui relève le niveau (je commençais à avoir peur) puis confirmation avec « get off the dime » qui débute sur une intro calme à la sèche puis se poursuit dans l’habituelle hard mélodique des débuts.Pour finir « ‘till i know » ; tiens est ce une chanson pour le chanteur de Rammstein ? Traite de plaisanterie, ce dernier titre est une ballade acoustique bien sympa pour finir en douceur ah c’est rital…
Conclusion : un bon album que ce Headrush, qui donne de bonnes sensations. Oh rien de transcendant mais du bon hard mélodique comme on l’aime. Rob est génial tout comme Alex, qui à eux deux portent cet album de par leur talent.
Bon sûrement un album de plus qui va passer à coter de son public par manque de chance mais bon…
Loin, de la vague Rhapsodienne, Headrush évolue plutôt dans un hard mélodique de grande classe, qui nous est de suite prouvé par « my world ». Une entrée en matière plutôt cool entre passage clair et saturé, la voix de Rob est très bonne et colle parfaitement à l’ambiance de l’album. Un bon début confirmé par « not just anyone » qui attaque d’emblé par une grosse guitare. Puis l’arrivée de la voix se fait dans un esprit plus détendu, une nouvelle fois on évolue entre son clair et son saturé (une sorte de marque de fabrique). La voix de Rob se fait plus… Elle me rappelle Glenn Hughes dans certains passages, une preuve de bonne musique.
« Fooling myself again » est plus mid tempo, un titre sur lequel Rob varie entre chant aérien et chant plus agressif, le solo du père De Rosso est bien sympatoche, puis « ordinary man » arrache tout sur son passage. Bien rock comme on l’aime toujours entrecoupé par des passages clairs. Ce titre donne une bonne pêche, voir une bonne patate enfin la banane quoi (tout une histoire de fruit et légume). Un titre qui se rapproche de Dokken voir du dernier Europe (en moins FM). Le refrain très entraînant vous donne envie de chanter et le solo sonne un peu comme du Georges Lynch (Dokken) voir John Norum (Europe).
Après une intro space « all in a crime » attaque bien rock elle aussi, un titre excellent qui te fait bouger ton corps comme un petit fou. Une nouvelle fois le talent de Rob sort du lot dans cet océan de bonne musique, un très bon choix que de l’avoir pris.
« What’s yours is mine… » Est une sorte de rock hard mélodique bien cool sur laquelle Rob s’en donne à cœur joie avec une nouvelle apparentée au grand Glenn, (serait ce une influence ?). De son coté Alex lui, distille ses solos de guitare héros comme facteur son courrier (si vous préféré tranquille) ; au final un bon titre. Gros riff pour « catch 22 » avant de ralentir. En fait rien de bien nouveau si ce n’est un bon refrain, un très bon solo et un bon riff : c’est déjà pas mal. Un titre mid tempo qui calme un peu le jeu. En parlant de calmer le jeu le début de « silence » est très calme, puis s’en découle une ballade sympa qui change un peu. Bien faite est surtout pas pleurnicharde.
« Young » reprend le flambeau rock même si rien n’y est très exceptionnel : une chanson de plus pourrait on dire méchamment.
Cela devient plus intéressant avec « change my life » un bien bon titre rock qui relève le niveau (je commençais à avoir peur) puis confirmation avec « get off the dime » qui débute sur une intro calme à la sèche puis se poursuit dans l’habituelle hard mélodique des débuts.Pour finir « ‘till i know » ; tiens est ce une chanson pour le chanteur de Rammstein ? Traite de plaisanterie, ce dernier titre est une ballade acoustique bien sympa pour finir en douceur ah c’est rital…
Conclusion : un bon album que ce Headrush, qui donne de bonnes sensations. Oh rien de transcendant mais du bon hard mélodique comme on l’aime. Rob est génial tout comme Alex, qui à eux deux portent cet album de par leur talent.
Bon sûrement un album de plus qui va passer à coter de son public par manque de chance mais bon…
Critique : Guillaume
Note : 7/10
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