Chronique
DEADLOCK - THE ARSONIST / Napalm Record 2013
Pour son sixième album, DEADLOCK a décidé de mettre les petits plats dans les grands. Nouveau line up, production de haute volée, tout ce qu’il faut pour faire rayonner leur nouveau bébé : « The Arsonist ».
Ce power death métal mélodique est-il si efficace ?
D’entrée de jeu, avec « Great Pretender » on entre dans du très lourd, avec un riff quasi Meshugguesque surement joué sur une guitare 8 cordes, suivi par un petit sweep histoire de montre qu’on n’est pas des purs bourrins !
Le chant death mélo est pas trop mal mais manque parfois de punch. Cela dit il tranche très bien avec le chant clair féminin de Sabine très mélodique du refrain. Petit break calme et apaisant avant de finir en beauté par ce refrain catchy.
Le single (avec son clip) « I’m Gone » possède également un refrain accrocheur et un couplet grunté. Le chant clair est bon et joue beaucoup dans l’efficacité des morceaux.
« Dead City Sleepers » se veut plus direct, plus agressif, et avec un refrain cette fois beaucoup moins prenant. Le chant de John ne passe pas trop. Ça fait un peu « Je grunte sans savoir grunter ». Même le solo est moyen…
Bon allez ne baissons pas les bras pour un faux pas ! Le titre éponyme « The Arsonist » démarre de façon assez électro. Original dans les sonorités mais trop peu efficace. Riff lourd sans mélodies, lignes de chant bien trop banales, encore un essai raté.
On revient à quelque chose de plus conventionnel avec « Darkness Divine » : riff plus intéressant et travaillé, refrain pas trop mal, break calme arpégé, avec la très belle voix de Sabine. Pas de quoi casser des briques mais ça passe.
Rien de nouveau pour « As we come Undone », pas de révolution ou d’envolées captivantes.
La ballade « Hurt » tout en piano voix apporte une bonne bouffée d’air frais, mais ça aurait été plus sympa si la chanson avait été vraiment plus belle… les lignes de chants ne sont pas magnifiques, elles sont juste sympa.
Je passerai rapidement sur « The Final Storm » qui n’apporte rien…
La reprise des Bronski Beat « Smalltown Boy » est originale. Quand on a écouté l’originale, on se dit qu’il faut en avoir dans le slip… La reprise est sympa, ça change un peu. C’est mélodieux et entrainant.
Quel dommage, l’album partait bien… C’était pas trop mal ficelé mais ça se dégrade de chanson en chanson. Le chant de John ne passe vraiment pas bien, et les lignes de chant de Sabine qui sauvaient les morceaux ne sont plus aussi efficaces en fin d’album. Les riffs sont parfois prenant mais c’est rares, peu de mélodies et trop peu de soli, ce qui est dommage quand on écoute ce qu’il s’est fait sur « Great Pretender ».
Dommage ça partait bien…
Ce power death métal mélodique est-il si efficace ?
D’entrée de jeu, avec « Great Pretender » on entre dans du très lourd, avec un riff quasi Meshugguesque surement joué sur une guitare 8 cordes, suivi par un petit sweep histoire de montre qu’on n’est pas des purs bourrins !
Le chant death mélo est pas trop mal mais manque parfois de punch. Cela dit il tranche très bien avec le chant clair féminin de Sabine très mélodique du refrain. Petit break calme et apaisant avant de finir en beauté par ce refrain catchy.
Le single (avec son clip) « I’m Gone » possède également un refrain accrocheur et un couplet grunté. Le chant clair est bon et joue beaucoup dans l’efficacité des morceaux.
« Dead City Sleepers » se veut plus direct, plus agressif, et avec un refrain cette fois beaucoup moins prenant. Le chant de John ne passe pas trop. Ça fait un peu « Je grunte sans savoir grunter ». Même le solo est moyen…
Bon allez ne baissons pas les bras pour un faux pas ! Le titre éponyme « The Arsonist » démarre de façon assez électro. Original dans les sonorités mais trop peu efficace. Riff lourd sans mélodies, lignes de chant bien trop banales, encore un essai raté.
On revient à quelque chose de plus conventionnel avec « Darkness Divine » : riff plus intéressant et travaillé, refrain pas trop mal, break calme arpégé, avec la très belle voix de Sabine. Pas de quoi casser des briques mais ça passe.
Rien de nouveau pour « As we come Undone », pas de révolution ou d’envolées captivantes.
La ballade « Hurt » tout en piano voix apporte une bonne bouffée d’air frais, mais ça aurait été plus sympa si la chanson avait été vraiment plus belle… les lignes de chants ne sont pas magnifiques, elles sont juste sympa.
Je passerai rapidement sur « The Final Storm » qui n’apporte rien…
La reprise des Bronski Beat « Smalltown Boy » est originale. Quand on a écouté l’originale, on se dit qu’il faut en avoir dans le slip… La reprise est sympa, ça change un peu. C’est mélodieux et entrainant.
Quel dommage, l’album partait bien… C’était pas trop mal ficelé mais ça se dégrade de chanson en chanson. Le chant de John ne passe vraiment pas bien, et les lignes de chant de Sabine qui sauvaient les morceaux ne sont plus aussi efficaces en fin d’album. Les riffs sont parfois prenant mais c’est rares, peu de mélodies et trop peu de soli, ce qui est dommage quand on écoute ce qu’il s’est fait sur « Great Pretender ».
Dommage ça partait bien…
Critique : SBM
Note : 5.5/10
Site du groupe : Site Officiel du Groupe
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