Chronique
VENOMOUS MAXIMUS - BEG UPON THE LIGHT / Napalm Records 2013
Après quelques prestations marquées dans le milieu, nos texans de VENOMOUS MAXIMUS sont enfin prêt, via Napalm Records, à nous présenter leur premier LP !
Alors non on ne parlera pas de GI Joe, là en l’occurrence il s’agit de Dark Occult Metal… bon ben je sais ça veut pas spécialement dire grand-chose pour moi, donc découvrons ensemble ce « Beg Upon The Light ».
L’intro « Funeral Queen », tout en orgue et quelques sonorités électronique vous plongeront, notamment avec « l’orage » final et les murmures, dans une ambiance assez sombre. Bien réussi pour le coup mais là par contre je… bloque. Aussi bien sur « Path of Doom » que « Give Up The Witch ». Musicalement c’est assez mid tempo, lourd, quelques mélodies et riffs par ci par là, et le chant est…bizarre, c’est presque du parlé, ça rappellerait les groupes de pop rock anglais des années 80, mais version métal avec distorsion. Je suis vraiment pas friand, ça manque de punch.
Court passage acoustique pour « Father Time », où la voix accompagne une guitare arpégée, rien de transcendant.
On continue sur la lancée avec « Dream Again » et « Moonchild », un poil plus speed et poignant mais on est loin de quelque chose de bon. Le Stoner c’est pas ma tasse de thé. On a quelques soli très bluesy qui sont assez bon, quelques bons riffs lourds mais la voix c’est cataclysmique !! Même en essayant de growl ça ferait rigoler.
Outre deux morceaux vraiment trop longs pour ce style, une petite plage unplugged avec « Mother Milk » qui aura au moins le mérite d’apporter une bonne ambiance maussade et torturée, rien de bien appétissant.
Bon ben euh… voilà… le dark occultist machin en fait c’est une pierre incandescente… euh… du Stoner dark… Et j’aime vraiment vraiment pas. Ça ne pulse pas, les lignes de chant sont inexistantes, aucune accroche. On a quelques passages musicaux sympas, des soli bien foutus, on sent tout de même un influence blues, mais rien d’étonnant pour des texans. Bref, faites vous votre propre idée chers lecteurs, mais moi je passe mon chemin.
Alors non on ne parlera pas de GI Joe, là en l’occurrence il s’agit de Dark Occult Metal… bon ben je sais ça veut pas spécialement dire grand-chose pour moi, donc découvrons ensemble ce « Beg Upon The Light ».
L’intro « Funeral Queen », tout en orgue et quelques sonorités électronique vous plongeront, notamment avec « l’orage » final et les murmures, dans une ambiance assez sombre. Bien réussi pour le coup mais là par contre je… bloque. Aussi bien sur « Path of Doom » que « Give Up The Witch ». Musicalement c’est assez mid tempo, lourd, quelques mélodies et riffs par ci par là, et le chant est…bizarre, c’est presque du parlé, ça rappellerait les groupes de pop rock anglais des années 80, mais version métal avec distorsion. Je suis vraiment pas friand, ça manque de punch.
Court passage acoustique pour « Father Time », où la voix accompagne une guitare arpégée, rien de transcendant.
On continue sur la lancée avec « Dream Again » et « Moonchild », un poil plus speed et poignant mais on est loin de quelque chose de bon. Le Stoner c’est pas ma tasse de thé. On a quelques soli très bluesy qui sont assez bon, quelques bons riffs lourds mais la voix c’est cataclysmique !! Même en essayant de growl ça ferait rigoler.
Outre deux morceaux vraiment trop longs pour ce style, une petite plage unplugged avec « Mother Milk » qui aura au moins le mérite d’apporter une bonne ambiance maussade et torturée, rien de bien appétissant.
Bon ben euh… voilà… le dark occultist machin en fait c’est une pierre incandescente… euh… du Stoner dark… Et j’aime vraiment vraiment pas. Ça ne pulse pas, les lignes de chant sont inexistantes, aucune accroche. On a quelques passages musicaux sympas, des soli bien foutus, on sent tout de même un influence blues, mais rien d’étonnant pour des texans. Bref, faites vous votre propre idée chers lecteurs, mais moi je passe mon chemin.
Critique : SBM
Note : 4/10
Site du groupe : Site Officiel du Groupe
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