Chronique
SERENITY - WAR OF AGES / Napalm Records 2013
Ce « War of Ages » est le quatrième album du combo autrichien. Un album qui sera important pour le devenir du groupe. Je m’explique. Tout d’abord, le groupe à vu Mario Hirzinger (fondateur du groupe) quitter la formation il y a peu. Une chanteuse, française qui plus est, rejoint les rangs : Clémentine Delauney. Objectif ? S’ouvrir plus de portes car il est vrai que les groupes à chanteuses se développent plutôt bien actuellement. L’autre point et non pas le plus important : c’est avec cet album que le groupe va faire sa première tournée en tête d’affiche. Autant que l’enjeu est grand.
Le départ se fait avec « Wings of Madness ». Intro délicate avec des chœurs réalisés par Clémentine, avant que la musique ne débarque et ne nous plonge dans un titre de power metal aux sonorités très Serenity. Sur ce point là donc, pas de grosse surprise. Immédiatement le duo se met en place et cela tourne plutôt pas mal, avec en prime un refrain bien fait, mais très traditionnel dira-t-on. « The Art of War » prend un peu plus d’ampleur avec ses chœurs épiques au début qui nous plongent dans un titre à l’ambiance lourde au début pour ensuite s’emballer et nous offrir un titre de speed mélodique des plus appréciables où Georg prend les rennes. Pour ce qui est de « Shining Oasis », on rentre dans une ambiance un peu plus orientale, rappelant Kamelot et son titre « Nights of Arabia » par moments. Et voilà la ballade de l’album, et donc le retour au chant de Clémentine. Ce « For Freedom’s Sake » est une vraie merveille, comme sait le faire le groupe. La remplaçante de la magique « Fairytales » est trouvée. Après cette évasion, retour dans le viril avec « Ages of Glory ». Intro mélodique et lente, qui soudainement explose et nous plonge dans un titre racé, rapide et bien plaisant.
« The Matricide » débarque sur un air retentissant et original, pour continuer dans ce power mélodique aux relents prog ici et là. Le refrain par contre en marquera plus d’un et en fera virevolter plus d’un sur scène. Voici une pièce bien surprenante avec ce « Symphony for the Quiet ». Entre puissance, mélodies et douceur, ce titre apporte est un condensé de ce que Serenity peut offrir de mieux. Les changements de rythmes apportent beaucoup, tout comme le ‘duo’ d’ailleurs. « Tannenberg » vient un peu poser le jeu par rapport à son précédent compère. Un mid-tempo mélodique sympathique, calme avec une montée sur le refrain. Voilà maintenant, pour ma part, LE morceau de l’album : « Legacy of Tudors ». Certes les chœurs aux débuts sonnent étrangement, mais dès que le tout s’emballe c’est la grosse claque : guitares, claviers, mélodies, batterie… enfin tout y est. Sans oublier le chant de Georg, appuyé par Clémentine, qui est toujours aussi saisissant ! La conclusion de l’album se fera en douceur avec « Royal Pain », un mid tempo mélodique envolé, où Clémentine reprend de la voix à proprement parlé.
Conclusion : le groupe nous offre un bien bon quatrième album. Le duo n’est pas encore à part égale, Georg gardant les 80 pour cent du chant, et qui s’en plaindra ? Sur cette lancée, le virage pourrait bien être positif !
Le départ se fait avec « Wings of Madness ». Intro délicate avec des chœurs réalisés par Clémentine, avant que la musique ne débarque et ne nous plonge dans un titre de power metal aux sonorités très Serenity. Sur ce point là donc, pas de grosse surprise. Immédiatement le duo se met en place et cela tourne plutôt pas mal, avec en prime un refrain bien fait, mais très traditionnel dira-t-on. « The Art of War » prend un peu plus d’ampleur avec ses chœurs épiques au début qui nous plongent dans un titre à l’ambiance lourde au début pour ensuite s’emballer et nous offrir un titre de speed mélodique des plus appréciables où Georg prend les rennes. Pour ce qui est de « Shining Oasis », on rentre dans une ambiance un peu plus orientale, rappelant Kamelot et son titre « Nights of Arabia » par moments. Et voilà la ballade de l’album, et donc le retour au chant de Clémentine. Ce « For Freedom’s Sake » est une vraie merveille, comme sait le faire le groupe. La remplaçante de la magique « Fairytales » est trouvée. Après cette évasion, retour dans le viril avec « Ages of Glory ». Intro mélodique et lente, qui soudainement explose et nous plonge dans un titre racé, rapide et bien plaisant.
« The Matricide » débarque sur un air retentissant et original, pour continuer dans ce power mélodique aux relents prog ici et là. Le refrain par contre en marquera plus d’un et en fera virevolter plus d’un sur scène. Voici une pièce bien surprenante avec ce « Symphony for the Quiet ». Entre puissance, mélodies et douceur, ce titre apporte est un condensé de ce que Serenity peut offrir de mieux. Les changements de rythmes apportent beaucoup, tout comme le ‘duo’ d’ailleurs. « Tannenberg » vient un peu poser le jeu par rapport à son précédent compère. Un mid-tempo mélodique sympathique, calme avec une montée sur le refrain. Voilà maintenant, pour ma part, LE morceau de l’album : « Legacy of Tudors ». Certes les chœurs aux débuts sonnent étrangement, mais dès que le tout s’emballe c’est la grosse claque : guitares, claviers, mélodies, batterie… enfin tout y est. Sans oublier le chant de Georg, appuyé par Clémentine, qui est toujours aussi saisissant ! La conclusion de l’album se fera en douceur avec « Royal Pain », un mid tempo mélodique envolé, où Clémentine reprend de la voix à proprement parlé.
Conclusion : le groupe nous offre un bien bon quatrième album. Le duo n’est pas encore à part égale, Georg gardant les 80 pour cent du chant, et qui s’en plaindra ? Sur cette lancée, le virage pourrait bien être positif !
Critique : Lionel
Note : 8.5/10
Site du groupe : Site de Serenity
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