Chronique
TRISTANIA - DARKEST WHITE / Napalm Records 2013
Tout au long de sa longue carrière, TRISTANIA a connu de multiples changements de line up. Depuis leur dernier effort, en 2010, le groupe accueille son nouveau batteur. Ce changement apportera-t-il une bouffée d’air frais ? Réponse en musique avec ce « Darkest White ».
Démarrage sur les chapeaux de roues pour « Number » avec un riff speed qui lance un chant black très guttural assez sympa je dois dire. Mais le refrain chanté par la belle Mariangela manque d’impact et de mélodie, ça sonne mou.
Le titre éponyme « Darkest White » possède encore un riff sympa, secondé par un chant clair pas magnifique également, mais l’interprétation très dark et théâtrale mérite d’être mise en avant, et la transition avec le refrain est très bonne. Je passerai rapidement sur l’insipide « Himmelfall », assez mid tempo, avec bien trop peu de mélodies, vraiment j’accroche pas. Mariangela fait une brève apparition en fin de morceau mais pas de quoi sauver ce dernier.
Contre toute attente, « Requiem » est assez léger, aérien, entrainant. Les mélodies du couplet sont assez efficaces, le morceau relève un peu le niveau. Alors là « Diagnosis » me scie les jambes, on dirait du Muse mais en plus musclé. Pas inintéressant mais pas simple d’accès. Son riff très rock, ses vocalises claires, l’ambiance, tout est bien pensé, le groupe s’ouvre de nouvelles portes loin du métal.
Le chant de Kjetil prédomine sur « Scarling », qui est encore une fois théâtral pour ce qui est du chant clair. Le contraste entre les deux voix (féminine et masculine) et bien trouvé, et tout cela pose vraiment l’ambiance gothique. Mais par contre je vous préviens faut rentrer dedans et moi j’ai du mal.
Bon morceau de dark rock sur « Night on Earth » avec un bon couplet grunt et un refrain scandé par Mariangela. Le tout accompagné d’un riff assez sympathique. On enquille deux morceaux assez mou, à savoir la power ballade « Lavender » et le prog rock « Cypher » qui alternent les passages musclés et les passages calmes, mais ça casse pas de brique, on s’ennui.
Fin de la galette avec « Arteries », morceau péchu, très accès black, agressif, très bon morceau pour se quitter. Le refrain clair passe bien pour une fois avec Kjetil au chant.
Bon disons que TRISTANIA nous sert ce que j’ai pu entendre sur les précédents opus qui ont suivi l’excellent « World of Glass ». Les compos sont très linéaires, bateau, avec un manque flagrant de mélodie. Le chant grunt est bon, le chant de Kjetil est très dur à apprécier, et Mariangela est « pas mal ». Donc en bref un album moyen, pour un groupe qui a pourtant à la base un gros potentiel.
Démarrage sur les chapeaux de roues pour « Number » avec un riff speed qui lance un chant black très guttural assez sympa je dois dire. Mais le refrain chanté par la belle Mariangela manque d’impact et de mélodie, ça sonne mou.
Le titre éponyme « Darkest White » possède encore un riff sympa, secondé par un chant clair pas magnifique également, mais l’interprétation très dark et théâtrale mérite d’être mise en avant, et la transition avec le refrain est très bonne. Je passerai rapidement sur l’insipide « Himmelfall », assez mid tempo, avec bien trop peu de mélodies, vraiment j’accroche pas. Mariangela fait une brève apparition en fin de morceau mais pas de quoi sauver ce dernier.
Contre toute attente, « Requiem » est assez léger, aérien, entrainant. Les mélodies du couplet sont assez efficaces, le morceau relève un peu le niveau. Alors là « Diagnosis » me scie les jambes, on dirait du Muse mais en plus musclé. Pas inintéressant mais pas simple d’accès. Son riff très rock, ses vocalises claires, l’ambiance, tout est bien pensé, le groupe s’ouvre de nouvelles portes loin du métal.
Le chant de Kjetil prédomine sur « Scarling », qui est encore une fois théâtral pour ce qui est du chant clair. Le contraste entre les deux voix (féminine et masculine) et bien trouvé, et tout cela pose vraiment l’ambiance gothique. Mais par contre je vous préviens faut rentrer dedans et moi j’ai du mal.
Bon morceau de dark rock sur « Night on Earth » avec un bon couplet grunt et un refrain scandé par Mariangela. Le tout accompagné d’un riff assez sympathique. On enquille deux morceaux assez mou, à savoir la power ballade « Lavender » et le prog rock « Cypher » qui alternent les passages musclés et les passages calmes, mais ça casse pas de brique, on s’ennui.
Fin de la galette avec « Arteries », morceau péchu, très accès black, agressif, très bon morceau pour se quitter. Le refrain clair passe bien pour une fois avec Kjetil au chant.
Bon disons que TRISTANIA nous sert ce que j’ai pu entendre sur les précédents opus qui ont suivi l’excellent « World of Glass ». Les compos sont très linéaires, bateau, avec un manque flagrant de mélodie. Le chant grunt est bon, le chant de Kjetil est très dur à apprécier, et Mariangela est « pas mal ». Donc en bref un album moyen, pour un groupe qui a pourtant à la base un gros potentiel.
Critique : SBM
Note : 5/10
Site du groupe : Site officiel du groupe
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